Tendre Cruauté
Ah putain quelle journée ! Je nai quune envie : rentrer à la maison, au chaud, me faire couler un bon bain pour me débarrasser du stress accumulé et de lodeur de ma journée passée et enfin dormir tranquillement. A peine rentré je minstalle sur le canapé bien à mon aise, je ne te vois pas mais je ne minquiète pas, je sais que tu rentres souvent tard.
Et puis tout dun coup, je sens ton souffle dans mon cou, jentends ta voix me susurrer un petit « surprise ! » à loreille. Je me retourne et la surprise est réelle ! le spectacle de ton corps magnifique à peine dissimulé par cette nuisette presque transparente, ta lingerie nouvelle et cet air de défi et de lubricité que j peux lire sur ton visage
..en quelque secondes, tout le poids tombe de mes épaules et je sens déjà une sorte de chaleur dans le bas de mon ventre.
« Quest-ce qui me vaut
« Tais-toi ! Pas un mot, contente toi de me suivre ! » Ta soudaine froideur meffraie un peu et, je dois lavouer, mexcite assez
Je mexécute donc, te suivant dans la chambre damis que tu avais préparé spécialement pour loccasion
.apparemment tu avais prévu cela depuis longtemps. Tu minstalles sur le fauteuil Louis XVI aux motifs baroques que nous avions acheté récemment et pour le quel nous avions tout de suite eu le coup de foudre et jai le temps dapprécier le décor : la lumière est tamisée, quelque bougies sont allumées, à côté du lit complètement drapé de noir se trouve une masse noir elle aussi, comme un tas de tissus. Tu tapproches de moi, me frôle, jessaie de tembrasser et tu me décoches une petite gifle sur la joue.
« Hein hein hein
.pas de ça, cest moi qui commande
-Mais !
-Cest moi qui commande jai dit ! »
Jai compris où tu voulais en venir, jobéis donc. Tu te diriges vers le lit et te penche en avant pour saisir la masse de tissus (ro ces fesses !!) et tu reviens vers moi.
« Ecoute moi bien, je vais tattacher et tu as intérêt à mobéir ! si tu refuses tu seras puni, si tu te plies à mes ordres, tu seras récompensé
- Embrasse-moi !
-Je ne tai pas autorisé à parler ! » Une nouvelle gifle, plus cinglante cette fois ci.
« A partir de maintenant plus un mot ! »
Tu me lies donc les poignets aux accoudoirs du fauteuil et membrasses, comme je te lavais demandé, mais dune façon que je ne tavais vu utiliser : jétais plus une sorte de friandise que dhomme, tu me lèches le cou, les oreilles, parcours mon visage du tien et membrasses finalement.
Tu te dandines devant moi, la nuisette à tes pieds, ne mexhibant plus désormais que cette guêpière rouge et noire magnifique, tes bas assortis et ce joli string qui mettait ton cul en valeur de façon insoutenable : je nen pouvais déjà plus !
Et puis soudain, sans que je comprenne réellement pourquoi, tu quittes la pièce, comme ça ! Je tentends descendre les escaliers, ouvrir la porte dentrée et accueillir des voix étrangères. Et moi qui suis là ligoté comme un idiot ! Je vous entends remonter et là tu rentres dans la pièce toujours vêtue de façon si affriolante en compagnie de ces gens que je ne connais pas. Lun des hommes est brun, les yeux bleus, le genre dandy, mal rasé et plutôt bel homme je dois dire. Le deuxième est grand, roux, le visage légèrement maculé de taches de rousseur, les yeux bleus, habillé somme toute normalement. Quant à la femme, elle est plutôt jolie à mon goût (et je sais quelle lest au tien aussi) : elle est assez petite, brune avec des yeux dun noir profond, une poitrine assez généreuse et bien mise en valeur par son décollette, de belles jambes biens sculptées que laisse deviner sa jupe assez courte. Je me sens ridicule, moi, en costume, attaché devant ces gens que je ne connaissais pas et qui ne me connaissais pas non plus et toi toute naturelle, comme si tu étais habillé dun jean et dun t-shirt.
Tu invites les deux hommes à quitter leurs manteaux et les diriges vers le lit.
« Bande-lui les yeux ! Cries-tu à la jeune femme »
Je la vois ramasser le dernier bout de tissus par terre et se mettre derrière moi. Au moment où elle pose létoffe sur mes yeux je te vois entrain de baiser la braguette du roux agenouillé sur le lit en fasse de lautre bellâtre.
Je te vois en train de sucer le dard dun des deux hommes tout en caressant celui de lautre de ta main, puis changer de cible, toccuper des deux à la fois, les coller lun contre lautre et les lécher. Je nen peux plus : la jalousie de savoir ces deux connards en train de profiter de tes talents (car je dois te lavouer tu suces formidablement bien !)et lexcitation de la situation me nt.
« Arrête !! » le cri ma échappé.
Je devine ta silhouette se relever sous les râles de tes amants, je te vois tapprocher de moi et me décoller une baffe monumentale.
« Je tai dit de fermer ta gueule ! »
Tu retournes à tes occupations et avant de les reprendre là où elles en étaient tu me dis
« Maintenant tiens toi sage ! Quant à toi ! Occupe-toi de lui ! »
La jeune fille qui jusque là était restée inactive sapproche de moi et je sens sa main effleurer ma braguette gonflée démesurément, ouvrir ma boucle de ceinture, faire glisser mon pantalon et enfoncer tout dun coup mon sexe tendu à lextrême dans sa bouche. La surprise et le plaisir me font pousser un petit cri de plaisir. Elle continu de me sucer mais je naime pas sa façon de sy prendre, elle ne connaît pas mes goûts, mes zones sensibles comme toi. Au bout de quelques minutes (sûrement un quart dheure je ne sais pas) somme toute pas mauvaise tu lui ordonne darrêter. Tu dénoues toi-même mo bandeau et mes autres liens. Tu ordonnes à la fille de se tenir nue sur le lit, les jambes écartées et de se masturber et aux hommes de sembrasser goulument. Te voir en maîtresse de cérémonie, comme une sorte de chef dorchestre de cette symphonie érotique me rend fou de désir.
« Mets toi nu mais ne bouge pas de ce canapé ! »
Jen ai vraiment marre dêtre un spectateur moi ! Mais bon, je connais les règles, je me soumets.
Soudain, tu te retires et retires lengin de son sexe frustré et commence à lui lécher le petit trou rose que jadore à emprunter chez toi. Tu la lèches, introduis des doigts de telle sorte quen peu de temps le chemin est prêt à recevoir les outrages des plus gros pénis. Tu intimes au brun de venir profiter de ton uvre pendant que e roux bénéficiera du reste de la jeune fille comme bon lui semble. Les deux apollons ne se font pas prier et tandis que le brun senfonce dans lorifice de la petite brune, le roux glisse son pénis dans la bouche de celle-ci dont le plaisir de jouir de ces deux queues est évident. Pendant ce temps, tu tes glissées contre moi et tandis que tu me caresses Napoléon tu me glissa à loreille : « Que croyais-tu ? Quils auraient le droit de profiter dun corps qui tappartient ? Jamais ! »
Tu membrasse tout en jouant avec mon pénis et me dit, en me regardant droit dans les yeux
« Prends moi, jai envie de toi maintenant ! »
Tu te mets à quatre pattes sur le rebord du lit, aux côtés des nos trois coquins dont le roux à désormais pris la place du brun dans le chemin de Sodome de la jeune fille tendit que celle-ci se faisait prendre par le brun normalement.
Apres avoir mis nos hôtes gentiment à la porte tu me demandes si cela ma plu
« Jai adoré
- Moi aussi
..
- Je taime ma Lili
- -Je taime aussi
- Mais pourquoi toute cette mise en scène, depuis quand tu avais prévu ça ?
- Je ne sais pas
.javais juste envie dêtre un peu cruelle ! »
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