Épître À Une Jeune Femme Soumise (1/5)
Chapitre 1
Justine
Ce pseudo fleurait bon le Marquis de Sade, et ses "malheurs de la vertu" !
Je lai découvert par une chaude journée daoût, alors que je surfais sur un site dhistoires érotiques.
Tu te présentais comme une jeune alsacienne de 23 ans, fascinée par les histoires de domination / soumission entre femmes, et tu disais avoir découvert en toi, récemment, une attirance pour les plaisirs saphiques. Tu précisais que tu étais ouverte à la discussion.
Il nen fallait pas plus pour piquer ma curiosité !
Je tai contactée en message privé, et tu mas répondu aussitôt. De fil en aiguille, nous nous sommes présentées, et nous nous sommes fait quelques confidences. Jusquà ce que, très vite, tu acceptes dêtre mon "élève", et que je commence à te soumettre virtuellement, à distance.
Tu étais très douée, cest le moins quon puisse dire ! Dès les premiers "cours", dès que tu as obéi à mes premiers ordres, tu as su répondre à mes attentes, et même au-delà, nous conduisant au plaisir.
Au départ, il y a bien eu quelques réticences, ou une certaine retenue de ta part, sans que je sache sil sagissait de prudence ou de timidité. Tu ne voulais même pas me dire ton vrai prénom ! Mais maintenant, je sais que tu tappelles Laure, et ta description me permet de timaginer.
Et puis, il y a eu cette nouvelle, inespérée : je dois aller passer quelques jours en Alsace, pour raison professionnelle ! Départ dès mardi, la semaine suivante.
Je tannonce la nouvelle, et je te propose de nous rencontrer. Javoue que je suis inquiète
Vas-tu accepter ? Faire passer dans la "vraie vie" notre relation virtuelle, si particulière ? Mais surtout, corresponds-tu au personnage qui sest présenté à moi, et que jimagine ?
Lorsque ta réponse arrive, je saute de joie : cest « oui », même si tu ne veux pas que nous nous voyons chez toi, à cause de ta colocataire.
Là encore, internet fait des miracles
En surfant, je trouve un bar fréquenté par des lesbiennes, ni trop près de chez toi par souci de discrétion ni trop loin. Lintimité de notre relation ne choquera personne, dans un tel endroit
Et tu acceptes ce rendez-vous, pour le mercredi soir.
Mais cest à mon tour de poser mes conditions. Je suis ta Maîtresse, tout de même ! Pour cette rencontre, je te veux sexy, sans sous-vêtements. Nous convenons dune heure, peu après ta sortie du travail. Nous pourrons bavarder autour dun apéritif.
Pour que tu puisses me reconnaître, je te précise que je porterai un chemisier noir, largement déboutonné. Au cas où une autre fille aurait eu la même idée pour sa tenue, je louvrirai encore plus largement, pour que tu ne puisses pas confondre.
Quelques minutes avant lheure fixée, jarrive dans le bar. Lendroit est très cosy, avec des lumières tamisées, et la barmaid qui maccueille me gratifie dun grand sourire, pendant que ses yeux sattardent sur ma poitrine. Il faut dire que mon chemisier est boutonné seulement sous mes seins, et quil est facile de voir que je ne porte pas de soutien-gorge.
Je commande un verre, et je minstalle à une table au fond de la petite salle, face à la porte par laquelle tu arriveras. Tu ne peux pas me manquer.
Je nattends pas très longtemps. Une jeune femme arrive. Cette crinière dun roux sombre, cette silhouette fine et musclée, cette poitrine ferme
Et surtout, ces yeux verts, inquiets, qui parcourent la salle et silluminent en me voyant
Cest toi !
Je te souris, et je tinvite à tasseoir sur la banquette à côté de moi. Ma bouche se pose sur ta joue, juste à la commissure des lèvres, et nous commençons à parler.
La conversation prend rapidement un tour plus intime et sensuel. Jai passé mon bras autour de ton épaule, faisant bâiller davantage mon chemisier qui découvre largement un des mes seins. Nos lèvres se rejoignent, et je tembrasse pour la première fois. Ta bouche est fraîche, agréablement parfumée, et nos langues se cherchent et senroulent.
Je fais sauter quelques boutons de ta chemise, pour pouvoir glisser ma main sous le tissu. Je sens aussitôt tes tétons libres qui pointent et qui se dressent sous mes doigts
Pas de soutien-gorge, tu mas obéi
Ton baiser se fait plus fougueux, attirant les regards des clientes du bar.
Toi aussi, tu joues avec mes aréoles gonflées, et mes caresses se font plus audacieuses. Sous la table, ma main se glisse sous ta jupe, et mes doigts effleurent
un string ! Bien humide, mais un string, alors que je te lavais interdit !
Je mécarte de toi, et je te fixe, sévèrement.
- Laure ! Quest ce que ça veut dire ? Javais dit : aucun sous-vêtement
- Oh ma Maîtresse, ne te mets pas en colère. Je nai pas pu. Je mouillais trop en pensant à notre rendez-vous, et javais peur de tâcher ma jupe. Pardon !
- Mais tu nas aucune excuse. Tu dois mobéir, un point cest tout ! Je ne sais pas si on va pouvoir continuer
- Oh non, ne dis pas ça ! Jai trop aimé nos échanges sur le net, et puis maintenant, toi à côté de moi
Punis moi, demande moi ce que tu veux !
- Très bien, je préfère ça. Tu vas aller aux toilettes, enlever ce string, et revenir avec à la main, bien visible. Tu le poseras sur notre table, en évidence, et tu commanderas dautres consommations à la barmaid. Et si tu fais bien ce que je te demande, je toffrirai le cadeau que jai acheté pour toi.
- Tu veux que je
. Jy vais.
Tu as prononcé ces derniers mots à mi-voix, les joues en feu.
Je nattends pas très longtemps. A peine une minute après y être rentrée, tu ressors des toilettes, encore plus rouge me semble-t-il, si jamais cest possible. Tu nas même pas pensé à reboutonner la chemise que jai ouverte, et on entrevoit une jolie pointe de sein, qui cherche à séchapper. Mais surtout, tu tiens dans ta main droite ton petit string blanc, par lélastique qui remontait sur tes hanches, et chacune peut voir le triangle de dentelle blanche auréolée de ta mouille.
Tu marches le plus vite possible, pour écourter ce moment de honte, et tu reviens tasseoir à côté de moi. Tu poses ton string au milieu de la table, et je prends ton visage entre mes mains, pour te prodiguer un long baiser, et te féliciter.
- La serveuse vient de notre côté, fais lui signe, te dis je avec un sourire complice.
- Mademoiselle
Pourriez vous nous apporter
Au fait, tu prends la même chose ?
- Oui. Je crois que ça nous réussit.
- Alors, deux verres de Riesling, dis-tu dune voix mal assurée.
Et jajoute :
- Et apportez nous quelques tapas.
La barmaid nous à peine écoutées, tant son attention est mobilisée par ton string, exposé sur la table. Mais elle se ressaisit, et retourne vers le bar.
Je choisis ce moment pour sortir de mon sac à main le petit cadeau que jai acheté, en vue de notre rencontre. Une petite boîte, un peu comme celles des bijoutiers, dun rouge éclatant, entourée dun ruban rose flashy, avec létiquette dun magasin darticles de charme.
- Pour toi, Laure. Je veux que tu le portes le plus souvent possible, comme un témoin de notre relation et de ta soumission.
Tu balbuties un « merci », tu déposes un baiser sensuel sur mes lèvres, et tu commences à déballer mon cadeau.
- Je lai choisi en pensant à la couleur de tes yeux.
- Je
je ne sais pas comment te remercier.
- Mais en le portant, ma petite salope !
- Dès demain, je te promets.
- Ce nest pas ce que jai prévu. Il devra orner la raie de tes fesses, quand nous partirons dici. Je te dirai quand le mettre en place.
Larrivée de la serveuse, avec son plateau rempli, tempêche de répondre. Elle dépose nos verres et nos assiettes de tapas sur la table, et madresse un petit clin dil en apercevant le bijou qui brille dans son écrin. Manifestement, les clientes aussi audacieuses que nous ne sont pas légion !
Nous trinquons. Tu commences à te ressaisir, et tu me dis encore merci. Jen profite pour tembrasser à pleine bouche, avant de déguster une gorgée de vin.
Tout en mangeant, nous parlons à mi-voix, et je décide de mettre les choses au point avec toi. Je joue mon va-tout
- En partant dici, je te propose daller chez moi. Mais avant de me répondre, sache que cest la dernière fois que je te demande ton avis. Si tu dis non, nous ne nous reverrons pas. Si tu dis oui, tu deviendras ma petite salope soumise, obéissant à tous mes ordres sans discuter. Tu seras mon esclave, ma petite pute, ma chienne, suivant mes désirs et mon humeur
Alors, jattends ta réponse.
Tu blêmis. Dans tes yeux, je lis la panique, les tourments du dilemme que tu devras trancher dans quelques secondes, sans avoir le temps de réfléchir. Un simple mot de ta bouche va tengager pour longtemps, sur des chemins inconnus
Tu respires un grand coup, et tu me regardes avec, déjà, une expression soumise.
- Cest oui, me réponds-tu dun air grave. Je viendrai chez toi.
- Je ne sais pas si tu as raison, mais tu ne pourras plus revenir en arrière.
Nous continuons à échanger, sur un mode plus détendu, tout en buvant et en mangeant. Pour un peu, tu pourrais penser que la réponse que tu viens de formuler na pas vraiment de suite. Sauf que, après avoir fini nos dernières tapas, je te rappelle à la réalité.
- Cest le moment détrenner ton cadeau. Pour la première fois, je veux que ce soit moi qui le glisse entre tes jolies fesses. Lève-toi, on va aux toilettes.
Tu prends le bijou dune main tremblante, et tu me suis. Nous entrons ensemble dans un WC, et je verrouille la porte.
- Passe moi ton cadeau, et enlève ta jupe. Et maintenant, tu te penches en prenant appui sur la cuvette, en te cambrant et en écartant les jambes
Mieux que ça !
Jai crié, et ma main sabat sur tes fesses nues. Plusieurs claques violentes et sonores, laissant des traces rouges là où mes doigts ont frappé. Tu te mords les lèvres pour ne pas te plaindre, mais tu es maintenant dans la position que je voulais. Offerte. Humiliée.
Je glisse une main entre tes cuisses, et je commence à masser ta chatte.
- Tu coules, salope. Tu aimes ça, hein ?
- Oui
- Oui, ma Maîtresse, et mon rappel à lordre saccompagne dune nouvelle claque.
- Oui, ma Maîtresse. Jaime tout ce que tu me fais.
Un sentiment de victoire me réjouit. Je sens ma fente shumidifier, et je libère mes seins qui pointent, durs comme de la pierre.
Mes doigts fouillent ton abricot juteux, titillent ton clito, le pincent. Jexplore ta grotte inondée de cyprine, et des petits jets de ta mouille coulent jusque dans ma paume. Lorsque jaccélère le mouvement, tu te mets à gémir. Quatre doigts vont et viennent maintenant dons ton intimité, avec des bruits de succion, tant tu te contractes.
Je retire ma main, et je la remonte, au creux du sillon de tes fesses. Je les écarte, découvrant ta rosette qui frémit déjà, dans lattente de la pénétration que tu sais inévitable. Mon majeur, lubrifié par ta sève tourne autour de ton petit orifice sombre, puis appuie pour louvrir. Sans rencontrer vraiment de résistance, ma première phalange senfonce dans ton cul, et tu pousses un petit cri de plaisir.
Pendant que je vais de plus en plus profond dans ton anus, mon autre main prend le chemin de ton sexe. En quelques secondes, tu es prise par tes deux orifices. Un deuxième doigt rejoint le premier, dans ta rosette dilatée. Ils tournent, sécartent, pour te préparer.
- Tu aimes ça, ma petite pute ?
- Oh oui
Oui Maîtresse
Vous me faites du bien
Oh jai honte.
- Tu peux avoir honte, espèce de chienne en chaleur.
Je prends ton bijou anal, et je pousse le cône entre tes fesses, tout en continuant de pilonner ta chatte avec mes doigts. Tu râles, mais tu te cambres encore plus pour mieux toffrir. Tu te plains doucement, quand on en arrive à la partie la plus large du plug, puis tu te détends, et le bijou se met en place tout seul, comme aspiré.
Jadmire ton cul, dans lequel scintille la pierre verte. Je sais que tu mappartiens maintenant, et je me déchaîne. Jusquà ce que tu jouisses, en criant, malgré les bruits de voix que jentends à travers la porte.
Tu es secouée longuement par des spasmes, puis tu deviens inerte. Mais moi, mon désir est à son comble ! Jempoigne tes cheveux pour te relever, je dégrafe ma jupe que je jette par terre, et jécarte mes cuisses en posant un pied sur la cuvette. Puis je te force à tagenouiller, et je dirige ta tête vers mon sexe dégoulinant.
- Lèche-moi ! Bouffe-moi !
En tirant tes cheveux, je plaque ton visage contre ma chatte. Ta bouche se pose sur mes petites lèvres ouvertes, et ta langue se glisse au plus profond de mon intimité. Je coule sur toi, ta bouche et tes joues sont maculées par ma cyprine gluante.
- Mets tes doigts dans mon cul, salope !
Tu mobéis, et je sens tes doigts dans mon petit trou. Mais quand tu écartes ton visage pour reprendre ton souffle, je te gifle.
- Narrête pas de me lécher, suce mon petit bouton
Oh oui, petite pute, comme ça
Oh je viens ! Je
Le plaisir arrive si subitement quil me surprend. Je jouis, interminablement, je gicle sur toi, avec des cris rauques.
Il me faut un long moment pour me calmer. Une fois apaisée, je te repousse sans ménagement et tu técroules sur le sol.
- Allez, debout ! Rajuste toi. Je vais payer, et on va aller chez moi, pour la suite.
- Oui, ma Maîtresse, réponds-tu, en ramassant ta jupe.
- Et je te préviens, ce qui vient de se passer nétait quun hors duvre. La nuit va être longue.
Une fois rhabillées, nous retournons à notre table. Tu marches à petits pas, nétant pas encore habituée à la présence du plug dans ton anus. Mais cest surtout ta tenue qui attire les regards. Ta chemise largement ouverte. Ta chevelure en désordre, et les traces de ma mouille sur tes joues et ton menton
Pendant que je règle avec ma carte de crédit, les clientes nous dévisagent, certaines avec curiosité, dautres avec un air réprobateur.
Tu me suis, soumise, jusquà ma voiture stationnée tout près. Nous ne disons pas un mot, jusquà ce que je me gare, au pied de mon immeuble.
- Cest là. Tu peux descendre, te dis-je.
Tu lèves des yeux pleins de crainte vers la façade, et japerçois ta chatte lorsque tu ouvres la portière.
- Viens, salope, cest par ici.
- Oui, ma Maîtresse
Cest le point de départ dune nuit, que tu noublieras jamais.
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