Leslie Transexuelle Chapitre 51
CHAPITRE 51 - Désir dexhibition et conséquences.
Je me suis découverte un petit côté exhibitionniste, dans la série de mes phantasmes jaime mexhiber, mais très discrètement, limite pudique tendance vicieuse.
Ce sont les situations insolites dont je raffole, voulues ou non, quand une pointe d'érotisme et un rien de surprise sont présentes.
Car j'aime être déshabillée du regard par les hommes ou les femmes, cela me flatte et me donne des frissons. Je suis exhibitionniste lorsque je suis seule et nue à la maison, livrée aux regards inconnus qui peuvent découvrir ma nudité ambiguë, ou lorsque je me promène les seins nus sous un fin tee-shirt ou un corsage transparent, offrant ma poitrine menue à des regards inconnus.
Mais mieux encore, cest lorsque portant une jupe sans la moindre culotte, je laisse mon sexe intégralement épilé libre de tous les mouvements et quun regard découvre que je ne suis pas totalement femme, à cet instant jadore voir ce regard étonné empreint au désir de voir de plus près.
Un jour, je me suis préparée pour une petite exhibition pour laquelle je phantasme depuis un bon moment, javais besoin de nouveaux escarpins et je suis sortie comme souvent avec un corsage transparent laissant voir ma petite poitrine et une jupe fendue sans rien dautre dessous.
En entrant dans un magasin de chaussures, jai remarquée une petite vendeuse de vingt ans à peine, mignonne comme un cur, blonde, je me suis rendue vers elle pour lui faire savoir mes besoins.
- Bonjour, Mademoiselle, je veux voir une paire descarpins noirs à haut talons, luis dis-je quand je fus prêt delle.
- Avez-vous vue un modèle en vitrine, me demanda telle.
- Oui celui-ci avec la bride autour de ma cheville, lui répondis-je, en lui montrant le modèle de mon choix.
- Installez-vous, je reviens dans un instant, quelle pointure.
- Je pense quun 37, fera laffaire.
Et la voila partie dans larrière du magasin et en masseyant je ne peux quadmirer son physique, elle est mince et possède un petit fessier aux hanches étroites qui me laisse rêveuse.
Elle revient quelques instants plus tard chargée de trois boites, puis sinstalle en face de moi sur un petit tabouret afin de me faire essayer les escarpins choisis.
Cest au moment de me passer les escarpins que jécarte mes jambes, laissant découvrir à ma jeune vendeuse ma nudité ambiguë.
A la couleur que prenne ses joues, je suis certaine quelle à tout vue et cela me fait monter en moi ladrénaline, en ouvrant un peu plus les jambes ma jupe remonte légèrement le long de mes cuisses, me dévoilant un peu plus au regard de ma vendeuse, dont les yeux brillent de convoitise et denvie, je reste ainsi ouverte au regard de cette petite vendeuse, qui ne semble pas étonnée, mais plus simplement curieuse, elle narrive pas à détacher son regard dentre mes cuisses, mais restant professionnelle je lentends me dire :
- Ces escarpins vous vont à ravir, mademoiselle, ils feront le plus bel effet avec votre silhouette, voila un très bon choix, marchez un peu pour vous rendre compte.
Je me relève et marche un peu pour faire lessai des escarpins et pour éveiller lattention de ma jeune vendeuse sur mon anatomie.
- A ravir, me confirme telle, voulez-vous essayer autre chose mademoiselle.
Elle à tellement insistée sur « mademoiselle » que je ne peux que répondre :
- Oui, auriez-vous une autre paire à essayer.
- Je pense que jai quelque chose qui va vous plaire, attendez moi un instant.
Je minstalle à nouveau pour attendre cette petite vendeuse, qui revient vite avec une boite de chaussure en main, elle louvre devant moi et me fait découvrir une merveilleuse paire de cuissardes noires à hauts talons, se lançant sur le devant, voyant mes yeux émerveillés , elle me dit :
- Elles vous plaisent, Mademoiselle, voulez vous les essayer.
Et sans attendre ma réponse, elle menfile la première cuissarde, tout en profitant du spectacle que je lui offre, puis la deuxième, puis je lentends dire :
- Alors comment trouvez-vous ces cuissardes.
- Superbes, lui dis-je, très souffle et du plus bel effet.
- En effet, me réponds telle, elles vous vont à ravir, là elles sont en mousquetaire, repliez au dessus des genoux, mais regarder vous pouvez les remonter à mi-cuisses, si vous le désirez pour faire un peu deffet à votre entourage.
Et elle remonte le haut des cuissardes sur mes cuisses, délicatement et me regardant dans les yeux elle en profite pour frôler mon sexe du bout de ses doigts en me disant à voix basse :
- Car vous faites beaucoup deffet, Mademoiselle.
- Faites vous partie des personnes à qui je fais de leffet.
- Oui, me dit elle, vous le savez, mais lendroit nest pas approprié pour vous le démontrer.
- En effet je pense que malheureusement ce ne soit pas possible ici.
Son regard me dit quelle à compris, puis je rajoute :
- Je prends les escarpins et les cuissardes.
- Très bien, Mademoiselle, suivez moi.
- Et la vendeuse aussi, je rajoute.
Elle se retourne vers moi, avec un large sourire sur les lèvres et dune voix presque inaudible je lentends me dire :
- Tout est à prendre, pour qui le demande gentiment.
Elle se retourne et se dirige vers la caisse, je ne peux quêtre admirative devant sa silhouette, et arrivées à la caisse, je règle mon achat, ma jeune vendeuse me regarde dans les yeux, et me dit :
- Je mappelle Estelle, attendez moi ce soir, le magasin ferme à 19 heure.
Je sors du magasin sous le regard dEstelle, je nen reviens pas, vola une belle journée.
Ayant du temps avant de retrouver Estelle à la sortie du magasin, je décide den profiter pour passer un autre moment à mexhiber, je me sens à cet instant toute émoustiller et prête à faire le grand jeu si loccasion se présente.
Cest non loin de là, que dans la vitrine dun magasin je remarque de jolis débardeurs, à lintérieur trois vendeuses sont affairées avec des clientes, je rentre à lintérieur pour commencer à regarder.
Quelques instants plus tard, une vendeuse est prêt de moi pour me demander si elle peu maider, je remarque que son regard ségare dans léchancrure de mon corsage, donnant accès à la vue de mes seins en liberté, elle est jeune et jolie.
Je fais mon choix sur trois débardeurs et dit à cette vendeuse que je veux faire un essayage, mais quen plus il me faut un pantalon blanc, et que si pendant que jessaye les débardeurs elle peut aller men chercher un, elle est un véritable cur, flattée elle part en recherche.
Je me dirige vers les cabines dessayage et jattends la libération dune de celles-ci.
La première est occupée et les rideaux sont fermés, la seconde est occupée par une belle dame blonde dune trentaine dannées, les rideaux ne sont pas complètement tirés, laissant son corps dénudé à la vue de ceux qui sont non loin de la cabine, et tout comme moi, deux jolies jeunes filles profitent du spectacle offert, en admirant la splendide poitrine dénudée de la blonde, ainsi que son fessier, seulement habillé dun string ficelle.
Jentends les deux jeunes filles qui échangent des propos sur la beauté de cette femme et tout particulièrement des formes harmonieuses que celle-ci offre à nos regards, la blonde se retourne et nos regards se croisent, la femme me sourit et tire le rideau.
La jeune vendeuse revient avec le pantalon blanc en mains, toute heureuse davoir trouvée un pantalon à ma taille, cest le moment que je choisie pour faire tomber un débardeur à terre, la vendeuse sagenouille pour ramasser le débardeur tombé à terre, elle est tout près de moi, à genoux à mes pieds dans ce rayon masquée à la vue de tous, jen profite pour écarter légèrement les pans de ma jupe et la remonter vers le haut de mes cuisses, dévoilant à son regard le haut de mes jambes, mon sexe imberbe et ma virilité nue à demie bandée.
- Vous ne portez pas de dessous Mademoiselle, me demande la vendeuse troublée.
- Rarement lui répondis-je.
Les yeux fixés sur mon entre-jambes, elle reste un instant accroupie à mes pieds, puis une de ses mains se pose sur ma jupe, juste sur mon sexe, me caresse de façon appuyée, puis elle se redresse avec un regard malicieux, et me dit :
- Allez faire votre essayage, vous êtes très belle.
La femme blonde sort à ce moment de la cabine et me dit :
- Je crois que cest à votre tour Mademoiselle.
Une fois dans la cabine jenlève mon corsage et fais face, la poitrine nue à la glace de la cabine.
- Cà va mademoiselle, me demande la jeune vendeuse en ouvrant le rideau sans attendre ma réponse.
Je me retourne et me retrouve la poitrine nue face à elle, cette petite vicieuse un certain temps avant de refermer le rideau, lui permettant ainsi qu'à la femme blonde, restée à proximité, de profiter du spectacle.
Je maperçois, alors, que la vendeuse à volontairement mal refermer le rideau laissant un jour entre les deux pans du rideau, après avoir enfilée un des débardeurs je défais ma jupe et me retrouve cul nu dans la cabine.
Des frissons parcoururent mon corps, je sens en moi lenvie irrésistible den montrer plus, je passe le pantalon en me trémoussant sans toutefois le fermer au niveau de mon pubis, laissant ainsi mon sexe en dehors du pantalon.
Je demande alors à la vendeuse de venir maider et de me dire ce quelle pense de ma tenue, elle entre, laissant le rideau ouvert pour que la femme blonde puisse en profiter.
Elle me découvre le pantalon sur les hanches et le sexe offert, elle prend mon sexe en main et me dit :
- Très belle, vous êtes très belle, permettez que je vous aide.
Sa douce main se pose mon sexe et le serre entre ses doigts, puis elle saccroupie et écarte délicatement mes jambes en descendant légèrement le pantalon sur mes hanches, puis passe une main dans mon entre jambes afin de me caresser la raie, jécarte un peu plus mes jambes tandis quelle prend mon sexe entre ses lèvres et touche du bout dun doigt mon illet.
Le femme blonde est là et regarde les yeux fixer sur mon sexe gonflé entrant et sortant de la bouche de la vendeuse, remplie de désirs je me cambre sous la caresse, puis elle se relève, sans ôter sa main de mon sexe qui bande, et debout près de moi elle membrasse à pleine bouche tout en me branlant doucement, comme dans un rêve je vois le regard de la femme blonde qui nayant rien perdue du spectacle me fait un clin dil et se dirige vers la caisse.
Tout à une fin, ma petite vendeuse sort de la cabine en fermant le rideau, emportant les débardeurs et le pantalon en me disant :
- Je vous attends à la caisse et en attendant je prépare votre paquet et la facture.
Je me rhabille et quitte la cabine, après avoir réglée mes achats, je suis partie en faisant un clin d'il à ma complice de vendeuse et je suis sortis du magasin.
Je remarque que la vendeuse sourit, elle maccompagne et en ouvrant la porte du magasin je lentends me dire :
- Revenez quand vous voulez, nous fermons à 19h00.
A suivre
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