La Gourgandine ( 7 )
7----- Il est 4h1/4. Tout à notre action, on a pas entendu la porte souvrir. Carole est là, nous regarde baiser. Cest une jeune femme de mon âge, 1 m 63 pour 50 kg, légèrement plus enveloppée que moi qui nen pèse que 45. Elle a eu le temps de se foutre à poil, on a rien vu, rien entendu. Elle sapproche de Marc sans bruit, tend la main, prend ce qui reste de lui hors de moi, les couilles. Il est surpris, se redresse sur les coudes sans sortir de moi, tourne la tête, la voit, lui demande :
- Quest ce que tu fous là ? Tu vois bien quon baise !
- Jen voudrais bien un ptit coup !
Il sextrait lentement de mon ventre, descend du lit, jen fais autant. Il est face à elle, mandrin toujours en érection, rouge, luisant. Il plaque les mains sur ses hanches et la pousse en arrière, elle se retrouve assise sur le lit. Il lui prend les jambes, les relève, elle bascule sur le dos. Il lui écartèle les cuisses un max en tenant les jambes au dessus des chevilles, elle a les reins cambrés, le cul en lair à hauteur de sa bite, il me dit :
- Aide moi à lemmancher !
Je mapproche, prends sa queue, la place devant son trou, la garde en main pendant quil pousse, recule, recommence. Elle gémit pendant les quelques dizaines de secondes que dure lintroduction, elle nest pas ouverte, pas préparée, ne doit pas encore mouiller et lengin qui va la pénétrer est énorme. Soudain le muscle cède, la moitié de la queue disparaît subitement en elle, lorifice sest dilaté, il pousse, elle couine de plus en plus fort.
- Ohlàlà aïeyaïe groooooooo !
Il est dedans, revient en arrière sans sortir le gland, pousse et en quelques coups de reins bien appuyés sencastre dans son vagin jusquaux couilles :
- Tu las, tes contente !
- Oh oui !
Il est parvenu à faire pénétrer en elle la plupart de ses 20 cm, la ramone hard, elle couine de plus en plus fort, ha, oh, oui, non, non, ouii, à chaque coup de queue, halète, sa respiration est saccadée.
- Quest ce que tu fabriques ?
- Reviens dans moi !
- Laisse moi la finir !
- Non, tes venu pour moi !
Il se tourne vers moi, hésite, la quitte, vient sur moi, saisie mes jambes, remonte mon cul et dun seul coup sec me lenfile jusquaux couilles.
- Ahhhhhhh, doucement
et cest à mon tour de me faire pilonner. Puis il passe de lune à lautre, chacune de nous y va de sa musique quand cest à son tour dêtre emmanchée. Alors quil est dans moi, je sens ma tension monter, jhalète, mon cur semballe, me voilà partie. Je couine de plus en plus fort, ça y est, je décolle, perds pied, défaille, je crie,
- Oh whao ouiiiiiiii ohoooooo !
jouis pour la seconde fois. Au même moment, il se bloque au fond de moi et dans un râle, à chaque contraction de sa queue, menvoie ses jets de foutre. Il laisse retomber mes jambes, je suis sous lui, cuisses grandes ouvertes. Sans perdre de temps il sort de moi, tient sa queue, regarde Carole ::
- À toi maintenant !
Il passe aussitôt sur ma copine qui attend cuisses écartées et lèvres grandes ouvertes par ses doigts, place sa queue sur le trou exposé, lenfile direct.
- Oh là ouiiiiiiii
En 2 coups il parvient à semmancher jusquaux couilles, recommence à la buriner. Au bout de quelques bons coups de bite, alors quelle gémit de plus en plus fort, quelle respire de plus en plus vite, il sarrête au fond, râle. Elle pousse un long gémissement,
- Ahaaaaahooooooooui
jouit quand, en plusieurs soubresauts, il finit de se vider au fond de son vagin. Il sécroule sur elle, remue encore un peu dans son ventre, prolonge laccouplement.
- Ca ma donné soif ! Et à vous ?
Je massois au bord du lit, il en fait autant. Elle prend une chaise, on sirote nos bières. Carole nous dit :
- Je ne croyais pas vous trouver encore là ! Jai demandé à partir plus tôt, je me suis dégrouillée. Quand jai entendu tes cris en arrivant dans le couloir, je savais que je ne suis pas venue pour rien. Elle demande à Marc :
- Vous nêtes pas fâché au moins ?
- Jaurais préféré la baiser seule !
- Javais tellement envie de votre queue !
Elle vient sasseoir sur le lit, Marc se retrouve entre nous deux. Jai bu ma bière, mon verre est vide, je le pose et prends sa queue. Elle est molle, collante de foutre et de cyprine, tête en bas. Je caresse le gland, titille le méat.
- Laisse ça tranquille !
Ma copine prend la tige, la met droite, tire sur la peau, caresse les bourses, moi je continu à agacer le bout du gland.
- Nz pas, il est 5h, je dois rentrer au bureau
Elle se lève, se met à genoux, écarte ses jambes, le prend en bouche, commence une fellation denfer. Il ne réagit pas, est dans une sorte de torpeur, vide tranquillement son verre, la laisse faire, sa queue reste délibérément molle.
- Bon, ça suffit, je viens de vous dire que je dois mbarrer !
- On a envie que tu nous la remettes !
- Pas question ! Une autre fois !
Il se lève, ramasse ses habits, va dans la salle de bains.
- Samedi après midi, si tu veux, tu pourras nous avoir toutes les deux
- Le samedi cest pas possible tu le sais bien !
Le voilà parti, il va rentrer au bureau les couilles bien vides, je crois que sa femme ne va pas y avoir droit ce soir. Je retourne dans le studio, Carole, toujours nue, sest allongée sur le lit, sest endormie. Je lenroule dans la couette, vais prendre une douche, jen ai bougrement besoin, son sperme coule hors de mon vagin, dans ma fente, le long de mes cuisses. Je me rhabille, me regarde dans la glace, jai vraiment une sale tête, dénormes cernes noirs sous les yeux, ça cest à cause de la baise, je me suis donnée à fond. Je ne réveille pas ma copine, lui laisse un petit mot, rentre chez moi. Il est 6 h passées lorsque jarrive dans ma chambre, mallonge sur mon lit, je suis crevée, cet après midi jai eu 3 orgasmes très forts, et comme elle, je mendors.
À suive
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