La Gourgandine ( 13 )
13---- On est jeudi, il est 4 h, je suis rentrée du boulot depuis une demi-heure, je me repose allongée sur mon lit. Les mises en rayon, la caisse, les transports, tout cela est épuisant. Fred mappelle.
- Je voudrais te voir, quest ce que tu fais ?
- Pour linstant je me repose.
- Si ten as envie viens chez moi, tas un crayon jte donne ladresse.
- Jsais pas, donne toujours.
Je note ladresse dans mon agenda, note le N° dappel. Il mexplique comment y aller. Il habite au 5 ème, porte droite en sortant de lascenseur.
- Ok, jte promets pas !
- Jai très envie de toi ! Grouilles toi darriver il est déjà plus de 4h !
Je réfléchis. Jy va-t-y, jy va-t-y pas ? Comme je suis à poil sur mon lit, il faut que je mhabille. Je choisis de porter une jupe jean mi-cuisses, un tee-shirt nombril à lair, passe une petite culotte, mets un blouson jean court lui aussi. Cest peut être risqué dêtre habillée de la sorte pour aller dans une cité HLM ! Oh, et puis quest ce que je risque, on est en plein jour. Je prends mon mini sac à dos, le mets sur le devant, cest plus prudent, me voilà partie. Je sais très bien quarrivée là bas il va me sauter dessus, après tout jy vais pour ça. Jattends le bus pendant 10 bonnes mn, déboule à 50 m dune barre HLM, il est déjà 5h quand je descends du bus. Jentre dans limmeuble, ça sent pas la propreté et dans lascenseur ça sent vraiment la pisse de chien. Quest que je fous dans cet endroit ? Mais ce qui mattire, cest sa queue, pas celle du chien qui pisse dans lascenseur, lautre, celle qui remue dans mon bas ventre quand il me la enfilée ! Enfin, on verra bien, si ça ne me plait pas, je me tire. Jarrive, frappe à sa porte. Il vient mouvrir :
- Jcroyais qutallais pas vnir, ten as mis du temps !
- Jai hésité, jsuis pas à laise dans les cités HLM !
- On a jusquà 5h1/2, après faut qutu tbarres vite fait!
- Jvais pas mattarder, tas moins dune 1/2h pour me sauter ça doit suffire.
Je jète un il autour de moi, il me fait faire le tour du propriétaire. Un séjour avec cuisine en bout, table, 4 chaises, canapé, télé. Une salle deau avec WC, une chambre avec un lit 2 places, une grande armoire, le tout propre mais sans plus.
- Tes pas mal logé, tu vis seul ici, cest toi qui fait le ménage ?
- Fous-toi à poil, faut pas perdre de temps.
Il na pas répondu à ma question, ça sent la présence féminine. Jenlève mon blouson, le mets sur le dos de la chaise, pose mon sac sur la table, il a lair impatient de me sauter, tourne autour de moi, personnellement je me demande pourquoi je suis venue, je me sens très mal à laise. Je lui dis :
- Je crois que cest foutu pour aujourdhui, il est déjà 5 h 10 !
- Tu vas pas repartir sans avoir goûté à ma queue ?
- On a pas le temps, reste 20 mn, jsuis venue pour rien !
- Juste un coup vite fait !
Il est derrière moi, met ses mains sur mes épaules, les masse, les descend sur mes seins, les pelote, je ne réagis pas. Il agasse mes tétons au travers du tissu, ma poitrine durcit, je commence à mouiller. Il fait tomber ma jupe au sol, prend le bas de mon tee-shirt, lenlève, il ne me reste que ma petite culotte. Il me pousse doucement vers la chambre, je me retrouve assise sur le lit. Il se déshabille, reste debout, me présente sa queue, je la prends en bouche, elle est raide, je labsorbe en entier, caresse les couilles. Il mallonge sur le lit, relève mes jambes, att lélastique de ma culotte, la retire, lexpédie dans la chambre de lautre côté du lit, me voilà à poil. Il se met à genoux, replie mes jambes, mécarte les cuisses, jai sa tête dans lcul, il me bouffe la chatte, décalotte mon clito, agasse le petit bouton rose, fourre ses doigts dans mon con, je ne tiens plus, mouille terrible.
- Ca y est, je peux y aller ?
- Mets une capote !
- Jen ai pas !
- Prends-en une dans mon sac !
Il revient dans la chambre équipé. Il mécarte les cuisses en grand, se met entre, mouvre, me pénètre.
- Merde, jvais voir qui cest !
Il me repousse, je me débranche, il se lève, enfile son slip, ça se voit quil bande, va ouvrir.
- Salut, quest cque tu veux ?
- Jte dérange, jvois quten as ferré une !
- Oui, jviens juste de la commencer !
- Jmla f rais bien !
- On peut sla faire à deux, elle a un bon tirage !
La porte est entrouverte, ils sont dans lentrée, je les entends discuter. Pas possible, il est en train de marchander mon cul. Dans quelle galère je me suis fourrée ? Je me lève, ouvre larmoire. Elle est remplie de vêtements de femme, je men doutais, il ne vit pas seul. Je trouve une robe de chambre, la mets, reviens dans le séjour dans lintention de me rhabiller et foutre le camp hors de ce guêpier. Ils sont toujours dans lentrée, je me baisse pour ramasser ma jupe. À ce moment Fred maperçoit, se précipite sur moi, matt à bras le corps, dit :
- Hep là, quest cque tu fabriques ?
- Reste avec ton copain, moi jme barre !
- On va te passer dessus à tour de rôle !
- Pas question ! Jsuis pas un boulevard à bites !
- Jlui ai promis ! Y va tsauter !
Il me pousse, me ramène dans la chambre, je maccroche au montant de la porte, tente de résister, mais il est costaud le bougre. Lautre à suivi, fait tomber la robe de chambre sur le sol, je suis nue. Le copain me regarde :
- Dis donc, elle a un sacré beau minou !
- Oui, tu vas voir, elle est vachement bonne !
- Hé, jsuis pas une bête de foire !
Ils me tiennent, je tente de leur échapper, me débats, mais le copain me prend par derrière sous les bras, ses mains saccrochent à mes seins.
- Tas pas fini de gesticuler ?
- Foutez moi la paix, jai plus envie de baiser !
Jabandonne la lutte, jai chaud, je mouille, me laisse faire. Après tout, je suis venue là pour me faire sauter, alors pourquoi ne pas en profiter ? Il me remonte les jambes, me maintient les cuisses ouvertes, enfile deux doigts dans mon trou, sort sa bite par lentrejambe du slip.
- Taime la bite, tu vas en avoir deux pour le prix dune !
Je ne mouille plus, je suis un peu crispée. Il sallonge sur moi, dun coup de rein memmanche direct au fond :
- Aïeyaïe, tu mfais mal !
- Pas grave, tu vas aimer !
Il commence à me pilonner, me fait couiner à chaque coup de piston, je mouille malgré moi. Le copain se fout à poil, monte sur le lit et me donne sa pine à sucer. Elle est plus grosse et surtout plus longue que celle qui me ramone ( en érection je lestime à 4 cm de diamètre et au moins 16 de long ). Il métouffe par moment, je ne peux pas labsorber en entier, je le repousse pour le recracher. Il dit à Fred :
- À mon tour de la baiser !
- Mets une capote !
- Jen ai pas !
- Y en a dans mon sac !
Il sort de la pièce, Fred continu à sactiver en moi, y va à grands coups de butoir accompagnés de han han. Je cambre les reins, laccompagne, halète, pousse des petits cris, jai de plus en plus chaud tellement il me ramone lintérieur du bas ventre.
- Jles trouve pas ! Elles sont où ?
- Dans la petite poche intérieure !
Il revient avec le mandrin équipé, monte sur le lit, tient sa bite droite.
- Tu peux y aller, elle est ouverte !
Il plonge sur moi, senfourne direct, je nai pas eu le temps de souffler. Je sens le changement de bite, sa queue me dilate un peu plus le trou, il me lenfonce jusquà la garde, elle va bien plus loin que lautre dans mon bas ventre, il y a une réelle différence. Il. me pilonne hard, je gémis, sa queue me comble, me fait du bien. Le copain, qui pour le moment est sur moi, bascule sur le dos, mentraîne avec lui, je me retrouve au-dessus. Je remonte les jambes, me redresse à genoux sur le lit, commence à monter et descendre sur son pieu, lencastre bien en moi par des mouvements de rotation du bas ventre. Fred quitte son slip, vire la capote, passe derrière moi, et alors que je suis emmanchée à fond, maplatit sur la poitrine du copain, lui dit :
- Tiens la comme ça, je vais lenculer !
- Non, jtinterdis, par là cest du viol !
13---- On est jeudi, il est 4 h, je suis rentrée du boulot depuis une demi-heure, je me repose allongée sur mon lit. Les mises en rayon, la caisse, les transports, tout cela est épuisant. Fred mappelle.
- Je voudrais te voir, quest ce que tu fais ?
- Pour linstant je me repose.
- Si ten as envie viens chez moi, tas un crayon jte donne ladresse.
- Jsais pas, donne toujours.
Je note ladresse dans mon agenda, note le N° dappel. Il mexplique comment y aller. Il habite au 5 ème, porte droite en sortant de lascenseur.
- Ok, jte promets pas !
- Jai très envie de toi ! Grouilles toi darriver il est déjà plus de 4h !
Je réfléchis. Jy va-t-y, jy va-t-y pas ? Comme je suis à poil sur mon lit, il faut que je mhabille. Je choisis de porter une jupe jean mi-cuisses, un tee-shirt nombril à lair, passe une petite culotte, mets un blouson jean court lui aussi. Cest peut être risqué dêtre habillée de la sorte pour aller dans une cité HLM ! Oh, et puis quest ce que je risque, on est en plein jour. Je prends mon mini sac à dos, le mets sur le devant, cest plus prudent, me voilà partie. Je sais très bien quarrivée là bas il va me sauter dessus, après tout jy vais pour ça. Jattends le bus pendant 10 bonnes mn, déboule à 50 m dune barre HLM, il est déjà 5h quand je descends du bus. Jentre dans limmeuble, ça sent pas la propreté et dans lascenseur ça sent vraiment la pisse de chien. Quest que je fous dans cet endroit ? Mais ce qui mattire, cest sa queue, pas celle du chien qui pisse dans lascenseur, lautre, celle qui remue dans mon bas ventre quand il me la enfilée ! Enfin, on verra bien, si ça ne me plait pas, je me tire. Jarrive, frappe à sa porte. Il vient mouvrir :
- Jcroyais qutallais pas vnir, ten as mis du temps !
- Jai hésité, jsuis pas à laise dans les cités HLM !
- On a jusquà 5h1/2, après faut qutu tbarres vite fait!
- Jvais pas mattarder, tas moins dune 1/2h pour me sauter ça doit suffire.
Je jète un il autour de moi, il me fait faire le tour du propriétaire. Un séjour avec cuisine en bout, table, 4 chaises, canapé, télé. Une salle deau avec WC, une chambre avec un lit 2 places, une grande armoire, le tout propre mais sans plus.
- Tes pas mal logé, tu vis seul ici, cest toi qui fait le ménage ?
- Fous-toi à poil, faut pas perdre de temps.
Il na pas répondu à ma question, ça sent la présence féminine. Jenlève mon blouson, le mets sur le dos de la chaise, pose mon sac sur la table, il a lair impatient de me sauter, tourne autour de moi, personnellement je me demande pourquoi je suis venue, je me sens très mal à laise. Je lui dis :
- Je crois que cest foutu pour aujourdhui, il est déjà 5 h 10 !
- Tu vas pas repartir sans avoir goûté à ma queue ?
- On a pas le temps, reste 20 mn, jsuis venue pour rien !
- Juste un coup vite fait !
Il est derrière moi, met ses mains sur mes épaules, les masse, les descend sur mes seins, les pelote, je ne réagis pas. Il agasse mes tétons au travers du tissu, ma poitrine durcit, je commence à mouiller. Il fait tomber ma jupe au sol, prend le bas de mon tee-shirt, lenlève, il ne me reste que ma petite culotte. Il me pousse doucement vers la chambre, je me retrouve assise sur le lit. Il se déshabille, reste debout, me présente sa queue, je la prends en bouche, elle est raide, je labsorbe en entier, caresse les couilles. Il mallonge sur le lit, relève mes jambes, att lélastique de ma culotte, la retire, lexpédie dans la chambre de lautre côté du lit, me voilà à poil. Il se met à genoux, replie mes jambes, mécarte les cuisses, jai sa tête dans lcul, il me bouffe la chatte, décalotte mon clito, agasse le petit bouton rose, fourre ses doigts dans mon con, je ne tiens plus, mouille terrible.
- Ca y est, je peux y aller ?
- Mets une capote !
- Jen ai pas !
- Prends-en une dans mon sac !
Il revient dans la chambre équipé. Il mécarte les cuisses en grand, se met entre, mouvre, me pénètre. Il me ramone doux, je laccompagne, sa queue coulisse dans mon vagin, entre, ressort, cest bon, je le sens bien. On change de position, je passe dessus, chevauche sa bite, monte et descends, passe au grand galop, ondule du bas ventre, lencastre à fond. Je me retourne, je suis de dos, mactive sur son cigare, roule du croupion sur la bite Ca fait bien un quart dheure quon baise quand on sonne à la porte.
- Merde, jvais voir qui cest !
Il me repousse, je me débranche, il se lève, enfile son slip, ça se voit quil bande, va ouvrir.
- Salut, quest cque tu veux ?
- Jte dérange, jvois quten as ferré une !
- Oui, jviens juste de la commencer !
- Jmla f rais bien !
- On peut sla faire à deux, elle a un bon tirage !
La porte est entrouverte, ils sont dans lentrée, je les entends discuter. Pas possible, il est en train de marchander mon cul. Dans quelle galère je me suis fourrée ? Je me lève, ouvre larmoire. Elle est remplie de vêtements de femme, je men doutais, il ne vit pas seul. Je trouve une robe de chambre, la mets, reviens dans le séjour dans lintention de me rhabiller et foutre le camp hors de ce guêpier. Ils sont toujours dans lentrée, je me baisse pour ramasser ma jupe. À ce moment Fred maperçoit, se précipite sur moi, matt à bras le corps, dit :
- Hep là, quest cque tu fabriques ?
- Reste avec ton copain, moi jme barre !
- On va te passer dessus à tour de rôle !
- Pas question ! Jsuis pas un boulevard à bites !
- Jlui ai promis ! Y va tsauter !
Il me pousse, me ramène dans la chambre, je maccroche au montant de la porte, tente de résister, mais il est costaud le bougre. Lautre à suivi, fait tomber la robe de chambre sur le sol, je suis nue. Le copain me regarde :
- Dis donc, elle a un sacré beau minou !
- Oui, tu vas voir, elle est vachement bonne !
- Hé, jsuis pas une bête de foire !
Ils me tiennent, je tente de leur échapper, me débats, mais le copain me prend par derrière sous les bras, ses mains saccrochent à mes seins. Fred matt les pieds, ils me soulèvent à lhorizontale, me balancent sur le lit, je me retrouve allongée sur le dos. Je tente de me redresser, mais Fred me raplatit sur le lit, je me débats, il mempêche de me relever, aidé par le copain qui est monté sur le lit et sagenouille sur mes épaules. À deux ils me bloquent, lun me pétrit les seins, lautre mécarte les cuisses en grand, les maintient ouvertes, je ne peux plus bouger, je suis à leur merci, Fred me dit :
- Tas pas fini de gesticuler ?
- Foutez moi la paix, jai plus envie de baiser !
Jabandonne la lutte, jai chaud, je mouille, me laisse faire. Après tout, je suis venue là pour me faire sauter, alors pourquoi ne pas en profiter ? Il me remonte les jambes, me maintient les cuisses ouvertes, enfile deux doigts dans mon trou, sort sa bite par lentrejambe du slip.
- Taime la bite, tu vas en avoir deux pour le prix dune !
Je ne mouille plus, je suis un peu crispée. Il sallonge sur moi, dun coup de rein memmanche direct au fond :
- Aïeyaïe, tu mfais mal !
- Pas grave, tu vas aimer !
Il commence à me pilonner, me fait couiner à chaque coup de piston, je mouille malgré moi. Le copain se fout à poil, monte sur le lit et me donne sa pine à sucer. Elle est plus grosse et surtout plus longue que celle qui me ramone ( en érection je lestime à 4 cm de diamètre et au moins 16 de long ). Il métouffe par moment, je ne peux pas labsorber en entier, je le repousse pour le recracher. Il dit à Fred :
- À mon tour de la baiser !
- Mets une capote !
- Jen ai pas !
- Y en a dans mon sac !
Il sort de la pièce, Fred continu à sactiver en moi, y va à grands coups de butoir accompagnés de han han. Je cambre les reins, laccompagne, halète, pousse des petits cris, jai de plus en plus chaud tellement il me ramone lintérieur du bas ventre.
- Jles trouve pas ! Elles sont où ?
- Dans la petite poche intérieure !
Il revient avec le mandrin équipé, monte sur le lit, tient sa bite droite. Fred quitte mon vagin, roule sur le côté, se relève, lui laisse la place.
- Tu peux y aller, elle est ouverte !
Il plonge sur moi, senfourne direct, je nai pas eu le temps de souffler. Je sens le changement de bite, sa queue me dilate un peu plus le trou, il me lenfonce jusquà la garde, elle va bien plus loin que lautre dans mon bas ventre, il y a une réelle différence. Il. me pilonne hard, je gémis, sa queue me comble, me fait du bien. Le copain, qui pour le moment est sur moi, bascule sur le dos, mentraîne avec lui, je me retrouve au-dessus. Je remonte les jambes, me redresse à genoux sur le lit, commence à monter et descendre sur son pieu, lencastre bien en moi par des mouvements de rotation du bas ventre. Fred quitte son slip, vire la capote, passe derrière moi, et alors que je suis emmanchée à fond, maplatit sur la poitrine du copain, lui dit :
- Tiens la comme ça, je vais lenculer !
- Non, jtinterdis, par là cest du viol !
Mais il nen tient pas compte, mouille ma rosette avec sa salive, fait tourner son doigt dessus, me lenfonce dans le trou du cul, ça me fait péter. Il le fait coulisser, le ressort, je proteste :
- Aïeyayaïe, tu mfais mal !
Lautre sest arrêté au fond de moi, sa bite et ses bras menserrent, me verrouillent. Appuyée sur sa poitrine et à genoux sur le lit, cuisses écartées, bite au fond du vagin, trou du cul exposé, il mest impossible de bouger. Fred mécarte les fesses à 2 mains, je ressers mon sphincter, il place son gland sur ma rondelle, je cherche à me dégager, je ne veux pas quil me lintroduise dans le cul. Malgré ça il me maintient les fesses écartées, pousse,
- Aïeyaïe ouille !
ça rentre difficile, jai mal, le sphincter cède, le gland passe, le reste de la tige suit. Heureusement quelle est de plus petite taille que celle du copain. Ils se mettent à me limer en cadence, je les sens coulisser et se croiser dans mes conduits, celle qui est dans mon cul me fait mal à chaque fois quil la sort pour me lintroduire de nouveau. Je suis prise en sandwich, subis les assauts des deux bites, gémis à chaque va et viens. Cest pas possible, ils vont mavoir, je sens que je viens. Jai de plus en plus chaud, mon cur semballe, je défaille, perds le contrôle de la situation. Ca y est je décolle
- Wouahooooooooiiiiiii !
Je jouis juste au moment où ils déchargent. Le copain se vide dans la capote au fond du vagin, Fred envoie ses jets de foutre au fond de mes entrailles.
Cest la première fois quil marrive davoir un orgasme dans de telles conditions. Je mécroule, je nen peux plus. Fred sort de mon cul, me dit :
- Tas le cul dégueulasse, va te laver !
Je me dégage de lautre bite qui est toujours en moi, descend du lit, je suis crevée, comme saoule. Jenfile la robe de chambre qui traîne au pied du lit, ramasse mes vêtements dans le séjour, titube, menferme dans la salle de bain. Jaccroche la robe de chambre au porte-manteau derrière la porte, il y en a déjà une. Je pisse, du foutre sort de mon trou du cul. Je prends une douche, me nettoie le cul avec un gant de toilette, évite de mouiller mes cheveux. Je me regarde dans la glace, jai des cernes noirs sous les yeux, les traits fatigués, jai la tête de quelquun qui vient de senvoyer en lair, ce qui est mon cas ! Je reviens tout habillée dans le séjour. Ils ont dû se laver la bite à lévier, se sont rhabillés, assis devant la table, sirotent une bière tranquillement, discutent, personne ne fait attention à lheure. Si je comprends bien, ils sont en train de parler cul, et du mien en particulier ! Je ne sais pas ce quils ont fait des capotes, sûrement à la poubelle, pas dans les WC, javais verrouillé la porte. Je demande à Fred :
- Tu mfiles une bière, jcrève de soif ?
Je prends une chaise, massied à côté deux. Il sort une bière, me la donne, je dis à Fred :
- Tes un sacré salaud, tu mas enculé sans capote !.
- Faut pas te plaindre, tas joui, tas même gueulé vachement fort !
- Tu mas . Cest trop dur dêtre prise en sandwich !
- Pourtant tas aimé !
- Jveux pas quon mencule, cest dégueulasse !
À cause de larrivée du copain, la baise a duré plus longtemps que prévu, personne ne sest rendu compte de lheure. Je regarde ma montre, il va être 6h1/4. Je finis ma bière, me lève, enfile mon blouson, mets mon sac en bandoulière, me dirige vers la porte, louvre, sorts sans dire au revoir ni me retourner. Je suis furieuse de mêtre fait enculer et surtout davoir été prise en sandwich. Je claque la porte derrière moi et je me trouve nez à nez avec une jeune femme qui vient de sortir de lascenseur. On a failli se rentrer dedans ! Je mécarte pour la laisser passer, elle me dévisage avec insistance, me toise de la tête aux pieds, met sa clé dans la serrure, ouvre la porte, entre. Elle nest pas mal foutue, bien habillée, assez joli minois, de ma taille, même gabarit. En rejoignant larrêt du bus, je repense à ce quils viennent de me faire, me monter à deux en même temps. En sortant de la salle de bain jai jeté un il dans la chambre, la porte est restée ouverte. Pas possible de ne pas se rendre compte quune certaine activité a régné sur le lit, la couette en témoigne. Si elle va dans la salle de bain, elle va sapercevoir que la douche vient dêtre utilisée, les serviettes et le gant de toilette sont mouillés. De plus il y a une autre robe de chambre accrochée au porte-manteau à côté de la sienne. Pleins dindices qui peuvent lui mettre la puce à loreille. Si elle a remarqué les cernes que jai sous les yeux lorsquelle ma dévisagé, il va avoir quelques explications à fournir. Elle va peut être ne pas apprécier quil baise une autre femme dans son lit ! Je serais à sa place, ça ne ma plairait pas, bon nombre dindices me laissent à penser que cest lui qui vit chez elle !
Arrivée à larrêt du bus, jai une drôle de sensation, je sens quil me manque quelque chose. Ma
..culotte ! Je lai oublié dans la chambre.
Il le fait coulisser, le ressort, je proteste :
- Aïeyayaïe, tu mfais mal !
Lautre sest arrêté au fond de moi, sa bite et ses bras menserrent, me verrouillent. Appuyée sur sa poitrine et à genoux sur le lit, cuisses écartées, bite au fond du vagin, trou du cul exposé, il mest impossible de bouger. Fred mécarte les fesses à 2 mains, je ressers mon sphincter, il place son gland sur ma rondelle, je cherche à me dégager, je ne veux pas quil me lintroduise dans le cul. Malgré ça il me maintient les fesses écartées, pousse,
- Aïeyaïe ouille !
ça rentre difficile, jai mal, le sphincter cède, le gland passe, le reste de la tige suit. Heureusement quelle est de plus petite taille que celle du copain. Ils se mettent à me limer en cadence, je les sens coulisser et se croiser dans mes conduits, celle qui est dans mon cul me fait mal à chaque fois quil la sort pour me lintroduire de nouveau. Je suis prise en sandwich, subis les assauts des deux bites, gémis à chaque va et viens. Cest pas possible, ils vont mavoir, je sens que je viens. Jai de plus en plus chaud, mon cur semballe, je défaille, perds le contrôle de la situation. Ca y est je décolle
- Wouahooooooooiiiiiii !
13---- On est jeudi, il est 4 h, je suis rentrée du boulot depuis une demi-heure, je me repose allongée sur mon lit. Les mises en rayon, la caisse, les transports, tout cela est épuisant. Fred mappelle.
- Je voudrais te voir, quest ce que tu fais ?
- Pour linstant je me repose.
- Si ten as envie viens chez moi, tas un crayon jte donne ladresse.
- Jsais pas, donne toujours.
Je note ladresse dans mon agenda, note le N° dappel. Il mexplique comment y aller. Il habite au 5 ème, porte droite en sortant de lascenseur.
- Ok, jte promets pas !
- Jai très envie de toi ! Grouilles toi darriver il est déjà plus de 4h !
Je réfléchis. Jy va-t-y, jy va-t-y pas ? Comme je suis à poil sur mon lit, il faut que je mhabille. Je choisis de porter une jupe jean mi-cuisses, un tee-shirt nombril à lair, passe une petite culotte, mets un blouson jean court lui aussi. Cest peut être risqué dêtre habillée de la sorte pour aller dans une cité HLM ! Oh, et puis quest ce que je risque, on est en plein jour. Je prends mon mini sac à dos, le mets sur le devant, cest plus prudent, me voilà partie. Je sais très bien quarrivée là bas il va me sauter dessus, après tout jy vais pour ça. Jattends le bus pendant 10 bonnes mn, déboule à 50 m dune barre HLM, il est déjà 5h quand je descends du bus. Jentre dans limmeuble, ça sent pas la propreté et dans lascenseur ça sent vraiment la pisse de chien. Quest que je fous dans cet endroit ? Mais ce qui mattire, cest sa queue, pas celle du chien qui pisse dans lascenseur, lautre, celle qui remue dans mon bas ventre quand il me la enfilée ! Enfin, on verra bien, si ça ne me plait pas, je me tire. Jarrive, frappe à sa porte. Il vient mouvrir :
- Jcroyais qutallais pas vnir, ten as mis du temps !
- Jai hésité, jsuis pas à laise dans les cités HLM !
- On a jusquà 5h1/2, après faut qutu tbarres vite fait!
- Jvais pas mattarder, tas moins dune 1/2h pour me sauter ça doit suffire.
Je jète un il autour de moi, il me fait faire le tour du propriétaire. Un séjour avec cuisine en bout, table, 4 chaises, canapé, télé. Une salle deau avec WC, une chambre avec un lit 2 places, une grande armoire, le tout propre mais sans plus.
- Tes pas mal logé, tu vis seul ici, cest toi qui fait le ménage ?
- Fous-toi à poil, faut pas perdre de temps.
Il na pas répondu à ma question, ça sent la présence féminine. Jenlève mon blouson, le mets sur le dos de la chaise, pose mon sac sur la table, il a lair impatient de me sauter, tourne autour de moi, personnellement je me demande pourquoi je suis venue, je me sens très mal à laise. Je lui dis :
- Je crois que cest foutu pour aujourdhui, il est déjà 5 h 10 !
- Tu vas pas repartir sans avoir goûté à ma queue ?
- On a pas le temps, reste 20 mn, jsuis venue pour rien !
- Juste un coup vite fait !
Il est derrière moi, met ses mains sur mes épaules, les masse, les descend sur mes seins, les pelote, je ne réagis pas. Il agasse mes tétons au travers du tissu, ma poitrine durcit, je commence à mouiller. Il fait tomber ma jupe au sol, prend le bas de mon tee-shirt, lenlève, il ne me reste que ma petite culotte. Il me pousse doucement vers la chambre, je me retrouve assise sur le lit. Il se déshabille, reste debout, me présente sa queue, je la prends en bouche, elle est raide, je labsorbe en entier, caresse les couilles. Il mallonge sur le lit, relève mes jambes, att lélastique de ma culotte, la retire, lexpédie dans la chambre de lautre côté du lit, me voilà à poil. Il se met à genoux, replie mes jambes, mécarte les cuisses, jai sa tête dans lcul, il me bouffe la chatte, décalotte mon clito, agasse le petit bouton rose, fourre ses doigts dans mon con, je ne tiens plus, mouille terrible.
- Ca y est, je peux y aller ?
- Mets une capote !
- Jen ai pas !
- Prends-en une dans mon sac !
Il revient dans la chambre équipé. Il mécarte les cuisses en grand, se met entre, mouvre, me pénètre. Il me ramone doux, je laccompagne, sa queue coulisse dans mon vagin, entre, ressort, cest bon, je le sens bien. On change de position, je passe dessus, chevauche sa bite, monte et descends, passe au grand galop, ondule du bas ventre, lencastre à fond. Je me retourne, je suis de dos, mactive sur son cigare, roule du croupion sur la bite Ca fait bien un quart dheure quon baise quand on sonne à la porte.
- Merde, jvais voir qui cest !
Il me repousse, je me débranche, il se lève, enfile son slip, ça se voit quil bande, va ouvrir.
- Salut, quest cque tu veux ?
- Jte dérange, jvois quten as ferré une !
- Oui, jviens juste de la commencer !
- Jmla f rais bien !
- On peut sla faire à deux, elle a un bon tirage !
La porte est entrouverte, ils sont dans lentrée, je les entends discuter. Pas possible, il est en train de marchander mon cul. Dans quelle galère je me suis fourrée ? Je me lève, ouvre larmoire. Elle est remplie de vêtements de femme, je men doutais, il ne vit pas seul. Je trouve une robe de chambre, la mets, reviens dans le séjour dans lintention de me rhabiller et foutre le camp hors de ce guêpier. Ils sont toujours dans lentrée, je me baisse pour ramasser ma jupe. À ce moment Fred maperçoit, se précipite sur moi, matt à bras le corps, dit :
- Hep là, quest cque tu fabriques ?
- Reste avec ton copain, moi jme barre !
- On va te passer dessus à tour de rôle !
- Pas question ! Jsuis pas un boulevard à bites !
- Jlui ai promis ! Y va tsauter !
Il me pousse, me ramène dans la chambre, je maccroche au montant de la porte, tente de résister, mais il est costaud le bougre. Lautre à suivi, fait tomber la robe de chambre sur le sol, je suis nue. Le copain me regarde :
- Dis donc, elle a un sacré beau minou !
- Oui, tu vas voir, elle est vachement bonne !
- Hé, jsuis pas une bête de foire !
Ils me tiennent, je tente de leur échapper, me débats, mais le copain me prend par derrière sous les bras, ses mains saccrochent à mes seins. Fred matt les pieds, ils me soulèvent à lhorizontale, me balancent sur le lit, je me retrouve allongée sur le dos. Je tente de me redresser, mais Fred me raplatit sur le lit, je me débats, il mempêche de me relever, aidé par le copain qui est monté sur le lit et sagenouille sur mes épaules. À deux ils me bloquent, lun me pétrit les seins, lautre mécarte les cuisses en grand, les maintient ouvertes, je ne peux plus bouger, je suis à leur merci, Fred me dit :
- Tas pas fini de gesticuler ?
- Foutez moi la paix, jai plus envie de baiser !
Jabandonne la lutte, jai chaud, je mouille, me laisse faire. Après tout, je suis venue là pour me faire sauter, alors pourquoi ne pas en profiter ? Il me remonte les jambes, me maintient les cuisses ouvertes, enfile deux doigts dans mon trou, sort sa bite par lentrejambe du slip.
- Taime la bite, tu vas en avoir deux pour le prix dune !
Je ne mouille plus, je suis un peu crispée. Il sallonge sur moi, dun coup de rein memmanche direct au fond :
- Aïeyaïe, tu mfais mal !
- Pas grave, tu vas aimer !
Il commence à me pilonner, me fait couiner à chaque coup de piston, je mouille malgré moi. Le copain se fout à poil, monte sur le lit et me donne sa pine à sucer. Elle est plus grosse et surtout plus longue que celle qui me ramone ( en érection je lestime à 4 cm de diamètre et au moins 16 de long ). Il métouffe par moment, je ne peux pas labsorber en entier, je le repousse pour le recracher. Il dit à Fred :
- À mon tour de la baiser !
- Mets une capote !
- Jen ai pas !
- Y en a dans mon sac !
Il sort de la pièce, Fred continu à sactiver en moi, y va à grands coups de butoir accompagnés de han han. Je cambre les reins, laccompagne, halète, pousse des petits cris, jai de plus en plus chaud tellement il me ramone lintérieur du bas ventre.
- Jles trouve pas ! Elles sont où ?
- Dans la petite poche intérieure !
Il revient avec le mandrin équipé, monte sur le lit, tient sa bite droite. Fred quitte mon vagin, roule sur le côté, se relève, lui laisse la place.
- Tu peux y aller, elle est ouverte !
Il plonge sur moi, senfourne direct, je nai pas eu le temps de souffler. Je sens le changement de bite, sa queue me dilate un peu plus le trou, il me lenfonce jusquà la garde, elle va bien plus loin que lautre dans mon bas ventre, il y a une réelle différence. Il. me pilonne hard, je gémis, sa queue me comble, me fait du bien. Le copain, qui pour le moment est sur moi, bascule sur le dos, mentraîne avec lui, je me retrouve au-dessus. Je remonte les jambes, me redresse à genoux sur le lit, commence à monter et descendre sur son pieu, lencastre bien en moi par des mouvements de rotation du bas ventre. Fred quitte son slip, vire la capote, passe derrière moi, et alors que je suis emmanchée à fond, maplatit sur la poitrine du copain, lui dit :
- Tiens la comme ça, je vais lenculer !
- Non, jtinterdis, par là cest du viol !
Mais il nen tient pas compte, mouille ma rosette avec sa salive, fait tourner son doigt dessus, me lenfonce dans le trou du cul, ça me fait péter. Il le fait coulisser, le ressort, je proteste :
- Aïeyayaïe, tu mfais mal !
Lautre sest arrêté au fond de moi, sa bite et ses bras menserrent, me verrouillent. Appuyée sur sa poitrine et à genoux sur le lit, cuisses écartées, bite au fond du vagin, trou du cul exposé, il mest impossible de bouger. Fred mécarte les fesses à 2 mains, je ressers mon sphincter, il place son gland sur ma rondelle, je cherche à me dégager, je ne veux pas quil me lintroduise dans le cul. Malgré ça il me maintient les fesses écartées, pousse,
- Aïeyaïe ouille !
ça rentre difficile, jai mal, le sphincter cède, le gland passe, le reste de la tige suit. Heureusement quelle est de plus petite taille que celle du copain. Ils se mettent à me limer en cadence, je les sens coulisser et se croiser dans mes conduits, celle qui est dans mon cul me fait mal à chaque fois quil la sort pour me lintroduire de nouveau. Je suis prise en sandwich, subis les assauts des deux bites, gémis à chaque va et viens. Cest pas possible, ils vont mavoir, je sens que je viens. Jai de plus en plus chaud, mon cur semballe, je défaille, perds le contrôle de la situation. Ca y est je décolle
- Wouahooooooooiiiiiii !
Je jouis juste au moment où ils déchargent. Le copain se vide dans la capote au fond du vagin, Fred envoie ses jets de foutre au fond de mes entrailles.
Cest la première fois quil marrive davoir un orgasme dans de telles conditions. Je mécroule, je nen peux plus. Fred sort de mon cul, me dit :
- Tas le cul dégueulasse, va te laver !
Je me dégage de lautre bite qui est toujours en moi, descend du lit, je suis crevée, comme saoule. Jenfile la robe de chambre qui traîne au pied du lit, ramasse mes vêtements dans le séjour, titube, menferme dans la salle de bain. Jaccroche la robe de chambre au porte-manteau derrière la porte, il y en a déjà une. Je pisse, du foutre sort de mon trou du cul. Je prends une douche, me nettoie le cul avec un gant de toilette, évite de mouiller mes cheveux. Je me regarde dans la glace, jai des cernes noirs sous les yeux, les traits fatigués, jai la tête de quelquun qui vient de senvoyer en lair, ce qui est mon cas ! Je reviens tout habillée dans le séjour. Ils ont dû se laver la bite à lévier, se sont rhabillés, assis devant la table, sirotent une bière tranquillement, discutent, personne ne fait attention à lheure. Si je comprends bien, ils sont en train de parler cul, et du mien en particulier ! Je ne sais pas ce quils ont fait des capotes, sûrement à la poubelle, pas dans les WC, javais verrouillé la porte. Je demande à Fred :
- Tu mfiles une bière, jcrève de soif ?
Je prends une chaise, massied à côté deux. Il sort une bière, me la donne, je dis à Fred :
- Tes un sacré salaud, tu mas enculé sans capote !.
- Faut pas te plaindre, tas joui, tas même gueulé vachement fort !
- Tu mas . Cest trop dur dêtre prise en sandwich !
- Pourtant tas aimé !
- Jveux pas quon mencule, cest dégueulasse !
À cause de larrivée du copain, la baise a duré plus longtemps que prévu, personne ne sest rendu compte de lheure. Je regarde ma montre, il va être 6h1/4. Je finis ma bière, me lève, enfile mon blouson, mets mon sac en bandoulière, me dirige vers la porte, louvre, sorts sans dire au revoir ni me retourner. Je suis furieuse de mêtre fait enculer et surtout davoir été prise en sandwich. Je claque la porte derrière moi et je me trouve nez à nez avec une jeune femme qui vient de sortir de lascenseur. On a failli se rentrer dedans ! Je mécarte pour la laisser passer, elle me dévisage avec insistance, me toise de la tête aux pieds, met sa clé dans la serrure, ouvre la porte, entre. Elle nest pas mal foutue, bien habillée, assez joli minois, de ma taille, même gabarit. En rejoignant larrêt du bus, je repense à ce quils viennent de me faire, me monter à deux en même temps. En sortant de la salle de bain jai jeté un il dans la chambre, la porte est restée ouverte. Pas possible de ne pas se rendre compte quune certaine activité a régné sur le lit, la couette en témoigne. Si elle va dans la salle de bain, elle va sapercevoir que la douche vient dêtre utilisée, les serviettes et le gant de toilette sont mouillés. De plus il y a une autre robe de chambre accrochée au porte-manteau à côté de la sienne. Pleins dindices qui peuvent lui mettre la puce à loreille. Si elle a remarqué les cernes que jai sous les yeux lorsquelle ma dévisagé, il va avoir quelques explications à fournir. Elle va peut être ne pas apprécier quil baise une autre femme dans son lit ! Je serais à sa place, ça ne ma plairait pas, bon nombre dindices me laissent à penser que cest lui qui vit chez elle !
Arrivée à larrêt du bus, jai une drôle de sensation, je sens quil me manque quelque chose. Ma
..culotte ! Je lai oublié dans la chambre.
Cest la première fois quil marrive davoir un orgasme dans de telles conditions. Je mécroule, je nen peux plus. Fred sort de mon cul, me dit :
- Tas le cul dégueulasse, va te laver !
Je me dégage de lautre bite qui est toujours en moi, descend du lit, je suis crevée, comme saoule. Jenfile la robe de chambre qui traîne au pied du lit, ramasse mes vêtements dans le séjour, titube, menferme dans la salle de bain. Jaccroche la robe de chambre au porte-manteau derrière la porte, il y en a déjà une. Je pisse, du foutre sort de mon trou du cul. Je prends une douche, me nettoie le cul avec un gant de toilette, évite de mouiller mes cheveux. Je me regarde dans la glace, jai des cernes noirs sous les yeux, les traits fatigués, jai la tête de quelquun qui vient de senvoyer en lair, ce qui est mon cas ! Je reviens tout habillée dans le séjour. Ils ont dû se laver la bite à lévier, se sont rhabillés, assis devant la table, sirotent une bière tranquillement, discutent, personne ne fait attention à lheure. Si je comprends bien, ils sont en train de parler cul, et du mien en particulier ! Je ne sais pas ce quils ont fait des capotes, sûrement à la poubelle, pas dans les WC, javais verrouillé la porte. Je demande à Fred :
- Tu mfiles une bière, jcrève de soif ?
Je prends une chaise, massied à côté deux. Il sort une bière, me la donne, je dis à Fred :
- Tes un sacré salaud, tu mas enculé sans capote !.
- Faut pas te plaindre, tas joui, tas même gueulé vachement fort !
- Tu mas . Cest trop dur dêtre prise en sandwich !
- Pourtant tas aimé !
- Jveux pas quon mencule, cest dégueulasse !
À cause de larrivée du copain, la baise a duré plus longtemps que prévu, personne ne sest rendu compte de lheure. Je regarde ma montre, il va être 6h1/4. Je finis ma bière, me lève, enfile mon blouson, mets mon sac en bandoulière, me dirige vers la porte, louvre, sorts sans dire au revoir ni me retourner. Je suis furieuse de mêtre fait enculer et surtout davoir été prise en sandwich. Je claque la porte derrière moi et je me trouve nez à nez avec une jeune femme qui vient de sortir de lascenseur. On a failli se rentrer dedans ! Je mécarte pour la laisser passer, elle me dévisage avec insistance, me toise de la tête aux pieds, met sa clé dans la serrure, ouvre la porte, entre. Elle nest pas mal foutue, bien habillée, assez joli minois, de ma taille, même gabarit. En rejoignant larrêt du bus, je repense à ce quils viennent de me faire, me monter à deux en même temps. En sortant de la salle de bain jai jeté un il dans la chambre, la porte est restée ouverte. Pas possible de ne pas se rendre compte quune certaine activité a régné sur le lit, la couette en témoigne. Si elle va dans la salle de bain, elle va sapercevoir que la douche vient dêtre utilisée, les serviettes et le gant de toilette sont mouillés. De plus il y a une autre robe de chambre accrochée au porte-manteau à côté de la sienne. Pleins dindices qui peuvent lui mettre la puce à loreille. Si elle a remarqué les cernes que jai sous les yeux lorsquelle ma dévisagé, il va avoir quelques explications à fournir. Elle va peut être ne pas apprécier quil baise une autre femme dans son lit ! Je serais à sa place, ça ne ma plairait pas, bon nombre dindices me laissent à penser que cest lui qui vit chez elle !
Arrivée à larrêt du bus, jai une drôle de sensation, je sens quil me manque quelque chose. Ma
..culotte ! Je lai oublié dans la chambre.
A suivre
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