Éducation De Mes Seins

Mon maître auquel mon corps appartient, sait que mes seins bien qu'ils soient petits 85 B sont très sensibles et sensibles aux moindres éffleurements.
donc aujourdh'ui, il a décidé de jouer avec, tout d'abord comme il se doit , je suis appuyée aux mains, bras en croix et attachés, idem pour les jambes, je suis écartelée, et ligotée, je suis à sa merçi, je ne peux crier, puisque pour la première fois il m'a baillonnée, je le vois s'approcher avec un matériel que je ne serais décrire exactement, tant je suis effrayée, effrayée et en même temps je sens mon bas ventre qui s'affolle, mes seins qui se durcissent, c'est contractoire chez moi, cette peur de ce qu'il va me faire, et en même temps, ce plaisir que je ressents, d'être ainsi maitrisée dans ma chair, parfois meurtrie.
Donc il s'approche, met à chaque tétons une sorte d'épingle à linge, maintenue par une ficelle, la douleur est vive lorsque mes tétons ressentent le clip de l'épinge, mais ils s'affollent, deviennent durs, il s'éloigne de moi, et commence à tirer les épingles par le bout de la ficelle, je ne peux retenir mes larmes, de douleur mélée de plaisir.
je m'en veux toujours autant de ne jouir que dans cette souffrance mélée au plaisir.
il le sait et en .
demain j'ai ordre d'aller sur le parking du restaurant routier, vétue uniquement d'un impérméable que je devrais déboutonner tout en restant dans ma petite austin, et de m'enfoncer une carotte dans le sexe, les cabines des camioneurs, sont hautes, il me verront inéluctablement, j'en ai honte, car si la souffrance me fait jouir, l'humiliation de l'exibissionniste je déteste, mais je dois lui obéir, chaque soir avant de me coucher je dois m'ancrer cette phrase dans ma tête, je suis la propriété de Maitre Alain, il à tout les droits sur moi, même celui de m'offrir comme cadeau lorsque il pert au poker, il l'a fait dernièrement, allongé sur le billard de cette salle de café, il à fait exprès de perdre, et à chaque fois je devais subir les assauts de ces hommes qui me pénétraient avec brusquerie, qui entraient et sortaient de moi, pour assouvir leur désir, me malaxaient les seins de leurs doigts rugueux , pendant ce temps il me regardait, avec un regard doux, je ne pouvais qu'accepter d'être encore réduite à l'état de trou béant.

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