La Gourgandine ( 4 )
4----- Un samedi après midi, ma copine vient me voir. Elle me raconte ce qui vient de lui arriver.
- Jai viré le mec qui vient me sauter sans autre but que de tirer son coup. La dernière fois quil est venu chez moi, ça cest mal passé. En entrant il matt un bras, me retourne, me déséquilibre, je me retrouve à genoux. Il me pousse en avant, mappuie sur le dos, me fout à plat ventre sur le sol, juste derrière la porte. Il relève ma jupe, écarte ma culotte, se place entre mes jambes, mouvre les fesses, place sa bite sur ma rosette, je crie
- Non non, pas ça !
Il mencule direct à sec, sacharne dans mes entrailles pendant une dizaine de minutes. Il met sa main sur ma bouche pour mes cris, je frappe le sol, tente de me dégager, rien y fait, je subits ses assauts, il mécrase sous son poids. Il sest enfoncé jusquaux couilles, se bloque, râle, donne plusieurs secousses, décharge dans mes boyaux. Il reste affalé sur moi, sa queue quitte lentement mon cul, le voilà dehors. Il se relève, va dans la salle de bain, jentends leau couler, il doit se laver la queue. Je reste là, sur le sol, jambes écartées, jupe remontée sur le dos, cul à lair, je nai pas la force de me mettre debout, jai le trou du cul en fleur, pleure. Il revient dans lentrée en remontant son jean, me dit :
- Salope, ça fait longtemps que jai envie de tenculer !
- Fous le camp dici, jveux plus te revoir !
Je commence à me relever péniblement, je suis à genoux, il me repousse avec le pied, me fait basculer sur le côté, je me retrouve sur le sol, jambes recroquevillées. Il est debout derrière moi, me dit,
- Tas le cul dégueulasse !
- Salaud, barre toi !
Jessaie à nouveau de me relever, il me regarde, ninsiste pas, ouvre la porte, sort, la claque derrière lui. Jai du mal à réagir, me relève avec beaucoup de difficultés, vais dans la salle de bain en titubant, prends une douche, jen ai besoin.
Ce nest pas la première fois quil se comporte de la sorte. Jusque là il ne ma jamais enculé. La fois davant, comme il bande toujours quand il arrive, il sort sa queue dès quil a franchi la porte. Il baisse mon jean, me plaque nez contre la porte, mécarte la culotte et me l enfile debout par derrière. Cest la première fois quil me la rentre sans capote. Je nai pas le temps de mouiller quil a déjà terminé sa petite affaire et est reparti, me laissant pleine de son foutre, ça me coule le long des cuisses. Je prends la pilule, mais cette baise sans capote me rend anxieuse, je ne sais pas dans quoi il fourre sa queue les jours où il ne vient pas me sauter. Dhabitude, quand il vient, le fait de sentir sa queue au bord de mon trou me fait mouiller. Mais ces derniers temps je ny parviens plus, il me baise à sec, je me rends compte que sa pine ne mattire plus, que lindividu me dégoutte, jaimerais connaître autre chose ! Un mec qui ne me prend pas simplement pour un vide-couilles comme le fait cet enfoiré. En menculant à sec il a dépassé les bornes !
Sa voix na pas les mêmes intonations que dhabitude, elle est pleine de sanglots. Je lui dis :
- Jespère que tas compris. Jai pas apprécié ses façons quand il nous a baisé toutes les deux.
- Je vais demander à ton père de minstaller une chaîne de sûreté.
- Jsais pas sil va vouloir !
En partant, elle passe dire dit bonjour à mon père qui est au comptoir, lui demande une bière. Il y a quelques clients dans la salle et pendant quelle sirote sa bière, lui demande discrètement :
- Jai un service à vous demander.
- Vas-y, je técoute !
- Pouvez vous installer une chaîne de sécurité sur ma porte ?
- Quest ce qui tarrive, tas des ennuis ?
- Oui, un mec mimportune !
- Bon, mercredi cest mon jour de fermeture, ça te va ?
- Vous êtes un amour !
- Temballes pas, jaccepte mais tu ne me fais pas le même coup que lorsque jai débouché ton évier.
- Merci, javais peur de vous demander
- Tas acheté squy mfaut au moins ?
- Oui, le kit est complet, y a quà poser !.
Je finis ma bière, il ne veut pas que je paie ma consommation. Le mercredi, comme promis, il se rend chez moi. Jai pris mon après midi. Je suis en jupe et corsage léger transparent, joli soutif rose avec dentelle autour des balconnets, mini culotte assortie. Il frappe à la porte, je nouvre pas, demande.
- Cest qui ?
- Le serrurier !
- Entrez ! Mettez-vous à laise !
Il dépose sa mallette, je prends sa veste, la met au porte- manteau derrière la porte.
- Venez, asseyez-vous !
Je lui offre une bière, en prends une pour moi. En buvant sa bière, il doit repenser au débouchage de lévier dil y a presque 3 ans car il me dit :
- Aujourdhui tu déconnes pas ! Jpose la chaîne et je men vais aussitôt qucest fini !
- Jvous plais pas ?
- Si, bien sûr. Aller, au boulot faut pas que jmattarde !
Il se lève, je lui donne le kit, il prend sa mallette, la met à côté de la porte, prend ses outils, se met au boulot. Il doit percer la porte, il y a 2 boulons à mettre et 4 vis. Heureusement quil a pris une perceuse sans fil. Je le regarde travailler, ouvre la porte de la salle de bains. Il tourne la tête
- Tu vas pas ressortir à poil ?
- Mais non, jai juste envie daller aux toilettes !
Je ferme la porte, pisse, me fais une toilette intime, revient dans la pièce. Il me regarde, paraît soulagé de voir que je nai rien changé à ma tenue. En moins dun quart dheure, la chaîne est installée. Ca paraît solide, mais ça doit pas résister à un bon coup de pied, on voit ça au cinéma ! Pourtant jai acheté le modèle haute sécurité. Mais enfin, ça me rassure. Il me dit :
- Voilà, cest terminé, ça te va ?
- Oui, bien sur, je suis plus tranquille.
Il revient sasseoir.
- Ouf ! Cinq minutes de pose !
- Vous reprendrez bien une bière ?
- Cest pas de refus ! Il fait chaud !
Je lui en sers une, en prends une autre pour moi, minstalle face à lui de lautre côté de la table.
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