La Totale

J'aime Josie. Elle m'ignore totalement. pourtant je ne suis ni moche, ni mal foutu. Je n'arrive pas à avoir un contact même lointain avec elle. Elle est grande à peu près 1 m 70, une poitrine un peu petite pour sa taille, des jambes hautes comme ça. Il émane d'elle comme une aura de sexe. Je sais qu'elle n'est pas très sage puisque je lui connais eu moins 4 amants. J'aimerai faire parti de ceux-ci, mais non elle ne me connait pas.
Jusqu'au jour où, sur la route en pleine campagne elle faisait des signes désespérés: elle avait crevé une roue. Quand j'arrivais elle a eu besoin de mes services. Là elle ne m'a pas ignoré: j'ai changé la roue. A mon tour je l'ignorais. Vexée de ne pas être l'objet de mon attention, elle m'a fait des avances: s'en était presque génant. Mais j'aime Josie et je ne lui ai plus résisté. Elle me donne rendez-vous pour me remercier le soir même au restaurant où elle m'invite.
Nous sommes installés au centre de la salle à manger. Nous commendons les repas , et commençant à manger je lui demande pourquoi elle m'ignore complètement: elle a peur de moi. La ville est petite et ont risquerait de faire jaser. Cette explication farfelue, puisque tout lemonde sait qu'elle "fréquente" au moins quatre garçons, me permet de lui faire remarquer qu'elle ne se gène pas pour satisfaire plus d'hommes à elle seule que la plus part des femmesde la ville.
Vexée, elle me rétorque que ses aventures ne sont pas galantes et qu'elle ne fréquente ces quatres hommes pour d'autres raisons.
Et en plus Josie ment. Je lui déclare que je la désire depuis longtemps, que mes masturbations lui sont dédiées. L'idée que je lui avoue que je me branle en pensant à elle la rend plus agréable. Elle en est encore plus désirable. Mais je lui dit que je voudrais faire l'amour avec elle. Et alors là, elle déclare que si je la veux au moins un moment, il faudra que je fasse mes preuves d'amant.
Je suis donc pris à l'essai. Je me contente de cette positon pour le moment.

Je doit réviser toutes les leçon s que m'oint donné mes ex.
Je commence à lui parler des différentes façons que j'envisage pour la faire jouir. Je lui décris avec détail tous ce que nous pourrions faire tous les deux ou même avec d'autres.
Josie rosit et commence à être sacrèment excitée, elle me le dit et me demande de la suivre chez elle. Et là je comprends enfin ce qu'est Josie. Son salon est plein de photos d'elle, nue ou presque: elle sert de modèle à des photographes amateurs moyennant finances. Elle est tout simplement modèle et certaines photos sont signées de grands noms.
Elle n'a donc pas d'amant. Je respire un peu et elle me met en confiance: c'est une règle chez elle:pas de sexe au travail. Donc elle est libre. Il faut maintenant que je tienne mes promesses: je doit lui faire l'amour le mieux possible. Je commence donc par l'embrasser et je la désabille lentement: chaque brin de peu dévétu fait l'objet d'un baiser. Sa mise à nue est très longue, tellement longue qu'elle n'y tient plus et me demande de la prendre comme elle est: il me reste à oter son slip: elle reste en bas. De mon coté je suis nu très rapidement. Je bande et elle prend ma bite pour la branler en me disant qu'il vaut mieux que ce soit elle qui la masturbe, plutôt que moi. Mais je j'arrête je veux jouir en elle, où elle voudra, mais dans son corp. Pour l'exciter encore plus, je la couche et elle écarte les jambes, me montre son con: j'y mets ma tête et m'occupe un petit moment à lècher les grandes et petites lèvres avant que de poser ma langue sur le point central de son plaisir. Elle adore tellement qu'elle jouit dans ma bouche deux fois. Elle me supplit de la baiser.
Pourquoi je devrait la baiser à l'instant, alors que j'ai tant d'autres choses à faire du coté de son bas ventre. Je ne lui ai même pas posé une main sur son cul: je le fais et surprise, elle écarte les fesses pour faciliter l'introduction des deux doigts que je veux y mettre. Elle jouit avec facilité. Elle me demande encotre de la baiser. Cette fois j'ai des douleurs dans ma bite: elle veut aussi rentrer dans ce joli con.
Au moment où je vais entrer ma tige dans son sexe, Josie lève les jambes pour les mettre autour de moi. Nous ne formons plus qu'un corps. Elle murmure à mon oreille qu'il y a longtemps qu'elle n'a pas baisé et qu'elle aussi se branle souvent dans l'attente d'une sorée comme celle-ci. Elle sait bien baiser: elle accompagne tous mes mouvements et me demande d'aller plus ou mons vite selon son plaisir. A la fin elle accélère elle même les mouvements: Elle jouit et me le dit bien fort. Je sent autour de ma pine ses contractions et à mon tour je fait jaillir un flot de sperme dans son con.
Je suis toujours en forme, je ne sais pas pourquoi et je lui demande de l'enculer. elle le veut, mais à condition de se branler aussi. J'aime beaucoup les filles qui se branle et lui demande de la faire devant moi: elle se mastrube le clitoris et en même temps se met deux doigts aux cul. Elle me dit qu'elle aime se masturber comme ça. C'est pareil quand elle se fait mettre dans le cul. Je la traite de trainée et de pute. C'est vrai.
Enfin elle se met en levrette et me donne son cul. Il est très agréable à visiter. Ma queue y rentre entièrement, elle me demande de ne pas aller trop vite: elle se récale trolps d'avoir une bite dans le cul, il faut que ça dure longtemps, même st surtout si elle jouit plusieurs fois.
Je suis étonné des capacité de Josie à faire l'amour. non seulement elle s'en détecte, mais de plus elle a, elle aime donner du plaisir à son partenaire.
Nous nous reposons un moment: elle a le feu au cul après ce que nous avons fait et demande une relache. Je ne demande pas mieux. Et brusquement elle a encoe envie d'une seule chose que nou n'avons pas fait: un 69. J'aime bien pratiquer cette forme de plaisir et comme j'aime le gout d'un con je ne demande pas mieux. Je reste sur le dos. Elle passe ses jambes autour de ma tête et je peux encore voikr son con. Je le prend dans la bouche pour la sucer. Josie, elle entame une fellation comme je n'en ai jamais cunnues. Elle suce lentemant pluis rapidement et enfin encore lentement puis très vite jusqu' au moment olu je vais éclater je le lui dit; elle accelère encore pour que je jouisse dans sa bouche. Pour sa part elle a joui entre temps trois fois au moins.
Nous nous endormons et au matin elle me reveille en portant un petit déjeuner. Josie pense à tout même à ça. Je lui demande si elle eut ecore baiser, oui mais vite fdait elle a rendez-vous avec un photographe un peu plus tard. Je lui propose de ne baiser que plus tard. Ce soir ?. Bien sur quand tu voudra et ou tu voudra: je téai je ne te lache plus.
Je suis amoureux de Josie et elle m'aime aussi.