La Gourgandine ( 6 )
6 ---- Trois semaines se passent, pas de baise en vue, ça ne me manque pas, jy suis habituée. Cest la période des examens, jai besoin de toutes mes facultés. Ouf ! Je suis reçue, Carole aussi. Il faut dire quon a bossé dur, lune et lautre voulaient réussir. On a révisé ensemble, chez elle, avec quelques moments de détente durant lesquels on a utilisé son gode.
Ca fait maintenant un peu plus dun mois que jai eu Marc dans moi, il ne ma pas donné signe de vie, sa queue me manque mais je nen veux pas dautre que la sienne. Munie de mon diplôme, je suis allé voir le chef du service approvisionnements de la grande enseigne dans laquelle jai déjà effectué 2 stages de 3 mois durant les vacances dété. Comme il me lavait promis, jaurais un emploi dans son service dès la rentrée en septembre. Mais avant tout je vais encore me taper 2 mois comme caissière pour me familiariser avec les produits. Jai des horaires décalés, ce qui me permet dêtre libre après 15 h lorsque je travaille le matin, ou jusquà 13 h quand je suis daprès midi, samedis compris. Lorsque je suis à la mise en rayon, certains mecs me font du rentre-dedans. Ca ne mintéresse pas, je ne veux pas compromettre mon avenir dans cette boîte, même si certains me font envie, pas de baise au boulot. On est mardi, je viens de rentrer et que je me languis sur mon lit, le téléphone sonne. Cest Marc.
- Tes au boulot ?
- Non, je suis allongée sur mon lit, bouquine.
- Jai un peu de temps, je peux passer chez ta copine ?
- Jvais lappeler pour savoir si elle est chez elle, rappelle-moi dans 5 mn
Je raccroche, appelle Carole, elle répond. Elle est au boulot, me donne le feu vert! Marc me rappelle :
- Alors ?
- Elle est au boulot. Elle ma dit quon pouvait y aller. Jai la clé, je serais là bas dans une bonne demi-heure, attends-moi en bas.
Il est 3h1/2, il faut que je me grouille, cest une occasion que je ne peux pas manquer, cest si rare.
- Je tai appelé, jétais pas loin, jen profite.
- Tas bien fait.
- On-y-va ?
On arrive chez Carole, je prends ma clé, on entre, je pose mon sac, referme la porte, tombe dans ses bras, il cherche ma langue, me roule une pelle de première. Je lui dis :
- Jai très envie de toi !
- Moi aussi !
Je lui enlève la veste, quitte mon blouson, mets le tout au porte manteau. Je reviens vers lui, on sembrasse de nouveau, il cherche ma langue. Rien que son contact me fait mouiller. Je me frotte contre lui, il est venu pour me sauter, plus vite je le mets en condition, plus vite il sera dans moi ! Tout en continuant à se bouffer la bouche lun et lautre, jouvre sa braguette, glisse ma main dans le slip, capture un mandrin impressionnant, il est déjà en forme. De son côté il ne perd pas son temps. Il passe sa main sur ma peau derrière la ceinture du jean, la glisse dans ma petite culotte, elle arrive sur ma toison, passe dans lentrejambes. Ses doigts titillent mon clito, glissent dans ma fente, ouvrent mon orifice, les voilà qui pénètrent dans lentrée de mon couloir secret. Pour ma part jastique la queue, le branle énergiquement, elle se raidit, gonfle, sallonge, devient énorme dans ma main. Il abandonne ma bouche,
- Je vais te prendre!
Il ouvre mon jean, le descend sur le haut de mes cuisses. Je me retourne,
- Prends moi par derrière !
Jappuie les mains sur le mur de lentrée, cambre les reins, lui offre mon cul. Il sort sa queue du pantalon, écarte ma culotte, ouvre ma fente, y met son dard en place, pousse,
- Ouille ! Rentre la doucement !
Le gland dilate lentrée, passe sans difficultés malgré la dimension de lengin, la queue senfonce facilement tellement jai envie de lui et que je mouille.
- Aïe, tu vas trop loin !
- Jtai pas tout rentré !
Ma gaine sallonge, il tente de men enfiler au moins 20 cm. Il attend quelques secondes que mon ventre laccepte, je ressers mon vagin, il commence le pilonnage. Jai chaud, accompagne chaque coup de piston par des coups de cul, couine. Il sarrête au fond de moi, je sens sa bite se contracter, dis
- Attend un peu pour décharger !
Il me soulève, me transporte sur le lit toujours ancré sur sa bite, me dépose à genoux, je pique du nez, je me retrouve les épaules sur le lit .Il recommence un doux ramonage, que cest bon de le sentir aller et venir dans moi de la sorte. Je crois quil se retient, ne décharge pas, ressort son pieu, se relève. Je mécroule, me retourne sur le dos, le regarde, sa queue est rouge, raide, dressée, luisante de cyprine.
Il me soulève les fesses, enlève mon jean et ma petite culotte, je laide en enlevant mon tee-shirt. Me voilà nue, allongée sur le lit, il me regarde :
- Ce que tu es belle !
Il ôte sa chemise, fait tomber le pantalon, rentre son mandrin, peine à enlever slip tellement sa bite est raide. Il prend mes vêtements et les siens, place le tout sur une chaise. On est à poil tous les deux. Il me redresse, massoie au bord du lit, présente son énorme engin devant ma bouche. Jabsorbe le gland, le suce. Il a le goût de ma cyprine, jaime pas, cest âcre, fort ! Et pourtant je mapplique à lui faire plaisir. Il me bascule, prend mes chevilles, écarte mes jambes en grand, les relèves, les tient en lair. Il plonge sa tête entre mes cuisses. Sa bouche entre en action, il me bouffe la chatte, aspire mon clito, entre sa langue dans mon vagin, boit ma mouille à la source. Que cest bon ce quil me fait !
Il me retourne, je me mets en levrette, présente mon cul à hauteur de son pieu.
- Whahouuuuiiiii
jouis. Il met sa main devant ma bouche pour mes cris de jouissance, je viens davoir un orgasme très fort. Je mécroule sur le ventre, jambes ouvertes en grand, il est étendu sur moi. Il na pas déchargé, fait de lents va et viens dans mon ventre pour entretenir son érection, on reste soudés lun à lautre pendant plusieurs minutes en attendant que je récupère.
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!