Rencontre Improbable !

Cela a du déjà vous arriver, vous vous baladez tranquillement dans une rue et vous croisez, une fille ou un garçon suivant votre tendance et vos regards échangent des étincelles. Très souvent, vous n’osez pas ou vous n’avez pas le temps ou vous êtes fidèle à votre amour du jour ! Cela m’est arrivé il y a quelques années. J’étais un provincial à Paris à regarder tout ce qui m’entoure et mes yeux plongent dans deux petits lacs bleus aux reflets électriques. Un sourire furtif apparaît au coin des lèvres de cette belle brune d’une petite quarantaine d’année. Mois jeune homme de vingt cinq ans à l’époque je ne comprends pas tout de suite et je continue mon chemin quand je réalise, je me retourne, je ne vois plus la jolie jeune femme. Je fais un effort de mémoire et je me rappelle des cheveux courts, d’une robe dans les bleus clairs des épaules nues ! Mais je ne vois pas cette silhouette. Tans pis je continue mon chemin. Et je ne sais pourquoi mes pas vont revenir sur le lieu des étincelles. Bien sur plus de cette belle fille. Comme je suis devant un grand magasin je me dis autant allez y faire un tour. Au bout d’une bonne heure passée dans cet espace de débauche financière j’allais ressortir quand devant le rayon des parfums je vois ma belle brune. Je vais droit sur elle et je m’immobilise à trois pas d’elle regardant les boites de parfums. Je sent sont regard. Je tourne la tête, ses yeux son vrillés sur moi, un grand sourire lui illumine le visage. Je m’approche d’elle. Elle prend tout de suite la parole :
- il me semble que l’on s’est croisé tout à l’heure ?
- oui ! vos yeux m’ont transpercé !
- merci !
Et là j’ai perdu la maitrise de la situation. Elle m’a pris par la main sans rien me dire et m’a entraîné dans le dédale des rayons, son pas est de plus en plus rapide, elle tourne sa tête vers moi ses yeux sont décidés, rieurs ! Elle s’immobilise au bout d’une console de vêtements, elle regarde à droite et à gauche et elle démarre vite vers une porte ou un grand panneau entré interdite nous tend les bras.

Elle pousse la porte et on entre dans un couloir dans une pénombre ou l’on distingue à peine deux ou trois mannequins nues. Elle s’arrête et ouvre à sa gauche une porte donnant dans une autre pièce. Petit locale ou sont entreposés des cartons jusqu’au plafond. On contourne les cartons et elle se jette sur ma bouche. Elle m’embrasse goulûment, elle passe ses bras au tour de mon cou et se dresse sur ses pointes de pieds. Sa langue s’active fiévreusement dans ma bouche. Elle s’arrête d’un coup enlève ses bras de mon cou, puis prend entre ses doigts de la main gauche son alliance l’enlève et la glisse dans son sac. Elle passe ses mains sous mon polo et m’embrasse à nouveau. Je la prends dans mes bras, mes mains glissent sur sa taille et une va se poser sur ses fesses. Fermes rondes douce à travers le tissu. Elle se cambre passe une main entre nous et à travers mon pantalon me masse le sexe déjà bien raide, elle pousse un petit soupir de satisfaction, elle défait ma ceinture et ouvre mon pantalon. Elle ne m’a pas lâché la bouche, je remonte sa robe légère et je passe ma main entre sa culotte et ses fesses, je glisse entre elle et suis la vallée et je tombe sur ses lèvres ouvertes. J’ai les doigts immédiatement mouillés pas son envie dégoulinante. Mon sexe sortie elle me branle un peu pose une jambe sur un carton et écarte sa culotte, mon sexe est conduit impeccablement entre ses lèvres et je glisse merveilleusement dans son vagin détrempée. Elle lâche ma bouche et pousse un soupir de plaisir agrémenté d’un grand frisson. Je commence à la prendre profondément, elle pose sa tête au creux de mon épaule et accompagne mes allers retours. D’un coup elle me dit :
- stop !
Je ne bouge plus son bassin continue des mouvements et d’un coup elle se raidi et son sexe me presse par saccades et je pense qu’elle a un orgasme. Je la laisse faire. Elle se calme se débranche pose sa jambe et sa bouche vient se coller de nouveau à la mienne. Sa main me reprend le sexe et me branle à nouveau. Elle lâche ma bouche et se tourne, elle se penche et pose ses mains sur un carton et offre ses fesses. Je la prends en levrette. Elle pousse de petits grognements qui me font penser qu’elle apprécie mon travail. Elle s’immobilise et je continue, elle jouie à nouveau et cette fois si elle se plis et s’accroupie. Je reste à la regarder sans trop savoir quoi faire. Elle se redresse et prend mon sexe à deux mains et me branle à nouveau. Elle regarde mon sexe et ses mains très douces et efficaces me massent me triturent, et sans aucune difficulté elle me fait éjaculer. Mon sperme gicle et adroitement elle évite les jets. Elle me masse encore un bon petit moment. Elle sort un mouchoir de son sac et m’essuie. Elle lèche un peu de mon sperme sur sa main et je sens un frisson la parcourir. Elle rentre mon sexe et referme mon pantalon. Elle m’embrasse à nouveau et sans un mot me reprend par la main et elle me conduit dans un dédale de couloires et on sort par une issue de secours dans une ruelle. Elle me pousse dehors dépose une bise sur ma joue et lestement repasse la porte et la ferme. Je reste dehors, seul ! Je ne l’ai jamais revu !