Leslie Transexuelle Chapitre 44

CHAPITRE 44 – Nathalie, une rencontre dans le train.

Je suis triste, je viens de quitter Léa et je suis à la gare, il est onze heures du soir, habillée d’un tailleur crème, jupe au dessus du genou et veste passée par-dessus un corsage en voile, mon train est déjà à quai, je monte dedans et va m’installer dans le compartiment T2 couchette que j’ai réservée, je m'installe au calme en me disant qu’avec un peu de chance personne ne viendra me déranger ou bien que le voyage se fera en charmante compagnie, quelques temps plus tard le train démarre.
Seule, je pense aux doux moments passés près de Léa, regardant d’un regard vide les lumières défiler sous mes yeux, je suis perdue dans mes pensées, je me laisse aller bercée par les mouvements du train qui me ramène à la maison.
C'est une voix féminine qui me tire de mon rêve éveillé.
- Bonsoir, Mademoiselle.
Je redresse la tête pour découvrir une jolie jeune femme brune aux cheveux mi-longs, elle doit avoir une vingtaine d’années et habillée d’un joli petit tailleur gris semblable au mien avec un joli corsage de mousseline blanche et je remarque qu’elle ne porte pas de soutien gorge, mignonne comme tout la petite du haut de ses vingt ans.
- Bonsoir, répondis-je poliment,
- Nous allons partagées ce compartiment, me dit-elle, tout en s’installant en face de moi.
Eh bien au moins je vais avoir une charmante compagnie, me dis-je en moi-même.

Quelques temps plus tard le contrôleur passe, le contrôle est rapidement effectué et sitôt celui-ci a-t-il disparu que j’entends ma charmante compagne de voyage me dire :
- Je m'appelle Nathalie.
- Moi, c'est Leslie.
- Joli prénom qui vous va bien, cela ne vous dérange pas que nous conversions un peu, me demande t’elle, pour déjà faire un peu connaissance, le voyage va être long et je n’ai pas sommeil.
- Non pas le moindre du monde, lui dis-je.
Ravie de cette rencontre inattendue, qui me fait oublier, un instant Léa, on se met à bavarder, nous nous mettons à converser sur la vie, la mienne et la sienne, les loisirs et ainsi on cause de tout et de rien, elle me raconte qu’elle vient de se séparer de son amie et qu’elle est un peu triste, que c’est pour cela qu’elle descend dans le sud se changer les idées, je lui avoue que moi aussi je viens de quitter mon amie et que comme elle je suis triste.


Je vois ses yeux remplis de malice et de curiosité et alors tout naturellement elle me demande :
- Tu es lesbienne, comme moi.
- Oui et non, je lui réponds, disons que dans mon cas c’est un peu spécial.
- Spécial, dit-elle d’un air étonné.
- Oui spécial, je réplique….

Durant tout ce temps j’ai regardée Nathalie, elle est jolie et bien proportionnée, toute nue elle est sûrement très excitante, mais la voix de Nathalie me tire de mes pensées.
- Spécial, je ne vois pas, expliques moi un peu je ne veux pas mourir idiote.
- Tu vois, lui di-je, je suis spéciale dans le sens ou je ne suis pas tout à fait une fille comme toi, enfin une fille au sens propre du terme, j’ai l’apparence que tu vois et le physique que j’ai, et il y a une petite différence qui change tout.
- Une lueur se fait dans le regard de Nathalie et elle dit :
- Ne me dis pas que tu es une transexuelle.
- Si, Nathalie j’en suis une.
- Super, s’écrie t’elle, depuis le temps que je rêve d’en rencontrer une, voila qu’il m’est donné de faire le voyage avec un rêve et de pouvoir le réaliser.

Je suis étonnée devant la franchise et la spontanéité de Nathalie et je repars dans mes pensées, tout en sentant Nathalie venir s’asseoir près de moi
Délicatement, elle pose sa main sur mon genou, juste à la lisière de ma jupe, je frémis sous cette petite main agréable et reste immobile, puis sa main remonte très lentement le long de ma jambe, Nathalie sourit avec ses yeux verts remplit de malice.
Elle avance son autre main vers mon visage et me frôle la joue du bout des doigts, tandis qu’elle continue sa caresse sur ma cuisse, puis nos visages se rapprochent lentement et nos lèvres se touchent, s'effleurent, dans un premier baiser, ses lèvres s'entrouvrent et sa langue rejoint la mienne pour s'entremêler dans un baiser profond.

Un instant plus tard, Nathalie me dit :
- Leslie, j'ai envie de toi.
- Tu as envie.

- Oui, j’ai envie de toi maintenant, mais attends, je ferme la cabine, ainsi nous serons chez nous et personne ne viendra nous déranger.
- Tu as raison, lui dis-je.
Elle se lève et ferme le loquet de la porte de notre compartiment et toujours debout elle dit en me regardant dans les yeux :
- Nous voilà tranquilles et la nuit est à nous, viens.
Elle me prend par les mains et me relève. Elle m’attitre contre elle et me serre dans ses bras, je pose mes mains sur ses fesses, afin de coller son corps au mien, notre excitation est palpable, sa respiration s'accélère. Nous nous embrasons à nouveau et sa langue se déchaine dans ma bouche, je bande et elle doit sentie mon érection sur son pubis collé à mon bas-ventre.
J'ouvre son chemisier et dégage ses seins, Nathalie fait de même avec le mien. Nos poitrines nues sont l’une contre l’autre, nos bouches se retrouvent une fois de plus, tandis que sa main se pose sur mon sexe et le palpe au travers du tissu de ma jupe.
- Déshabillons-nous, me dit-elle.
Nous nous déshabillons mutuellement et nos vêtements finissent sur une des deux couchettes, je la regarde, elle a gardée sa petite culotte en dentelle blanche, elle est belle ainsi presque nue et offerte.
- Alors, ils te plaisent mes seins ?
- Magnifique, j’adore.
- Et mon corps, il te plait.
- Il est comme tes seins, tu me fais bander.
- Et toi tu me fais mouiller Leslie, touches tu vas voir.
Elle m’appuie sur la tête pour m’obliger à descendre vers sa culotte, mes yeux arrivés à la hauteur de son pubis recouvert de la fameuse culotte et je découvre une tache sur le tissu blanc, elle ne m'a pas mentit, elle est toute mouillée.
J'approche mes lèvres de sa culotte et dépose un baiser qui la fait frémir, puis je descends sa culotte pour découvrir son pubis qu’elle à taillé très raz, presque lisse, en forme de cœur juste au dessus de ses lèvres, à la limite de l’épilation complète, le reste est entièrement lisse, épilé avec soin jusqu’au petit trou.


Sous les caresses de ma langue sur son pubis, le plaisir la gagne, elle tremble un peu, ma langue vient titiller son clitoris.
- Oh oui, non, oui, non pas mon bouton.
Elle se tortille de plaisir, halète, pousse des gémissements qui me font bander comme une folle.
- Leslie, baises moi.
Elle s’allonge sur la couchette et ouvre ses cuisses, je me mets à genoux et sa fente est à la bonne hauteur. Je dirige mon sexe vers celui de Nathalie et le positionne à l'orée de son vagin, sans la pénétrer, elle me lance un regard de braise et passe sa langue sur ses lèvres, impudique.
Alors je pousse mon sexe en elle, Nathalie est étroite, lentement je m’enfonce, elle est toute trempée, le regard vague et la bouche ouverte, Nathalie est dans son plaisir, je bouge en elle, coulissant dans son vagin, elle remue son bassin pour que ce soit encore meilleur.
Elle pousse des petits cris, et me demande d’arrêter, pour reprendre ses esprits, nous faisons un pose.
Nathalie est maintenant debout nue devant la vitre du compartiment, les mains posées sur la barre de la fenêtre, elle me tourne le dos en cambrant les reins, dans une position indécente.
- Prends moi, me di-elle.
Son bassin est tendu en arrière, cambré, prêt à m’accueillir, ma main droite se pose sur son pubis et je lui caresse le clitoris du bout de mes doigts, puis j'approche mon gland de sa fente et je m’enfonce d’un coup de rein au fond de sa chatte, elle est serrée, elle halète.
Les mains agrippées à la barre de la fenêtre, elle se met à trembler, à crier, je sens que son plaisir n'est pas très loin, sa tête va d’un côté à l’autre et ses cheveux bruns s'agitent dans tous les sens, je continue à prendre Nathalie de plus belle, sa chatte brûlante se contracte sur mon sexe, Nathalie lâche un hurlement et jouis dans un long râle. Je n’ai pas jouis et je suis contente car Nathalie est très désirable et j’ai envie d’elle, encore.
Epuisés par cette partie de jambes en l'air, baignant encore dans le plaisir, on reste un moment dans cette position, nos corps collés l'un à l'autre regardant les lumières de la nuit défilées devant nous
Je l’embrasse dans le cou, elle tourne la tête et approche mon visage du mien, pour m'embrasser délicatement, nos langues s'entremêlent, je presse mon corps contre le sien, mon sexe toujours en elle.


Ma main se pose à nouveau sur sa fente et mon doigt s’insinue dans son sexe, elle est toute trempée, elle soupire, elle bouge m’obligeant à sortir de son sexe, elle se retourne et Nathalie se met à genoux et prend mon membre dans la main et approche ses lèvres de mon gland et s’enfonce mon sexe dans la bouche, sans crier gare, Nathalie est maintenant une vraie furie, dans sa bouche elle me suce à un rythme infernal.
- Arrêtes, Nathalie, je vais jouir.
Je la relève et la serre tout contre moi, puis je l’'allonge sur la couchette les jambes en dehors, elle est offerte, les jambes écartées, le sexe entrouvert, je m'approche d'elle et m'enfonce dans son sexe, Nathalie laisse échapper un long râle.
Elle me serre dans ses bras, mes mouvements se font amples, puissants, la chaleur et l’humidité qui m'enveloppe me donnent des sensations inouïes, Nathalie est délicieuse, avec son sexe si serré qui m’enserre le membre, ses feulements remplissent la cabine, Nathalie se mord les lèvres, comme pour contenir ses cris.

Je passe les mains sous ses fesses et j’en profite pour poser un doigt sur son petit trou, je le caresse l’insère dans sa rondelle, elle sursaute d’étonnement, mais ne dit rien.
- Tu as envie, me demande t’elle.
- Si tu en as envie, oui.
- Je ne refuse jamais lorsque c’est demander gentiment.
- Mets-toi à genoux.
Nathalie se positionne à quatre pattes, je me positionne derrière elle, Nathalie soupire de plaisir lorsque mon gland se pose sur son anus, puis un grand cri sort de sa bouche lorsque j’appuie mon gland sur son anus. Je pousse, son œillet résiste un peu, mais il passe faisant hurler Nathalie, je reste un instant immobile et la pénètre lentement, elle pousse un long râle.
Une fois au fond d’elle, je reste sans bouger, afin que son cul s'habitue à mon intrusion dans son fondement.
- Hum, j’ai ta queue au fond de moi, je suis ta petite enculée.
- Non seulement une femme amoureuse qui aime ça.
- Oui, j’adore, mais je suis quand même ta petite enculée.
Je commence mes va-et-vient au fond de son cul, d'abord lentement puis de plus en plus vite. Elle crie, hurle son plaisir.
- Je suis cassée en deux, dit-elle entre deux cris, comme tu me remplis bien.
Tandis que la sodomise, Nathalie, perd la tête en jouissant, elle est envahie de tremblements et spasmes, ses sphincters se rétractent sur mon sexe me faisant jouir d’un long jet qui lui remplit le ventre, toujours au fond d’elle je continue de me vider dans un plaisir intense.

Elle se retourne et me regarde, dépose un baiser sur les lèvres et me dit :
- J’ai beaucoup aimée, tu m’as vraiment cassée le cul, peut-être qu’après cela je vais devenir bisexuelle.
- Ah oui, et pourquoi, je lui demande.
- C’est si bon un vrai sexe, mais le tien seulement.
- Viens passer tes congés à la maison, nous serons ensemble.

Après notre rencontre et notre nuit amoureuse dans le train, j’ai invitée Nathalie à passer ses quelques jours de repos, à la maison, trop heureuse de l’invitation elle a immédiatement acceptée.
Nous sommes heureuses, les moments passés ensemble nous font oublier et ne pas penser à nos ex-amies, car avec Nathalie nous ne nous quittons pas, côte à côte jour et nuit nous profitons de chaque instant.
Notre premier week-end amoureux se termine et nous sommes confortablement installées dans le salon, après une journée à la piscine nous sommes exténuées et prenons un petit apéritif, côte à côte notre nudité seulement recouverte d’un tee-shirt.
La porte s’ouvre, c’est Chris qui rentre de week-end.
- Salut, lance-t-elle.
- Bonjour Chris, je lui réponds, je te présente Nathalie.
- Bonjour Nathalie, réponds Chris.
- Bonjour, dit timidement Nathalie quelque peu déroutée.
- Bon, dit Chris, je vais me changer et je reviens, Leslie, s’il te plait, prépares moi un whisky.
Et Chris disparaît…..
Nathalie les yeux remplis d’étonnement me demande :
- C’est ta sœur.
- Non pas vraiment, un peu seulement car nous nous connaissons depuis très longtemps et que Chris est aussi ma confidente et mon amante.
- Elle est lesbienne comme moi, me demande Nathalie.
- Non, Chris est bisexuelle, mais elle à souvent des aventures avec des filles, et parfois nous partageons.
- Vous allez me partager, dit Nathalie.
- Si tu le désires cela peu s’envisager, mais seulement si tu le désires.
- Eh bien disons que je suis plutôt pour, dit Nathalie avec un joli sourire.

Là-dessus, Chris revient, revêtue d’une écharpe transparente disposée en paréo, laissant deviner sa complète nudité dessous.
- Alors les filles, lance Chris, en forme.
- Oui, que je lui réponds.
- Dis moi, Leslie me demande Chris, Nath est ta nouvelle conquête.
- Absolument, nous nous sommes connues dans le train et avons sympathisées.
- Je pense, réplique Chris, que vous n’avez pas que sympathisées, enfin cela ne me regarde pas.
- Et bien si, je réplique, Nath est d’accord pour que nous passions la nuit dans le même lit.

Il n’en faut pas plus pour réveiller l’instinct de Chris, qui après son apéritif absorbé, à commander des pizzas et des boissons pour ne pas perdre de temps inutile en cuisine. Sitôt le repas terminé, Chris nous demande de la rejoindre dans sa chambre, ou quelques temps plus tard elle nous attendait entièrement nue, avec tous les accessoires disposés sur le lit, double gode ceinture, gode ceinture et plug, un véritable attirail pour expertes averties, Nath à la vue de Chris et des accessoires prit conscience que nous n’allions pas nous ennuyées.
En effet la soirée et la nuit fut digne des soirées de Sodome et Gomorrhe, Nath et Chris s’aimèrent comme deux lesbienne n’ayant jamais connues d’autre filles et s’enfilèrent les godes dans tous les trous, je remplis aussi les trous de mes deux amantes et elles me sodomisèrent à tour de rôle avec le gode ceinture, la nuit fut remplie de cris et de râle, et épuisées nous nous sommes endormies que tard dans la nuit.

A suivre……

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