La Gourgandine ( 8 )
8 ---- On est samedi, je travaille laprès midi, je paresse un peu au lit. Il est 10 h, le téléphone sonne, cest Marc.
- Je suis au bureau ce matin, javais à faire avant de fermer la boîte pour 3 semaines, je parts en vacances. Tu bosses ce matin ?
- Non, seulement staprème, jsuis encore au lit !
- Le personnel est en vacances, je suis seul, viens me rejoindre, jai envie de toi !
- Le temps de prendre ma douche et je te rejoins !
- Fais vite, je nai pas beaucoup de temps, on part cet après midi, lavion est à 6 h. Il faut que jaide ma femme à tout préparer et on doit arriver à laéroport 3 h avant le départ !
Je prends ma douche, met une jupe, un chemisier, un boléro, saisie mon sac et me voilà partie. Jen ai oublié de prendre mon petit déjeuner, je passe par la cuisine. Ma mère est là à saffairer pour le déjeuner
- Où tu vas comme ça, tas même pas pris ton petit deje ?
- Voir ma copine, elle mattend !
- Mon il ! Tu courres te faire sauter !
Je prends un paquet de gâteaux, file. Jattends le bus en grignotant, piétine, il y en a moins le samedi. Il est 11h lorsque jarrive, grimpe les marches 4 à 4, frappe à la porte de son bureau. Il vient mouvrir, il est en jean et polo, décontract :
- Entre, assieds-toi, jai encore un truc à finir, ensuite je moccupe de ton cul !
Il range des dossiers, met de lordre sur son bureau, je le regarde. Il ne se soucie pas de moi. Finalement il sassoie dans son fauteuil, me regarde :
- Viens ici !
Je me lève, passe de lautre côté du bureau. Il fait pivoter son fauteuil, me dit :
- Fais-moi une pipe !
Je magenouille devant lui, dégrafe la ceinture du jean, ouvre sa braguette, tire sur lentrejambe du slip, lécarte, sorts la bite et les couilles. Je le prends en bouche, la queue est molle mais de bonne taille, pour le moment il ne bande pas. Je dégage le gland, passe le bout de ma langue sur le méat, absorbe la tige, en profite avant quelle ne soit trop grosse pour entrer entièrement dans ma bouche.
- OK, dès que jai terminé, pas de problème. Je serais là pour midi, ne tinquiète pas.
Il repose le téléphone, me redresse, se lève, me tourne vers le bureau, me courbe au-dessus, je mappuie sur les coudes, écarte les jambes. Il me relève la jupe sur le dos, constate que jai le cul à lair. Il est surpris,
- Tas oublié ta culotte !
- Jai chaud au cul rien quen pensant à ta bite !
Il remonte bien ma jupe, se place entre mes cuisses, se baisse, les prend un peu au-dessus des genoux, soulève, me bascule vers lavant, les relève à hauteur de sa bite. Je me retrouve cuisses et ventre à lhorizontale, pieds en lair, corps dans le vide à 1 m au-dessus du sol, coudes en appui sur le bureau, les reins particulièrement cambrés. Il frotte sa queue sur ma fente de bas en haut, elle louvre et glisse devant mon trou, il pousse doucement. Le gland me pénètre par derrière, je mouille, mais la position nest pas favorable
- Aïe aïe, trop gros !
Je redresse mes reins, relâche, ondule, cette action favorise la pénétration de la queue. Dès que le gland sest introduit dans ma gaine, il donne un véritable coup de butoir, une grande partie de la queue disparaît dans mon sexe. Je grimace :
- Ouille, tu me fais mal !
Mon vagin se dilate, sétire, je suis embrochée par cet axe de chair.
- Sil te plait rentre pas tout !
Il ne mécoute pas, commence à me limer, essaie de rentrer ses 22 cm. Jai le nez au-dessus du bureau et sa bite qui me ramone le vagin. Jaccompagne ses coups de piston par des ondulations des reins. Je le sens bien, il coulisse dans mon ventre, me la rentre en entier, ses balloches touchent mon clito, que cest bon.
- Oh oui, vas-y !
Il commence un pilonnage intensif, je couine à chaque fois que sa trique butte au fond de moi. Jai chaud, cest terrible, je viens, décolle, jouis
Ouiouiouiiiiiiiiiiiiohoh
Il sarrête, me prend à bras le corps, je passe mes jambes sur ses hanches, maccroche à son cou. Plantée sur sa bite, il mamène de lautre côté, le long du bureau, mallonge sur la moquette, se couche sur moi, recommence le pilonnage. Sans sortir de moi, il bascule, mentraîne, il est dos au sol, je suis allongée sur lui. Je me redresse, remonte les jambes, je me retrouve à genoux ancrée sur sa bite. Jappuie les mains sur son corps, monte et descends, je contrôle mon action sur sa tige, lenfourne jusquau plus profond de moi. Je memmanche jusquà ce que ses couilles touchent mon cul. Je pivote sur cet axe de chair, lui tourne le dos, me penche, le garde en moi, mallonge ventre au-dessus de ses cuisses, ma tête est au-dessus de ses pieds. Jondule des reins, rampe sur lui davant en arrière pour le faire coulisser en moi, je le sens bien, cest merveilleux de faire lamour dans cette position. Il se redresse un peu, remonte la jupe sur mon dos, regarde mon cul aller et venir sur son vit. Il me caresse la rosette, menfonce son doigt dans le trou du cul, cest pas prévu, je ne veux pas ça, faudrait pas quil y mette sa bite, elle est trop grosse. Je me redresse subitement, tourne la tête, proteste :
- Aïe, touches pas à mon cul !
Il me bascule sur le côté sans sortir de moi, il est derrière moi, jai les jambes pliées, il est collé à mon cul, me ramone à fond. Encore un quart de tour, me voilà sur le ventre. Je cambre les reins, remonte le cul, écarte les jambes, il me défonce, va de plus en plus vite, à chaque fois me lenfonce jusquaux couilles.
- Ah oh ouiiiiiiii whaaaaaaaaooooouiii !
Quel pied ! Il sort de moi, me laisse pantelante, cuisses ouvertes et cul à lair libre, je reviens doucement sur terre, il me laisse récupérer.
- Redresse toi, je vais te finir en levrette !
Je remonte mon cul, me mets à genoux, jai les cuisses serrées. Il se positionne derrière moi, remonte bien la jupe sur mon dos, ouvre mes lèvres. Mes organes sont encore dilatés, sa queue est lubrifiée par ma mouille, il memmanche dun seul coup, me pénètre à fond facilement.
- Oh là, oui cest bon, vas-y !
Il me prend les hanches, recommence à me ramoner, va de plus en plus vite, il me comble terrible, je pousse des ho ha iii iii ooo de plus en plus fort
- Remplit moi !
À ce moment le téléphone sonne.
- Et merde, elle va pas mlaisser t baiser tranquille !
Il se redresse, tend le bras, att le combiné et répond tout en continuant à me ramoner la tuyauterie.
- Oui chérie, jai fini. Oui je suis seul, bien sur. Pourquoi tu demandes ça ? Quest quelle a ma voix ? Mais non voyons, quest ce que tu vas chercher ? Jétais dans le bureau de la secrétaire, javais la main sur la poigné de la porte quand tu mas appelé, le temps de revenir répondre au téléphone, cest tout. Il me reste à fermer les bureaux, faire un tour dans latelier pour voir si tout est en ordre et jarrive, à tout de suite !
Comme il continue à me baiser tout en lui parlant, moi aussi je trouve sa voix bizarre.
Il repose le combiné, me reprend aux hanches, me pilonne intensif, me lenfonce jusquà la garde, je laccompagne par des coups de cul pour quil senfonce bien en moi, je gémis au rythme des han , han quil fait à chaque fois quil coulisse dans mon vagin.
Je suis de nouveau sur un nuage, je respire vite, mon cur semballe, je perds toute notion, je décolle, grimpe aux rideaux.
- Waho ouiiiiiiiiiiiii !
Me voilà partie, je jouis pour la troisième fois en moins dune demi-heure, défaille, juste au moment où, dans un râle, il menvoie ses jets de foutre au fond du vagin. Je me raplatit ventre sur le sol, il sécroule sur moi, encore des soubresauts, il finit de se vider. On reste accouplés de longues minutes, sa bite ramollit doucement, je contracte mon vagin pour quil reste en moi. Il la retire, se relève, range son attirail dans le slip, referme son jean.
- Aller debout, tas eu ton compte, grouille-toi un peu !
Je suis épuisée, me remets debout péniblement, rabats ma jupe, son foutre coule dans ma vulve encore ouverte et aussi le long de mes cuisses.
- Tas pas un Kleenex ?
Il men donne un paquet, je relève ma jupe sur le devant, messuie devant lui. Il me regarde, étonné. Je lui dis :
- Quest ce que tu mas mis !
- Tu jetteras tout ça dans les toilettes !
Il prend sa banane, la met autour de la taille :
- Excuse-moi, faut qujy aille.
Je récupère mon sac, on sort du bureau, il ferme les portes à clé. Arrivé en bas de lescalier il entre dans les toilettes, je le suis. Il pisse, se lave la bite au lavabo, la range pendant que de mon côté je minstalle sur les toilettes, me soulage, messuie, vire les kleenex, tire la chasse. On ressort, il vérifie les portes de latelier, on passe par la cour, il monte dans sa voiture :
- Je te rappelle dès mon retour !
Il démarre. Je rejoins larrêt du bus, attends, repense à ce quon vient de faire. On ne sest même pas foutu à poil, on a juste tiré un coup ! Dans le bus je me mets à lécart, je nai pas de culotte et jai limpression que je mouille ma jupe. Je pense à sa femme. Ce que je lenvie de pouvoir avoir en elle un tel engin quand elle en éprouve le besoin. Elle sest doutée de quelque chose, elle va peut-être lui poser des questions, pourra-t-il se justifier ?
Jarrive chez moi, ma mère est dans la cuisine, mon père au comptoir. Je me dirige vers lescalier, elle me voit, me barre la route. Je la vois sniffer.
- Doù sorts tu ?
- Laisse moi passer, faut que jaille au boulot !
- Tu viens encore de te faire sauter !
- Et alors ? Jvois pas en quoi ça te regarde !
- Taurais pu tlaver !
- Pas de quoi !
- Comment ça ?
- Ben oui, juste des toilettes et un lavabo !
Je lécarte de mon chemin, grimpe lescalier, file dans la salle de bain, minstalle sur le bidet et me fait une toilette intime approfondie, me parfume la chatte. Cest drôle, ma mère repère facilement les odeurs de sperme, elle a tellement lhabitude de sen faire injecter. Jai voyagé cul nu avec un reste de son jus qui coule et menduit la fente. Jespère que personne ne sen est rendu compte ! Heureusement que je nai pas pris le métro ! Comme jai le cul nu et une jupe à mi cuisses, il y en a qui se seraient rincé lil en bas des escaliers !
Jai des cernes sous les yeux, la tête de quelquun qui a passé une mauvaise nuit, je me maquille légèrement, presque plus rien ny paraît. Je change de tenue, ma jupe est tâchée, je men doutais, je mets une culotte, enfile un jean. Jai tout juste le temps de manger un morceau avant daller au boulot, la tête et surtout le ventre encore plein de lui ! Cétait un coup un peu à la sauvette, la baise a duré à peine une demi-heure, je suis sur les rotules, je me suis donnée à fond, quest ce quil ma mis ! Quel bon amant ! Heureusement que je nai pas oublié de prendre la pilule. Vivement quil rentre de vacances pour quil me la remette.
À suivre
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