La Gourgandine ( 9 )
9-----Mes parents ont fermé le Café pour 3 semaines et sont partis en vacances. Pour ma part je nai pas de vacances puisque pendant lété je travaille comme caissière, jusquau début septembre. Mes horaires décalés me laissent des après midi libre, jen profite pour aller au cinoche sur les grands boulevards. Carole sest trouvée un nouveau petit copain. Il paraît quil nest pas mal, contrairement à lancien il prend son temps pour la baiser et arrive même à la faire grimper aux rideaux. Cette semaine je suis du matin. On est lundi, jour de repos de ma copine. Il est 3h1/2, je mennuie, lui téléphone, on ne sait jamais, on pourrait aller se balader :
- Tu es seule, je mennuie, je peux passer te voir ?
- Pas de problème, je mennuie moi aussi, je nattends personne, on peut aller au cinéma !
- Daccord !
Je suis à ½ h de chez elle par les transports. Il fait chaud, je suis en jupe et tee-shirt, je saisie mon mini sac à dos, me voilà partie. Jarrive devant sa porte, frappe. Aucun bruit, aucune réponse. Au moment où jallais repartir, la porte souvre.
- Ah cest toi, entre tu vas faire la connaissance de Fred.
- Je te croyais seule, je ne veux pas vous déranger.
- Tu ne nous déranges pas, rien de changé au programme, on va au cinéma !
Jentre, elle me présente le copain. Cest un mec dans les 23/24, denviron 1m70/72 max, 60/65 kg, pas mal, allure sportive, cheveux courts, tenue décontract. Elle moffre une bière, on discute un peu. Il a un boulot, une piaule, est actuellement en vacances. Je lui dis que je travaille en horaires décalés, que je suis toujours chez mes parents, lesquels sont en vacances. Carole simpatiente, nous dit :
- On y va ?.
On prend les transports, je les regarde tous les deux, ils se tiennent par la main, jai limpression dêtre de trop. On sinstalle au fond de la salle, il ny a pas grand monde, on est en semaine et cest la période des vacances.
Deux jours après, je paresse au lit, somnole. Il est 9 h, le téléphone sonne, je réponds
- Salut, cest Fred ! Tes au boulot ce matin ?
- Tu mas réveillé, quest ce que tu veux ?
- Jai envie de toi !
- Carole nte suffit pas ?
- Tu mdonnes ton adresse ?
- Ok ! Tu veux mbaiser, jtattends !
Je lui donne mon adresse, lui demande où il crèche. Il a plus dune demi-heure de trajet. Je me lève, prends ma douche, descends à la cuisine, avale mon petit dej, je dois prendre des forces. Je pense à ce mec. Il vient pour me la rentrer, je trouve ça osé de sa part. Je naurais pas du lui donner mon téléphone, jai fait une connerie. Il est 10h 1/4, on sonne à la porte. Je suis nue sous ma robe de chambre. Sans me presser, je vais ouvrir.
- Tas trouvé facilement ?
- Non, jconnais pas le quartier !
- Entre, tes venu pour me sauter ?
- Ben oui !
- Allons-y, jai pas plus dune demi-heure à te consacrer, jai encore plein de choses à faire !
Je lemmène dans ma chambre, jai décidé de prendre les choses en main, de le brusquer. Après tout, hier au cinoche, il na pas demandé mon avis pour mintroduire son doigt à lentrée du vagin. Il est au milieu de la chambre, inspecte les lieux.
- Aller, fous-toi à poil, grouille-toi !
Il a lair totalement ahuri, ne sattendais sûrement pas à un accueil de ce genre. Il reste figé sur place.
- Alors, tu la sorts cette bite ?
Il dégrafe son pantalon, ouvre la braguette, le fait tomber à ses pieds.
- Approche-toi que jte branle !
Je glisse la main dans le slip, prends la queue. Il enlève sa chemise, je descends le slip, le voilà à poil. Je regarde la bite, elle est petite, au jugé 3 cm de diamètre et 8 cm de long.. Elle me rappelle celle du mec qui a voulu me violer dans une salle de cours lorsque jétais en seconde au lycée ( javais 16 ans). Lui sen est mal sorti. Je lui ai serré les couilles tellement fort quil en a perdu connaissance. Je prends la bite en main, la relève, tire sur la peau, mattarde sur le gland, soupèse les valseuses. Il réagit, commence à bander, sa bite se redresse lentement, grossit, devient rouge, jen ai rarement vu daussi petite ! Il regarde ma main soccuper de sa bricole, je lui dis :
- Quest ce que tu veux que je foute de ça, dis-moi ?
Je comprends pourquoi Carole labsorbait jusquaux couilles ! Elle a pourtant lair de sen contenter, reste à savoir comment il baise. Il fait tomber ma robe de chambre, je suis nue. Il met sa main direct dans mon entrejambes, enserre ma vulve, glisse un doigt dans ma fente
- Dis donc, tu mouilles déjà !
- Jai pas de temps à perdre avec toi !
Je continue à le branler sérieux. Sous mon action, la queue se redresse vite, durcit, je maccroupis, la prend en bouche. Celle là je peux labsorber en entier. Jy vais dard- dard, il émet de drôles de petits bruits de satisfaction. Il me prend la tête, me lenfonce jusquen fond de gorge, je salive, il la sort, recommence, jen bave. Ca y est, elle est raide, 3,5 x 12 cm, ( peut être 13 cm ) petit gland moins gros que la tige, pointu, tout ce quil y a de plus ordinaire. Je soupèse les balloches, les prends ensemble en bouche, les aspire, les suce, absorbe le gland, lentoure de ma langue, titille le méat.
- Arrête, tu vas me faire gicler !
Je prends une capote dans mon sac, la déroule sur sa queue. Je mallonge sur le lit, remonte les jambes, écarte les cuisses. Avec deux doigts de chaque main, jouvre mes lèvres, le fond rose de ma fente apparaît, je tire sur mes nymphes, dégage mon clito, enfonce un doigt dans mon trou.
- Aller, bouffe-moi la chatte !
Il est debout auprès du lit, me regarde, éberlué, tient sa queue raide dans la main, il ne sattendait pas à ce que je moffre à lui de cette façon.
- Quest cque tattends ?
Il se décide, grimpe sur le lit, met sa tête entre mes cuisses, passe sa langue sur mon clito, la glisse au fond de ma fente, aspire ma mouille, la rentre dans mon trou, cest bon, jaime. Je me redresse sur les coudes, le regarde. Sa bite est droite, rouge, je latt, la place devant mon orifice.
- Vas-y rentre la dedans !
Il sallonge au-dessus de moi, me suce les tétons, pétrit mes seins et en même temps, sans crier gare, menfile direct sa queue dans le vagin. Vu les dimensions de lengin elle entre facilement, butte au fond de moi, il commence ses va et vient, me pilonne rapide. Il est au-dessus de moi, me tient aux épaules, se démène, sacharne dans ma gaine, entre, sort, fait des han han à chaque coup de bite quil me donne. Je laccompagne, me cambre, contracte mon vagin pour bien le sentir, sa bougie enflamme mon corps, je couine de plus en plus fort, je sens que je viens, ça y est, je suis partie, décolle, le ciel est bleu, la voie est libre. Il se vide par a-coups dans la capote, cest bon, cest chaud, je jouis en même temps que lui.
- Ouiiiiiiiiiii !
Je viens davoir un orgasme, bref il est vrai, mais intense. Il sest effondré sur moi, ne bouge plus. La queue diminue rapidement, sort de mon vagin, retombe, molle, inerte. Je le repousse, il sassoie au bord du lit, vire la capote, me la donne. Je vais la jeter dans les toilettes, revient dans la chambre. Il est 11h, je lui dis :
- Bon, tas eu cque tes venu chercher, rhabille-toi, jai plus le temps, je bosse ctaprème.
Il se lève, remet ses vêtements. Je reste à poil, le reconduis à la porte, lui dis.
- Finalement cétait pas mal, malgré ta petite quéquette, tu mas fais jouir.
- Je peux revenir demain matin, si tu veux ?
- Pourquoi pas, ramène-toi à 10h au plus tard !
- Tu dis rien à Carole ?
- Tinquiète, je sais être discrète !
Finalement ce mec en a une petite mais vigoureuse qui fait bien mon affaire. Je lai bien senti, il ramone sérieux, ma fait jouir. Y a mieux, mais faut savoir se contenter de ce quon trouve sur le marché. Je me demande quelle sera la réaction de Carole quand elle sapercevra que son mec me saute !
À suivre
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