La Gourgandine ( 14 )
14--- Il y a maintenant près de 2 mois que je suis allée chez Fred pour me faire sauter. Depuis il na contacté ni lune ni lautre, nest pas venu senvoyer Carole chez elle, silence radio total. On ne connaît que son prénom. Jai repéré sur mon portable son N° la première fois quil ma appelé, jai essayé, ou cest « pas libre » ou ça raccroche. Un samedi après midi, alors que ma copine sétonnait de cette disparition, je lui ai raconté la séance de baise qui a eu lieu un après midi chez lui. Je lui ai donné tous les détails, même les plus croustillants, y compris le sandwich, le copain dessous, Fred qui mencule, mon envolée au septième ciel quand il a déchargé dans mes entrailles ! Et la surprise en sortant de chez lui de me retrouver nez à nez avec une femme qui utilise sa clé pour rentrer chez
elle je crois ? Ca ne peut être que sa copine, il y a plein de vêtements féminins dans larmoire de la chambre, des produits de maquillage dans la salle de bain, un lit à 2 places. Carole, qui vient découter mon récit, me dit :
- Bon sang tu mfais mouiller ! Si seulement çavait été moi !
- Tu tes déjà fait prendre dans les 2 trous en même temps ? Pour moi cest la première fois !
- Non, quelle sensation ça fait dêtre emmanchée de cette façon ?
- Tu ne peux que subir, tes coincée entre les deux mecs et en plus quand cest fini, tas mal au cul !
- On sent vraiment les 2 bites ?
- Oui, surtout dans le vagin quand les glands se croisent !
- Je sais maintenant pourquoi il ne passait pas la nuit avec moi, ni le week-end. Il faut que je retrouve une bite disponible !
- Sorts ton gode, jai trop envie !
- OK, mais mon gode ne vaut pas une bite bien chaude !
- Evidemment, mais ça permet de sentretenir la moule !
Tranquillement on se déshabille, nous voilà presque à poil toutes les deux, on frappe à la porte. On se rhabille vite fait, on a juste une jupe et un sweet à remettre, jai encore ma culotte, elle nen a pas mis.
- Planques toi dans la salle de bain, je vais voir qui cest !
Elle va à la porte, lentrouvre, regarde.
- Ah cest vous !
Elle sassure que je ne suis plus dans la pièce, enlève la chaîne de sécurité, ouvre la porte.
- Entrez, je ne vous attendais pas mais vous êtes le bienvenu !
- Je suis venu à tout hasard, jai une course à faire !
- Vous êtes venu pour me sauter ?
- Non, seulement te voir !
- Vous nallez pas repartir sans mêtre passé dessus !
- Ninsiste pas, cest pas dans mes intentions !
- Jvous crois pas ! Cest mon cul qui vous intéresse !
- Ne soit pas vulgaire! Si tu le prends comme ça, j men vais !
- Vous nallez pas repartir sans mavoir baisé !
- Il nen est pas question !
- Vous ne refuserez pas une petite gâterie ?
- Si ça te fait plaisir, mais vite fait.
- Vous êtes quand même pas venu me voir que pour ça !
Jentrouvre la porte, regarde discrètement ce quils font. Il est debout entre la table et le lit, je le vois de profil, elle est à genoux, ouvre sa braguette, descend le pantalon et le slip sur ses cuisses, libère la queue et les couilles, le prend en bouche. Il lui tient la tête, senfonce au plus profond de sa gorge, elle en étouffe, bave. Elle le pompe depuis 5 minutes, arrête de le sucer, se relève et lui dit:
- Votre queue est prête, venez me la mettre !
- Non, tas dit une pipe, cest tout !
La queue est droite, rouge, dure, longue, elle la saisit derrière le gland,
- Fout moi la paix, lâche ça !
14--- Il y a maintenant près de 2 mois que je suis allée chez Fred pour me faire sauter. Depuis il na contacté ni lune ni lautre, nest pas venu senvoyer Carole chez elle, silence radio total. On ne connaît que son prénom. Jai repéré sur mon portable son N° la première fois quil ma appelé, jai essayé, ou cest « pas libre » ou ça raccroche. Un samedi après midi, alors que ma copine sétonnait de cette disparition, je lui ai raconté la séance de baise qui a eu lieu un après midi chez lui.
- Bon sang tu mfais mouiller ! Si seulement çavait été moi !
- Tu tes déjà fait prendre dans les 2 trous en même temps ? Pour moi cest la première fois !
- Non, quelle sensation ça fait dêtre emmanchée de cette façon ?
- Tu ne peux que subir, tes coincée entre les deux mecs et en plus quand cest fini, tas mal au cul !
- On sent vraiment les 2 bites ?
- Oui, surtout dans le vagin quand les glands se croisent !
- Je sais maintenant pourquoi il ne passait pas la nuit avec moi, ni le week-end. Il faut que je retrouve une bite disponible !
- Sorts ton gode, jai trop envie !
- OK, mais mon gode ne vaut pas une bite bien chaude !
- Evidemment, mais ça permet de sentretenir la moule !
Tranquillement on se déshabille, nous voilà presque à poil toutes les deux, on frappe à la porte. On se rhabille vite fait, on a juste une jupe et un sweet à remettre, jai encore ma culotte, elle nen a pas mis. Je regarde ma montre il est 3h.
- Planques toi dans la salle de bain, je vais voir qui cest !
Elle va à la porte, lentrouvre, regarde.
- Ah cest vous !
Elle sassure que je ne suis plus dans la pièce, enlève la chaîne de sécurité, ouvre la porte.
- Entrez, je ne vous attendais pas mais vous êtes le bienvenu !
- Je suis venu à tout hasard, jai une course à faire !
- Vous êtes venu pour me sauter ?
- Non, seulement te voir !
- Vous nallez pas repartir sans mêtre passé dessus !
- Ninsiste pas, cest pas dans mes intentions !
- Jvous crois pas ! Cest mon cul qui vous intéresse !
- Ne soit pas vulgaire! Si tu le prends comme ça, j men vais !
- Vous nallez pas repartir sans mavoir baisé !
- Il nen est pas question !
- Vous ne refuserez pas une petite gâterie ?
- Si ça te fait plaisir, mais vite fait.
- Vous êtes quand même pas venu me voir que pour ça !
Jentrouvre la porte, regarde discrètement ce quils font. Il est debout entre la table et le lit, je le vois de profil, elle est à genoux, ouvre sa braguette, descend le pantalon et le slip sur ses cuisses, libère la queue et les couilles, le prend en bouche. Il lui tient la tête, senfonce au plus profond de sa gorge, elle en étouffe, bave. Elle le pompe depuis 5 minutes, arrête de le sucer, se relève et lui dit:
- Votre queue est prête, venez me la mettre !
- Non, tas dit une pipe, cest tout !
La queue est droite, rouge, dure, longue, elle la saisit derrière le gland,
- Fout moi la paix, lâche ça !
Elle le tire, il résiste mais finalement suit comme un petit chien en laisse, na aucun mal à lamener près du lit.
- Arrête, ça suffit comme ça !
- Baisez moi !
- Fallait quten arrives là !
Comme il me tourne le dos, je sorts de ma cachette pour mieux voir ce quil va se passer maintenant.
Elle remonte sa jupe, sallonge sur le lit, écarte les cuisses à fond, lui expose sa chatte, ouvre ses lèvres, lui montre le fond de sa fente. Il la regarde :
- Tas pas de culotte ?
- Jen mets pas quand je suis chez moi !
Il ne quitte pas son sexe des yeux, a lair dhésiter encore, mais loffre est alléchante, il abandonne, se décide :
- Passes moi une capote.
- Y en a dans le tiroir.
Ca y est, cest parti, il va lemmancher. Quel hypocrite, il est venu parce quil avait envie de la sauter ! Il en prend une, la déroule sur sa bite, lui relève les jambes, fait vibrer un doigt dans le trou et en même temps lui bouffe le clitoris. Il se redresse, lui écarte les cuisses, elle les garde grandes ouvertes, il élargit son trou en y enfonçant 2 doigts de chaque main, tire sur les bords.
- Oui, ouvrez moi !
Je lentends gémir, elle remue le bas ventre, elle est partie. Elle ouvre elle même ses lèvres, il se met sur elle, lui tient les jambes en lair, ajuste son gland sur lentrée du vagin, pousse, il lui dit.
- Je crois qucest bon !
- Oh oui, ça rentre !
Le gland vient de passer lentrée car jentends
- Aïeouille, oh ouiiii oui, allez au fond doucement !
- Comment tu la trouves ?
- Grosse !!
Il senfonce en elle, commence à la pilonner doucement, elle fait des i, ooui, ,i, i, i, o a a oui, de plus en plus fort et de plus en plus souvent suivant la rapidité des va et vient. À les entendre, je ne tiens plus, attends que tous les deux soient bien dans laction pour mavancer près du lit. Cest risqué, il vit avec ma mère, nest que mon beau-père, ma reconnue et ma élevée, je le vois chaque jour, les entends baiser parce que ma chambre est à côté de la leur. Depuis quune nuit, à 18/19 ans, je lai croisé à poil dans le couloir alors que je sortais de la salle de bain toute nue, jai envie de sa queue en moi. Un peu plus tard, sur le canapé, jai réussi à le faire se vider dans ma bouche, mais depuis il se méfie et je narrive plus à rien. Jhabite toujours chez eux, travaille depuis 2 ans. Jai 23 ans, plusieurs dizaines de queues différentes à mon actif depuis que je me suis fait dépuceler lorsque jen avais même pas 15. Je veux lui faire cadeau de mon corps en remerciement de tout ce quil a fait pour moi ! Jai là une occasion mais le risque est grand. Ca fait bien ¼ dh quil est sur elle, la pilonne hard, la fait couiner, je ne tiens plus, je vais peut-être me prendre une torgnole mais tant pis. Je mapproche doucement sans faire de bruit, me place à côté du lit un peu en retrait, les regarde. Il doit sentir ma présence, se redresse, tourne la tête.
Il paraît furieux, quitte le bas ventre de Carole, descend du lit, slip et pantalon sur les cuisses, il se tourne vers moi. Il dit à ma copine :
- Taurais pu me dire quelle était là !
- Elle devait pas se montrer !
- Jai eu tord de venir sans prévenir !
Sa queue est raide, rouge, dressée, la capote luisante de mouille, elle me fait envie. Il me dit sur un ton furibard:
- Quest ce que tu fous là ?
- Toccupe pas de moi !
- Jvais pas la continuer devant toi !
- Tu las commencé, finit la !
Il est face à moi, je ne vois de lui que sa queue, je ne peux pas résister, retire ma culotte, remonte ma jupe, lui montre mon minou.
- Ca ne te fait pas envie ?
- Tes vraiment une salope !
- Pourquoi ? Jte plais pas ?
- Là nest pas la question !
- Alors sautes moi, y aura pas de jaloux !
Ca fait quelques minutes que je suis apparue devant lui. Je tiens ma jupe relevée, jai le ventre à lair, mallonge sur le lit auprès de Carole, ouvre mes cuisses en grand et des 2 mains écarte mes lèvres, lui expose les replis de ma fente, me glisse un doigt dans le trou, je mouille. Il est tout rouge, me regarde, je sens que je lui fais envie, il va capituler, un homme ne peut pas rester insensible devant un tel spectacle, surtout quand il a la bite en érection. Deux femmes qui soffrent à lui cuisses et fentes ouvertes !
- Oh et puis merde, tu lauras voulu !
Il se met au dessus de moi, prend sa queue en main, la place à larrière de ma fente, appuie le gland sur mon orifice, donne un brusque coup de rein.
- Aïeeee, tu vas mdéchirer !
Le gland a ouvert facilement lentrée de mon vagin, pénètre, le reste de la bite suit et en 2 coups menfile ses 20 cm, ses couilles touchent mon cul.
- Tu mas fait mal !
- Tu la veux, tu las, faut pas tplaindre !
- Arrête, ça suffit comme ça !
- Baisez moi !
- Fallait quten arrives là !
Comme il me tourne le dos, je sorts de ma cachette pour mieux voir ce quil va se passer maintenant.
Elle remonte sa jupe, sallonge sur le lit, écarte les cuisses à fond, lui expose sa chatte, ouvre ses lèvres, lui montre le fond de sa fente. Il la regarde :
- Tas pas de culotte ?
- Jen mets pas quand je suis chez moi !
Il ne quitte pas son sexe des yeux, a lair dhésiter encore, mais loffre est alléchante, il abandonne, se décide :
- Passes moi une capote.
- Y en a dans le tiroir.
Ca y est, cest parti, il va lemmancher. Quel hypocrite, il est venu parce quil avait envie de la sauter ! Il en prend une, la déroule sur sa bite, lui relève les jambes, fait vibrer un doigt dans le trou et en même temps lui bouffe le clitoris. Il se redresse, lui écarte les cuisses, elle les garde grandes ouvertes, il élargit son trou en y enfonçant 2 doigts de chaque main, tire sur les bords.
- Oui, ouvrez moi !
Je lentends gémir, elle remue le bas ventre, elle est partie. Elle ouvre elle même ses lèvres, il se met sur elle, lui tient les jambes en lair, ajuste son gland sur lentrée du vagin, pousse, il lui dit.
- Je crois qucest bon !
- Oh oui, ça rentre !
Le gland vient de passer lentrée car jentends
- Aïeouille, oh ouiiii oui, allez au fond doucement !
- Comment tu la trouves ?
- Grosse !!
Il senfonce en elle, commence à la pilonner doucement, elle fait des i, ooui, ,i, i, i, o a a oui, de plus en plus fort et de plus en plus souvent suivant la rapidité des va et vient. À les entendre, je ne tiens plus, attends que tous les deux soient bien dans laction pour mavancer près du lit. Cest risqué, il vit avec ma mère, nest que mon beau-père, ma reconnue et ma élevée, je le vois chaque jour, les entends baiser parce que ma chambre est à côté de la leur. Depuis quune nuit, à 18/19 ans, je lai croisé à poil dans le couloir alors que je sortais de la salle de bain toute nue, jai envie de sa queue en moi. Un peu plus tard, sur le canapé, jai réussi à le faire se vider dans ma bouche, mais depuis il se méfie et je narrive plus à rien. Jhabite toujours chez eux, travaille depuis 2 ans. Jai 23 ans, plusieurs dizaines de queues différentes à mon actif depuis que je me suis fait dépuceler lorsque jen avais même pas 15. Je veux lui faire cadeau de mon corps en remerciement de tout ce quil a fait pour moi ! Jai là une occasion mais le risque est grand. Ca fait bien ¼ dh quil est sur elle, la pilonne hard, la fait couiner, je ne tiens plus, je vais peut-être me prendre une torgnole mais tant pis. Je mapproche doucement sans faire de bruit, me place à côté du lit un peu en retrait, les regarde. Il doit sentir ma présence, se redresse, tourne la tête.
Il paraît furieux, quitte le bas ventre de Carole, descend du lit, slip et pantalon sur les cuisses, il se tourne vers moi. Il dit à ma copine :
- Taurais pu me dire quelle était là !
- Elle devait pas se montrer !
- Jai eu tord de venir sans prévenir !
Sa queue est raide, rouge, dressée, la capote luisante de mouille, elle me fait envie. Il me dit sur un ton furibard:
- Quest ce que tu fous là ?
- Toccupe pas de moi !
- Jvais pas la continuer devant toi !
- Tu las commencé, finit la !
Il est face à moi, je ne vois de lui que sa queue, je ne peux pas résister, retire ma culotte, remonte ma jupe, lui montre mon minou.
- Ca ne te fait pas envie ?
- Tes vraiment une salope !
- Pourquoi ? Jte plais pas ?
- Là nest pas la question !
- Alors sautes moi, y aura pas de jaloux !
Ca fait quelques minutes que je suis apparue devant lui. Je tiens ma jupe relevée, jai le ventre à lair, mallonge sur le lit auprès de Carole, ouvre mes cuisses en grand et des 2 mains écarte mes lèvres, lui expose les replis de ma fente, me glisse un doigt dans le trou, je mouille. Il est tout rouge, me regarde, je sens que je lui fais envie, il va capituler, un homme ne peut pas rester insensible devant un tel spectacle, surtout quand il a la bite en érection. Deux femmes qui soffrent à lui cuisses et fentes ouvertes !
- Oh et puis merde, tu lauras voulu !
Il se met au dessus de moi, prend sa queue en main, la place à larrière de ma fente, appuie le gland sur mon orifice, donne un brusque coup de rein.
- Aïeeee, tu vas mdéchirer !
Le gland a ouvert facilement lentrée de mon vagin, pénètre, le reste de la bite suit et en 2 coups menfile ses 20 cm, ses couilles touchent mon cul.
- Tu mas fait mal !
- Tu la veux, tu las, faut pas tplaindre !
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