Retrospective En 20 Heures
On ma toujours dit dans mon milieu quil fallait rester vierge jusquau mariage, et malgré toutes mes aventures nombreuses, mais surtout discrètes, jai pu garder cette petite membrane intacte pour offrir fièrement cette fleur à mon mari. Et lui-même, na jouis de ma faveur quaprès le mariage. Dès mon plus jeune age, la sodomie fut mon alternative, ou mon issue de secours.
Dans un groupe de 8, ou je métais retrouvée avec 3 autres filles de bonnes familles et 4 jeunes garçons, javais acquis la maîtrise de la fellation et le plaisir des cunnilingus. Jen étais sortie sans problème et me suis mariée relativement assez tôt à 28 ans.
En bonne maîtresse de maison, jai refoulé mes anciennes habitudes dans un passé que je devais enterrer pour toujours. A trente ans jétais maman et me voulais femmes sérieuse et idéale. 4 ans plus tard, cette image de petite salope refait surface en moi.
Une après-midi, en revenant du bain maure, et ayant très soif, je me suis adressée à un ouvrier de bâtiment à lentrée dune villa en construction pour demander de leau et cest en croisant son regard que tout ce passé renait
quand il entra pour men ramener, jai pensé menfuir, mais jai hésité
et javais vraiment soif. A son retour, il me tend un verre de thé en souriant et dit : « pas mieux quun bon thé après le bain, nest ce pas ?»
Dans sa main gauche, il tenait une petit chaise pliante quil installa à lintérieur tout près du portail, minvitant à masseoir.
« non, merci, je ne suis plus très loin, jhabite tout près
.
- Je sais madame Z
, ce qui tout en me surprenant, me rassure
, je prend donc le thé assise sur la petite chaise alors quil mexplique avoir travaillé pour mon mari dans une villa en témoignant de tout son respect
et son admiration
jétais donc plus confiante
Puis trois amis à lui arrivèrent bruyamment avec des rires laissant deviner leffet des joints sur leur état. Ils entrèrent très vite dans le batiment.
Une bonne heure sécoule avant que mon serveur de thé ne fasse son apparition avec le même rictus que les autres
cette fois il ne me respecte plus du tout et ses mains qui ne mavaient pas encore touchée me tripotent partout, assez maladroitement.
- tu vas rester ici, passer la nuit dans le jardin ? entre avec nous tu seras au chaud, et tu vas tamuser
- tu disais respecter mon mari, pourtant
- oui, il se tape une si bonne femme, toutes les nuits
pourquoi pas moi une fois
- tu veux me souiller, faire de moi une pute ?
- personne ne saura, cest promis
- fais moi sortir, le prix que tu veux
- le prix cest toi, ce soir
Je le supplie, le caresse, lembrasse, et prend même son sexe en main, et linterroge du regard
- tu en prends 4 dans le petit trou et tu seras libre
réfléchis et viens, nous tattendons dedans
sinon tu peux crier et on dira beaucoup de bien de toi dans le quartier
imagine et réfléchis
ce disant, il me laissa froidement et rentra
je le suivi de suite pour en finir au plus tôt. Mais il me prit par le bras et me demanda de retirer ma robe pour pouvoir rentrer avec sans la salir, puis mobligea à me dénuder entièrement puis me mena vers ses amis sans culotte qui se mirent à applaudir tous ensemble alors que lui-même, dans une sorte deuphorie, fouetta mes fesse avec son sexe. Me serrant toujours le bras, il me demanda de saluer ses amis par des baise-mains. Chacun en profit pour me gratifier dune caresse qui lui sera propre. Le premier me caresse délicatement le visage, le second mon cou et ma nuque, le troisième me pince les seins.
Bien sure, je garde lair humiliée et contrainte de tromper mon mari. Avant dentamer mes sodomies, lun dentre eux fait couler su shampoing sur ma fente avant de le faire glisser dans mon petit trou en me doigtant un peu. Il me met debout faisant basculer ma poitrine vers le bas en tenant mes hanches. Pendant quil me lime, deux autres me tiennent les bras pour éviter ma chute. Lopération fut renouvelée quatre fois, avec changement des rôles, ponctué à chaque fois par un jey de sperme dans mes entrailles sans que je ne connaisse le moindre orgasme. Dans mon rôle de sainte nitouche je ne pouvais dire que jen voulais plus. Mon accord était alors conclus et pour les provoquer un peu, je dis fermement que je pouvais rentrer puisque javais honoré mes engagements.
Nue devant les quatre jeunes hommes, je sentis le ridicule de ma situation quand ils se mirent tous ensembles à discuter de la bonification à me donner et dune surprise.
Le négociateur me pris à nouveau par le bras quil leva comme celui dun vainqueur me demandant de sourire à tous et jai souris timidement en baissant la tête. Il tira sur mes cheveux pour la faire relever et me demanda un beau sourire en gardant mes cheveux en main. Nobtenant pas ce quil voulait, il me secoua en disant : « mieux que ça, madame, pour que nous puissions garder bon souvenir »
jai fait de mon mieux, mais il nétait pas satisfait et me chatouilla au niveau du cou, puis au niveau de mon aisselle
« Voilà ton beau sourire, embrasse-moi en le gardant »
je lui fis une bise avec le sourire, alors quil sembla en exiger une deuxième sur lautre joue sans tourner sa tête. Je fus donc obligée de me retrouver dans un face à face avec lui qui me serra les hanches pour assurer le parallélisme de nos corps. Sitôt collée à son corps je senti lérection moyenne de son jeune membre.
Un troisième voyou ramena un débris de miroir et le plaça de sorte que je puisse mieux ce qui marrive. Il mis ses yeux aux niveau des miens pour sassurer de la position du miroir. Enfin il me demanda si la vue était parfaite exigeant une réponse claire. Comme je nai fait quun signe de tête il me pinça le cou et mon amant den face me dit : cest une vu parfaite mon chéri, tu es un amour. Après des erreurs, des pincées et des coups, il membrassa fougueusement et je répondis de même alors que mon petit trou était investi, et que jatteignais mon premier orgasme que je ne peut plus cacher. Mon premier amant se retira, me laissa ruisseler un temps, me sécha et se remit à peloter mes seins et me pénétra brutalement avant daccorder son rythme avec celui de son ami. Javais limpression dêtre dans un nuage de plaisir qui serait bloqué dans une forêt de perversion. Jétais dans un état que je nose décrire, ne sachant même plus ce que jétais. Quand ils jouirent tous les deux au fond de moi je croyais avoir fondu de lintérieur. Quand mon amant de derrière se détacha de nous jeus limpression que quelque chose manquait et quand lautre en fit de même je me suis sentie abandonnée. Mais ils me prirent dans leurs bras chacun dun côté me racontant des obscénités que jai du apprécié sur le coup. Quand je leur ai demandé de leau, je fus vite servie et ce nest quaprès avoir avalé tout le verre que je réalise une différence
« tu as mis la vie ici, et tu as demandé de leau, je tai donné de leau de vie »
le second me tendit un paquet de
light mexpliquant que cétait les miennes.
« tu as aimé ce qu tu nous a fait ? »
Et sans trop réfléchir je réponds par laffirmative et les deux autres seraient obligés de subir le même sort. Du coup, je me sens rene pour subir 3 autres doubles pénétrations et quatre fellations jusquau petit matin ou je me laisse choir toute nue dans leurs bras.
A 8 heures du matin on me réveille, rhabille et raccompagne jusque devant chez moi ou la bonne leur fait la bise a chacun et les fait entrer pour un café déjà près a cette heure un dimanche.
Elle les pressa de partir et me conduit dans la salle de bain ou ma baignoire est déjà pleine et maide à y pénétrer avec une tendresse anormale.
Ramenant mes cigarettes, elle en allume deux sans la moindre gène et me tend une serviette pour sécher ma droite et me tend la tige allumée.
- Tu fais la bise à ces voyous ?
- Tu es raccompagnée par eux le matin, ma chère madame, sans parler de la nuit
mais vous reveniez du bain, jen témoigne
Je baisse la tête humiliée en repensant à toute cette aventure alors quelle mexplique que beaucoup de femmes ont eu la même aventure et que beaucoup y retournent de leur plein gré.
- De toutes, madame, je suis la pire. Je suis celle quils utilisent quand ils veulent une entremetteuse sous la menace de briser ma réputation aux yeux de tous et surtout de mon père et de la tribu.
Elle me proposa une seconde cigarette allumée au préalable par ses soins, me la mit entre les lèvres et caressa doucement mon visage, mon cou et mes seins avant de me relever pour des caresses plus intimes et plus délicates qui me firent jouir sans un premier temps, puis pleurer en sanglots.
Marjana me rinça, messuya et me mit au lit versant quelques larmes démotions avant de me couvrir et déposer un doux baiser sur mon front.
Ce quelle ne sut jamais, cest qen lespace de 20 heures, javais vu défiler une rétrospective de toute mon évolution sexuelle de la fellation à la sodomie et le plaisir homosexuel féminin. Javais aussi goûté la double pénétration et à lalcool.
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