La Gourgandine ( 10 )
10--- Le lendemain matin je ne prends pas de douche en me levant, je fais juste une toilette intime, il vaut mieux que je la prenne après la baise puisquil est prévu quil vienne me la mettre ! Je suis dans la cuisine en train de déjeuner. On sonne à la porte. Je suis en robe de chambre, vais ouvrir
- Te voilà déjà, tes pas en retard, il est 9h1/2.
- Jai pensé à toi toute la nuit.
Je le fais entrer dans la cuisine, lui propose un café, termine mon petit dèj. Ce matin je suis en forme. Je regarde son jean, à mon avis il bande déjà.
- Tas vu Carole hier ?
- Non, jla vois pas en semaine, elle finit trop tard !
- Elle travaille pas le lundi !
- Je sais, jen profite ce jour là !
- Tu pourrais la voir le week-end ! Passer la nuit avec elle !
Bizarre, il ne répond pas à cette suggestion, je me demande pourquoi ? Je fais la vaisselle, la range. Il est debout à côté de moi, me regarde. Je le repousse et en même temps plaque ma main sur son bas ventre, serre la bosse. Jouvre la braguette, saisie sa queue dans le slip, il bande
- Aller, on y va, tes venu pour ça ?
On monte dans ma chambre, le lit est encore ouvert, mes habits sont en vrac au pied du lit, ma culotte traîne par terre. Il sapproche, se colle à moi, cherche ma bouche, je détourne la tête, je ne veux pas quil fourre sa langue dedans. Il ouvre ma robe de chambre, plaque sa main sur ma toison, la passe entre mes jambes, glisse son doigt dans ma fente.
- Tu mouilles déjà !
- Attends, jsuis pas prête !
- Jtiens plus, jveux tla rentrer !
Je le repousse, mon lit est ouvert, je mets un peu dordre dans la chambre, range mes habits, prends mon temps, je veux lui montrer que cest moi qui décide du moment où je me fais sauter. Il tourne autour de moi, matt, se colle derrière moi, je sens sa bite dans le bas du dos, il na pas refermé sa braguette. Comme il se débrouille pour être toujours derrière moi et quil membrasse dans le cou, me tripote sur tout le corps, je nai pas vu quil a sorti sa bite hors de son slip.
- Jbaise pas sans capote !
- Donne men une !
Je prends mon sac, lui en passe une, lui dis sèchement :
- Aller, enfile ça !
Il se déshabille tranquillement, met ses habits sur la chaise, équipe sa bite, se rapproche, fait tomber ma robe de chambre. Je la ramasse, la mets sur le dossier de la chaise. Il me dit :
- Présente-moi ton cul !
Je mets un genou sur le lit, lautre pied reste au sol, me penche en avant, mappuie sur le lit. Il me tient aux hanches, menfile sa queue, mon cul suit la cadence, il me burine dur, à chaque coup de bite je fais des ho- ah- ho- hi- h-haaia, lui me répond par des han han, quel concert. Il va au fond de moi, me ramone terrible, je sens que je viens, ça y est je décolle,
Waahooo
Je suis partie trop vite, viens de prendre mon pied, il ne ma fallu que quelques minutes pour jouir, je mécroule sur le lit, insatisfaite. Il est sorti de moi quand jai joui, cest pas normal, il naurait pas dû !.Je me redresse, massoie au bord du lit, le regarde, il est debout, à poil devant moi, a lair tout penaud, sa bite est retombée au repos, pas possible, il a débandé trop vite, na pas vidé ses couilles ! Je dois faire quelque chose. Je lui dis.
- Tu tiens pas la distance ! Approche toi !
Je lui enlève la capote, prends sa bite en bouche, labsorbe en entier, mapplique, il se laisse faire, me lenfourne en fond de gorge, ressort, il a lair dapprécier ma prestation. Sa queue se redresse doucement, durcit, se cabre, ça va être bon, il va pouvoir me la rentrer de nouveau.
- Allonge toi sur le lit, je vais te grimper dessus !
Il sexécute, sallonge sur le dos, je prends une nouvelle capote, équipe son dard. Il le tient droit, je maccroupis au-dessus de la bite, pieds sur le lit, me penche en avant, mets mes mains sur sa poitrine, me laisse descendre doucement. Sa gaule senfonce jusquà la garde, je la fais aller et venir dans moi, je serre mon vagin pour bien la sentir. Je pivote sur cet axe, lui tourne le dos, une vraie chevauchée sengage, il maccompagne par des coups de rein. Jai chaud, gémis de plus en plus fort. Il se redresse, met ses mains sous mes fesses, me repousse, je pique du nez, me retrouve recroquevillée genoux sous moi contre mes seins, épaules sur le lit, croupe en lair. Il sest mis à genoux derrière moi, ouvre ma fente, enfile sa queue dans mon trou, me prend aux hanches, tire, me ramone sauvage. Il fait varier la cadence, entre, sort, memmanche de nouveau, se bloque au fond. Il a repris de lénergie, me lime acharné pendant une dizaine de minutes, je laccompagne par des coups de cul pendant quil me burine. Je sens quil va mavoir, jai chaud, je lui livre mon corps, labandonne à ses coups de bite, respire de plus en plus vite, ça y est je suis partie de nouveau, halète, décolle, cambre mes reins pour bien lencastrer, il est au fond, jecrie ma jouissance.
- Ahaaa Oho ouiiiiiiiiiiiiii.
Je me déplie, mécroule sur le ventre, cuisses ouvertes, croupe remontée. Il ne me laisse pas souffler, me retourne, me met sur le dos, mécarte les cuisses en grand, remonte mes jambes sur ses avant-bras, menfile de nouveau son petit cigare. Je suis lessivée, je le laisse sacharner dans mon bas ventre, j ai à peine la force de laccompagner en cambrant les reins. Il va de plus en plus vite, se bloque au fond de moi, la bite gonfle, je la sens se cabrer. Des soubresauts animent sa queue à lintérieur de mon vagin, je le contracte, je sens ses jets de foutre remplir la capote, cest chaud, cest bon.
- Quest ce que tu mas mis !
- Tas aimé ?
- Tu mas crevée !
- Tas joui ?
- Oui, deux fois, la seconde fois cétait vraiment fort, merci !
- On remet ça ? Je peux encore !
- Jai plus le temps, rhabille-toi en vitesse, rentre chez toi, je dois encore prendre ma douche
- Jen prendrais bien une moi aussi, jen ai besoin !
- Non, cest fini pour aujourdhui ! Jai besoin dêtre seule !
Il se rhabille, je suis toujours à poil, assise au bord du lit. Je passe ma robe de chambre, le raccompagne à la porte. Avant de me quitter il me demande :
- On se voit demain ?
- Non, je dois avoir mes règles,
- Alors pourquoi tu mas mis une capote, jaurais pu jouir te remplir ?
- Pas question, je baise pas sans !
- On se revoit après, jaime ton cul, jai encore envie de le fourrer !
- Mes parents rentrent samedi. La semaine prochaine je travaille jusquà 15 h, ensuite je suis libre. Pas question de baiser ici, si tu veux encore me sauter, et jsuis pas contre, trouves un endroit !
- Jai encore une semaine de vacances, viens chez moi..
- Je ne sais pas, je vais y réfléchir, appelle-moi. Salut !
Je file dans la salle de bain, prends ma douche. Je me regarde dans le miroir, jai la tête de quelquun qui a passé une nuit blanche. Un peu de maquillage répare les dégâts, mais jai quand même de sacrés cernent sous les yeux. Je retourne dans ma chambre, refait le lit, mhabille. Il faut encore que je prépare mon déjeuner, jai une faim de loup ! Il me reste encore 1h avant de partir au boulot, faut que jme grouille !
À suivre
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