La Gourgandine ( 2 )
Suite 2
Jai maintenant un peu plus de 21 ans, cest ma 3ème et dernière année de Fac, il reste moins dune semaine avant les examens, je bosse dur, ne pense plus du tout à me faire sauter. Et pourtant ! Un soir Marc soir mappelle, on est mardi.
- Comment vas-tu ?
- Je crois que je suis mieux dans ma tête !
- Tu veux bien quon essaye ?
- Je ne sais pas si je vais pouvoir !
- Ecoute, je ne vais pas te brusquer, si tu ny arrives pas, tant pis !
- Peut être quavec toi ça pourra marcher !
- Demain, de 1 à 2, ça te va ? Jai envie de toi !
- - Je sorts de la Fac à midi, je suis à ¼ dh de chez elle. Je vais louper un cours, si tu peux arriver plus tôt, on aura plus de temps !
- OK, si jviens plus tôt jme taperais un sandwich !
- Je ne te promets rien, cest peut-être encore trop tôt !
Jappelle Carole, la met au courant.
- Pas de problème, tu peux y aller !
- Tu sais il ma proposé mais je ne sais pas si je vais pouvoir, depuis mon viol le sexe ne mattire plus du tout !
- Si tu peux pas, appelle moi, il pourra me sauter à ta place !
- Je ne sais pas sil voudra que tu me remplaces!
- Au moins y sra pas vnu pour rien !
- Jpeux pas rester à vous regarder !
- Tauras quà partir et mle laisser !
Le lendemain je file chez Carole, je sais quelle a toujours de quoi faire un casse dalle en cas durgence. Il est midi ¼ lorsque jarrive, je mets mon blouson au porte manteau derrière la porte, fais une toilette intime. Jai à peine fini de me rincer la moule, on frappe à la porte, je remonte ma culotte, referme mon jean, fonce ouvrir. Il est là, devant moi, costume cravate. Je le fais entrer, il regarde autour de lui, admire le studio.
- Dis donc elle a du goût ta copine, cest bien aménagé chez elle.
Cest un mec d1 m 88, au moins 85 kg,, 33 ans, vraiment bel homme. Il enlève sa veste, me la donne, je laccroche au porte manteau à côté de mon blouson.
- Jai très envie de toi ! Jai pas beaucoup de temps, faut quon se grouille jdois être au bureau à 2h !
- Jai peur de te décevoir !
Il avance dans le studio, me tourne le dos, se déshabille tranquillement, je suis au milieu de la pièce, le regarde mettre ses vêtements sur la chaise, le voilà nu comme un ver. Il se retourne vers moi, il bande, sa queue est raide, pointée vers moi, il me dit.
- Quest cque tattends pour en faire autant ?
Je ne réponds pas, reste médusée devant la taille de lengin, je ne vois que ça de lui, pourtant je lai déjà eu en moi de nombreuses fois avant mon viol. Au jugé elle doit faire environ 5 cm de diamètre et 20 à 22 cm de long. Je reste figée devant lui, en un éclair je revoie la bite qui ma pénétré par effraction, je mangoisse, lui dit :
- Ca fait bien plus dun an que je nai pas vu la bite dun mec !
- Reste pas comme ça à la regarder, prend la !
- Jpeux pas !
- Alors jsuis venu pour rien, jte laisse
- Excuse moi, jsuis pas prête.
Il commence à ramasser ses habits, enfile son slip. Je ne peux pas le laisser repartir comme ça, dune voix suppliante je lui dis :
- Faut pas men vouloir, jai peur de la toucher!
- Fait un petit effort !
- Je ten supplie, reste !
Il repose ses vêtements sur la chaise, se retourne vers moi, jai les yeux attirés par lénorme bosse qui déforme le slip.
- Alors quest cquon fait, tu te décides ?
- Ressort la, ça va peut être men donner envie !
Il peine à ressortir sa queue par lentrejambe du slip, elle est au garde à vous, rouge, longue, dressée. Je recule, le regarde, hésite, rougit, cest trop dur. Comme je reste là plantée devant lui, obnubilée par la dimension de sa queue, il me dit :
- Fait quelque chose ou je remballe tout et je men vais !
Il avance vers moi, me serre contre lui, me roule un patin, fourre sa langue dans ma bouche, frotte sa queue sur mon ventre.
- Tu vois, cest pas si dur !
- Ca me fait tout drôle de la tenir !
- Pompe moi le dard !
- Jpeux pas faire plus !
Je rougis, jai un peu honte de me trouver dans cette situation, avoir un mec tout nu devant moi auquel je tiens la queue. Je ne peux plus le faire attendre, il faut que je me décide sinon il va partir. Il me dit :
- Jvais taider !
Il mappuie sur les épaules, me force à maccroupir devant lui. Je nai pas lâché la hampe, la comprime derrière le gland, il devient violet, je passe mon doigt sur le bout, ouvre le méat, le titille, ça me fait tout drôle dy toucher.
Il me prend la tête, approche sa queue de mon visage, la frotte sur ma bouche. Je louvre, il y introduit son gland, je salive, le recrache, passe le bout de ma langue sur le méat entrouvert, la bite se contracte. Il me la remet en bouche, je lenroule de ma langue, il me tient la tête, entre une partie de la queue, fait des va et vient dans ma bouche, je salive. Il me lenfonce en fond de gorge, me tient la tête, jétouffe, la recrache, je bave, il recommence, métouffe encore. Je sens que ma vulve se mouille, mais jai peur davoir un tel engin en moi. Il me relève, dit :
- Baisse ton jean, jvais tla mettre !
- Tu vas me faire mal !
- Je te lai déjà rentré, tas oublié ?
- Non, cétait avant !
Jouvre mon jean, le descend sur mes pieds, lenlève, passe mon tee-shirt par dessus ma tête, je me retrouve poitrine à lair et en petite culotte. Je pose mes vêtements sur lautre chaise. Alors que je suis penchée en avant, il matt, écarte ma culotte et glisse sa queue dans mon entrejambe, je la sens appuyée sur larrière de ma vulve.
- Non, pas comme ça !
Je me redresse, il me retourne vers lui, caresse mon corps, sattarde sur ma poitrine, mes tétons, les titille avec sa langue, ils se redressent, mes seins durcissent, jen frissonne.
- Ce que tu es belle !
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