Couchée Sur Le Banc...
Ce coup là, Mish mavait prévenu : Demain, 14h, ça va ? Tes en forme ? Ok
Ciao ! . Je navais pas eu le temps de "bricoler" un gadget, et le banc pouvait encore servir, avec un peu d'idée...
Le lendemain, je l'accueillais en robe de chambre, bisou-bisou, et elle commence à me conter ses histoires habituelles, je linterrompt Tas soif ? : Oh, oui ! Ste plait
, et elle reprend son babillage. Verre en main, je reviens vers elle, lui tends et pendant quelle commence à siroter, je déboutonne son chemisier et caresse ses petits seins pointus : Ah, bein toi, alors !. Mes doigts roulent ses tétons, les tiraillent, ma bouche remplace mes doigts, je soulève sa jupette ample et glisse son string sur ses hanches, ses jambes
Jai la figure en face de sa touffe sombre et bien fournie comme je les aime, minute, pas encore, patience, je me relève et commence à lui caresser la vulve sous la jupe, dun doigt, de la touffe au périnée, enserrant sa taille, et lui collant la hanche sur ma bitte déjà tendue.
Je la pousse doucement en arrière, jusquà toucher le banc : Assieds-toi ! : Tu devais pas inventer autre chose ? : Regarde !. Dune main, je récupère son verre, de lautre je découvre lextrémité du banc, ou jai fixé deux magnifiques bittes de bois verticales, une de chaque coté. Allonge toi, et att tes poignées
Et je la pousse en arrière, lallongeant sur le dos, jambe à droite, jambe à gauche.
Obéissante, elle chope un gode dans chaque mains, relevant ses nichons en obus, son chemisier aux épaules. Soulevant son cul, je dégrafe la jupe, la fait glisser, elle tends les jambes, la jupe est a terre, elle repose un pied de chaque coté du banc, cuisses ouvertes, abricot rebondi
Je me place à coté de son torse, ma robe de chambre vole, et jécarte encore un peu plus ses cuisses avant de plonger la bouche vers son con. De la langue, je fouilles ses lèvres, titille son bouton, je lui lèche un peu le haut des cuisses.
Dun bras je la bloque ouverte, lautre main file vers ses nichons dont je recommence à tirailler les pointes, et ma langue sinsinue au plus profond de sa chatte ; jélargis encore sa faille du bout de mon nez, cette fois cest elle qui écarte encore les genoux, et je peux la titiller du doigt tout en lui léchant le bouton. Je lui introduis le pouce, doucement, bien lentement, en tournant un peu, et bien à fond, je lélargis de petits ronds, avant de la limer consciencieusement.
Elle appuie mes mouvements, ses hanches ondulant au rythme de mes caresses, je remplace le pouce par le majeur, puis le petit doigt, je la laisse se resserrer au tour de mon doigt, en manque de grosseur.
Ma bitte est en manque, elle aussi, jenjambe le banc, mes couilles sur son nez : Ouvre la bouche !. Elle ma attrapée la queue dune main, toujours cramponnée de lautre à la biroute de bois, et elle commence à me sucer le gland, main fermée sue ma tige raide. Je ressors le gland de sa bouche, ses doigts repousse mon prépuce dessus, je le rentre et ses lèvres le remplace
Divin !
Je la sens maintenant toute étroite, et son ventre ondule de petites vagues comme je les aime
Jabandonne sa bouche, son sexe : Et maintenant, Accroche toi !. Elle a repris ses deux pines de bois à pleins poings, je lui allonge une jambe sur le banc, et jenjambe le tout, bitte vers con, je passe mon bras sous son autre jambe, cuisse verticale, ma main sur la touffe, doigts aux lèvres, zob au garde-à-vous.
A deux doigts, je découvre son clito, lautre main incline mon chibre vers son con, et je nous branle du bout du gland, dans les lèvres entrouvertes. Elle pousse sur les bras, pour tenter de sempaler sur mon manche, assis sur sa cuisse je la fais patienter, jaime faire durer, elle chauffe plus, sa mouille suinte de partout, et jai limpression de grossir et durcir sans fin
.
Viens, allez, viens, emmanche moi, allez, je vais
Je peux plus
Viens. Allez, vagin secoué de spasmes, il est temps, tu vas en prendre. Jincline encore le gourdin, place le bout juste à lentrée et dun lent mouvement continu, je lui défonce la moule. Elle râle de plaisir, je sens ma queue qui lélargit sur toute la longueur. En butée, jappuie sur sa cuisse pour la pénétrer encore, lui bouter la trique à fond. Et a nouveau merveille, je sens son anneau en action : elle me serre la base du sexe, en pulsations lentes, puis maspire la tige dans une lente étreinte remontante, jusquà la pointe du gland, une deux trois fois, avant de jouir dans un soupir, et de se relâcher, ventre inerte, muscles mous, abandonnés
Cest le moment de la ranimer à grands coups de queues,de la limer à fond, de lui lécher les nichons, téter les tétons, ramoner la cheminée à grands coups de tisonnier brûlant, je regrette ne pouvoir lui rentrer les couilles avec. Ah, elle revient, labricot revit, elle maspire à nouveau, défaille encore, ses orgasmes de plus en plus rapprochés me sur-bandent , je vais lui cracher tout mon sirop à fond de matrice, en longs jets saccadés, mes dents dans son épaule, son vagin me massacre la tige détroitesse et de spasmes convulsifs
En me quittant, elle ma fait : Encore bien, ce banc
Y a encore quelque chose à en tirer, tu crois ? : Vais voir
A plus. Et on sest quitté.
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