La Gourgandine ( 13 )

13---- On est jeudi, il est 4 h, je suis rentrée du boulot depuis une demi-heure, je me repose allongée sur mon lit. Les mises en rayon, la caisse, les transports, tout cela est épuisant. Fred m’appelle.
- Je voudrais te voir, qu’est ce que tu fais ?
- Pour l’instant je me repose.
- Si t’en as envie viens chez moi, t’as un crayon j’te donne l’adresse.
- J’sais pas, donne toujours.
Je note l’adresse dans mon agenda, note le N° d’appel. Il m’explique comment y aller. Il habite au 5 ème, porte droite en sortant de l’ascenseur.
- Ok, j’te promets pas !
- J’ai très envie de toi ! Grouilles toi d’arriver il est déjà plus de 4h !
Je réfléchis. J’y va-t-y, j’y va-t-y pas ? Comme je suis à poil sur mon lit, il faut que je m’habille. Je choisis de porter une jupe jean mi-cuisses, un tee-shirt nombril à l’air, passe une petite culotte, mets un blouson jean court lui aussi. C’est peut être risqué d’être habillée de la sorte pour aller dans une cité HLM ! Oh, et puis qu’est ce que je risque, on est en plein jour. Je prends mon mini sac à dos, le mets sur le devant, c’est plus prudent, me voilà partie. Je sais très bien qu’arrivée là bas il va me sauter dessus, après tout j’y vais pour ça. J’attends le bus pendant 10 bonnes mn, déboule à 50 m d’une barre HLM, il est déjà 5h quand je descends du bus. J’entre dans l’immeuble, ça sent pas la propreté et dans l’ascenseur ça sent vraiment la pisse de chien. Qu’est que je fous dans cet endroit ? Mais ce qui m’attire, c’est sa queue, pas celle du chien qui pisse dans l’ascenseur, l’autre, celle qui remue dans mon bas ventre quand il me l’a enfilée ! Enfin, on verra bien, si ça ne me plait pas, je me tire. J’arrive, frappe à sa porte. Il vient m’ouvrir :
- J’croyais qu’t’allais pas v’nir, t’en as mis du temps !
- J’ai hésité, j’suis pas à l’aise dans les cités HLM !
- On a jusqu’à 5h1/2, après faut qu’tu t’barres vite fait!
- J’vais pas m’attarder, t’as moins d’une 1/2h pour me sauter ça doit suffire.


Je jète un œil autour de moi, il me fait faire le tour du propriétaire. Un séjour avec cuisine en bout, table, 4 chaises, canapé, télé. Une salle d’eau avec WC, une chambre avec un lit 2 places, une grande armoire, le tout propre mais sans plus.
- T’es pas mal logé, tu vis seul ici, c’est toi qui fait le ménage ?
- Fous-toi à poil, faut pas perdre de temps.
Il n’a pas répondu à ma question, ça sent la présence féminine. J’enlève mon blouson, le mets sur le dos de la chaise, pose mon sac sur la table, il a l’air impatient de me sauter, tourne autour de moi, personnellement je me demande pourquoi je suis venue, je me sens très mal à l’aise. Je lui dis :
- Je crois que c’est foutu pour aujourd’hui, il est déjà 5 h 10 !
- Tu vas pas repartir sans avoir goûté à ma queue ?
- On a pas le temps, reste 20 mn, j’suis venue pour rien !
- Juste un coup vite fait !
Il est derrière moi, met ses mains sur mes épaules, les masse, les descend sur mes seins, les pelote, je ne réagis pas. Il agasse mes tétons au travers du tissu, ma poitrine durcit, je commence à mouiller. Il fait tomber ma jupe au sol, prend le bas de mon tee-shirt, l’enlève, il ne me reste que ma petite culotte. Il me pousse doucement vers la chambre, je me retrouve assise sur le lit. Il se déshabille, reste debout, me présente sa queue, je la prends en bouche, elle est raide, je l’absorbe en entier, caresse les couilles. Il m’allonge sur le lit, relève mes jambes, att l’élastique de ma culotte, la retire, l’expédie dans la chambre de l’autre côté du lit, me voilà à poil. Il se met à genoux, replie mes jambes, m’écarte les cuisses, j’ai sa tête dans l’cul, il me bouffe la chatte, décalotte mon clito, agasse le petit bouton rose, fourre ses doigts dans mon con, je ne tiens plus, mouille terrible.
- Ca y est, je peux y aller ?
- Mets une capote !
- J’en ai pas !
- Prends-en une dans mon sac !
Il revient dans la chambre équipé. Il m’écarte les cuisses en grand, se met entre, m’ouvre, me pénètre.
Il me ramone doux, je l’accompagne, sa queue coulisse dans mon vagin, entre, ressort, c’est bon, je le sens bien. On change de position, je passe dessus, chevauche sa bite, monte et descends, passe au grand galop, ondule du bas ventre, l’encastre à fond. Je me retourne, je suis de dos, m’active sur son cigare, roule du croupion sur la bite Ca fait bien un quart d’heure qu’on baise quand on sonne à la porte.
- Merde, j’vais voir qui c’est !
Il me repousse, je me débranche, il se lève, enfile son slip, ça se voit qu’il bande, va ouvrir.
- Salut, qu’est c’que tu veux ?
- J’te dérange, j’vois qu’t’en as ferré une !
- Oui, j’viens juste de la commencer !
- J’m’la f ’rais bien !
- On peut s’la faire à deux, elle a un bon tirage !
La porte est entrouverte, ils sont dans l’entrée, je les entends discuter. Pas possible, il est en train de marchander mon cul. Dans quelle galère je me suis fourrée ? Je me lève, ouvre l’armoire. Elle est remplie de vêtements de femme, je m’en doutais, il ne vit pas seul. Je trouve une robe de chambre, la mets, reviens dans le séjour dans l’intention de me rhabiller et foutre le camp hors de ce guêpier. Ils sont toujours dans l’entrée, je me baisse pour ramasser ma jupe. À ce moment Fred m’aperçoit, se précipite sur moi, m’att à bras le corps, dit :
- Hep là, qu’est c’que tu fabriques ?
- Reste avec ton copain, moi j’me barre !
- On va te passer dessus à tour de rôle !
- Pas question ! J’suis pas un boulevard à bites !
- J’lui ai promis ! Y va t’sauter !
Il me pousse, me ramène dans la chambre, je m’accroche au montant de la porte, tente de résister, mais il est costaud le bougre. L’autre à suivi, fait tomber la robe de chambre sur le sol, je suis nue. Le copain me regarde :
- Dis donc, elle a un sacré beau minou !
- Oui, tu vas voir, elle est vachement bonne !
- Hé, j’suis pas une bête de foire !
Ils me tiennent, je tente de leur échapper, me débats, mais le copain me prend par derrière sous les bras, ses mains s’accrochent à mes seins.
Fred m’att les pieds, ils me soulèvent à l’horizontale, me balancent sur le lit, je me retrouve allongée sur le dos. Je tente de me redresser, mais Fred me raplatit sur le lit, je me débats, il m’empêche de me relever, aidé par le copain qui est monté sur le lit et s’agenouille sur mes épaules. À deux ils me bloquent, l’un me pétrit les seins, l’autre m’écarte les cuisses en grand, les maintient ouvertes, je ne peux plus bouger, je suis à leur merci, Fred me dit :
- T’as pas fini de gesticuler ?
- Foutez moi la paix, j’ai plus envie de baiser !
J’abandonne la lutte, j’ai chaud, je mouille, me laisse faire. Après tout, je suis venue là pour me faire sauter, alors pourquoi ne pas en profiter ? Il me remonte les jambes, me maintient les cuisses ouvertes, enfile deux doigts dans mon trou, sort sa bite par l’entrejambe du slip.
- T’aime la bite, tu vas en avoir deux pour le prix d’une !
Je ne mouille plus, je suis un peu crispée. Il s’allonge sur moi, d’un coup de rein m’emmanche direct au fond :
- Aïeyaïe, tu m’fais mal !
- Pas grave, tu vas aimer !
Il commence à me pilonner, me fait couiner à chaque coup de piston, je mouille malgré moi. Le copain se fout à poil, monte sur le lit et me donne sa pine à sucer. Elle est plus grosse et surtout plus longue que celle qui me ramone ( en érection je l’estime à 4 cm de diamètre et au moins 16 de long ). Il m’étouffe par moment, je ne peux pas l’absorber en entier, je le repousse pour le recracher. Il dit à Fred :
- À mon tour de la baiser !
- Mets une capote !
- J’en ai pas !
- Y en a dans mon sac !
Il sort de la pièce, Fred continu à s’activer en moi, y va à grands coups de butoir accompagnés de han han. Je cambre les reins, l’accompagne, halète, pousse des petits cris, j’ai de plus en plus chaud tellement il me ramone l’intérieur du bas ventre.
- J’les trouve pas ! Elles sont où ?
- Dans la petite poche intérieure !
Il revient avec le mandrin équipé, monte sur le lit, tient sa bite droite.
Fred quitte mon vagin, roule sur le côté, se relève, lui laisse la place.
- Tu peux y aller, elle est ouverte !
Il plonge sur moi, s’enfourne direct, je n’ai pas eu le temps de souffler. Je sens le changement de bite, sa queue me dilate un peu plus le trou, il me l’enfonce jusqu’à la garde, elle va bien plus loin que l’autre dans mon bas ventre, il y a une réelle différence. Il. me pilonne hard, je gémis, sa queue me comble, me fait du bien. Le copain, qui pour le moment est sur moi, bascule sur le dos, m’entraîne avec lui, je me retrouve au-dessus. Je remonte les jambes, me redresse à genoux sur le lit, commence à monter et descendre sur son pieu, l’encastre bien en moi par des mouvements de rotation du bas ventre. Fred quitte son slip, vire la capote, passe derrière moi, et alors que je suis emmanchée à fond, m’aplatit sur la poitrine du copain, lui dit :
- Tiens la comme ça, je vais l’enculer !
- Non, j’t’interdis, par là c’est du viol !
13---- On est jeudi, il est 4 h, je suis rentrée du boulot depuis une demi-heure, je me repose allongée sur mon lit. Les mises en rayon, la caisse, les transports, tout cela est épuisant. Fred m’appelle.
- Je voudrais te voir, qu’est ce que tu fais ?
- Pour l’instant je me repose.
- Si t’en as envie viens chez moi, t’as un crayon j’te donne l’adresse.
- J’sais pas, donne toujours.
Je note l’adresse dans mon agenda, note le N° d’appel. Il m’explique comment y aller. Il habite au 5 ème, porte droite en sortant de l’ascenseur.
- Ok, j’te promets pas !
- J’ai très envie de toi ! Grouilles toi d’arriver il est déjà plus de 4h !
Je réfléchis. J’y va-t-y, j’y va-t-y pas ? Comme je suis à poil sur mon lit, il faut que je m’habille. Je choisis de porter une jupe jean mi-cuisses, un tee-shirt nombril à l’air, passe une petite culotte, mets un blouson jean court lui aussi. C’est peut être risqué d’être habillée de la sorte pour aller dans une cité HLM ! Oh, et puis qu’est ce que je risque, on est en plein jour. Je prends mon mini sac à dos, le mets sur le devant, c’est plus prudent, me voilà partie. Je sais très bien qu’arrivée là bas il va me sauter dessus, après tout j’y vais pour ça. J’attends le bus pendant 10 bonnes mn, déboule à 50 m d’une barre HLM, il est déjà 5h quand je descends du bus. J’entre dans l’immeuble, ça sent pas la propreté et dans l’ascenseur ça sent vraiment la pisse de chien. Qu’est que je fous dans cet endroit ? Mais ce qui m’attire, c’est sa queue, pas celle du chien qui pisse dans l’ascenseur, l’autre, celle qui remue dans mon bas ventre quand il me l’a enfilée ! Enfin, on verra bien, si ça ne me plait pas, je me tire. J’arrive, frappe à sa porte. Il vient m’ouvrir :
- J’croyais qu’t’allais pas v’nir, t’en as mis du temps !
- J’ai hésité, j’suis pas à l’aise dans les cités HLM !
- On a jusqu’à 5h1/2, après faut qu’tu t’barres vite fait!
- J’vais pas m’attarder, t’as moins d’une 1/2h pour me sauter ça doit suffire.
Je jète un œil autour de moi, il me fait faire le tour du propriétaire. Un séjour avec cuisine en bout, table, 4 chaises, canapé, télé. Une salle d’eau avec WC, une chambre avec un lit 2 places, une grande armoire, le tout propre mais sans plus.
- T’es pas mal logé, tu vis seul ici, c’est toi qui fait le ménage ?
- Fous-toi à poil, faut pas perdre de temps.
Il n’a pas répondu à ma question, ça sent la présence féminine. J’enlève mon blouson, le mets sur le dos de la chaise, pose mon sac sur la table, il a l’air impatient de me sauter, tourne autour de moi, personnellement je me demande pourquoi je suis venue, je me sens très mal à l’aise. Je lui dis :
- Je crois que c’est foutu pour aujourd’hui, il est déjà 5 h 10 !
- Tu vas pas repartir sans avoir goûté à ma queue ?
- On a pas le temps, reste 20 mn, j’suis venue pour rien !
- Juste un coup vite fait !
Il est derrière moi, met ses mains sur mes épaules, les masse, les descend sur mes seins, les pelote, je ne réagis pas. Il agasse mes tétons au travers du tissu, ma poitrine durcit, je commence à mouiller. Il fait tomber ma jupe au sol, prend le bas de mon tee-shirt, l’enlève, il ne me reste que ma petite culotte. Il me pousse doucement vers la chambre, je me retrouve assise sur le lit. Il se déshabille, reste debout, me présente sa queue, je la prends en bouche, elle est raide, je l’absorbe en entier, caresse les couilles. Il m’allonge sur le lit, relève mes jambes, att l’élastique de ma culotte, la retire, l’expédie dans la chambre de l’autre côté du lit, me voilà à poil. Il se met à genoux, replie mes jambes, m’écarte les cuisses, j’ai sa tête dans l’cul, il me bouffe la chatte, décalotte mon clito, agasse le petit bouton rose, fourre ses doigts dans mon con, je ne tiens plus, mouille terrible.
- Ca y est, je peux y aller ?
- Mets une capote !
- J’en ai pas !
- Prends-en une dans mon sac !
Il revient dans la chambre équipé. Il m’écarte les cuisses en grand, se met entre, m’ouvre, me pénètre. Il me ramone doux, je l’accompagne, sa queue coulisse dans mon vagin, entre, ressort, c’est bon, je le sens bien. On change de position, je passe dessus, chevauche sa bite, monte et descends, passe au grand galop, ondule du bas ventre, l’encastre à fond. Je me retourne, je suis de dos, m’active sur son cigare, roule du croupion sur la bite Ca fait bien un quart d’heure qu’on baise quand on sonne à la porte.
- Merde, j’vais voir qui c’est !
Il me repousse, je me débranche, il se lève, enfile son slip, ça se voit qu’il bande, va ouvrir.
- Salut, qu’est c’que tu veux ?
- J’te dérange, j’vois qu’t’en as ferré une !
- Oui, j’viens juste de la commencer !
- J’m’la f ’rais bien !
- On peut s’la faire à deux, elle a un bon tirage !
La porte est entrouverte, ils sont dans l’entrée, je les entends discuter. Pas possible, il est en train de marchander mon cul. Dans quelle galère je me suis fourrée ? Je me lève, ouvre l’armoire. Elle est remplie de vêtements de femme, je m’en doutais, il ne vit pas seul. Je trouve une robe de chambre, la mets, reviens dans le séjour dans l’intention de me rhabiller et foutre le camp hors de ce guêpier. Ils sont toujours dans l’entrée, je me baisse pour ramasser ma jupe. À ce moment Fred m’aperçoit, se précipite sur moi, m’att à bras le corps, dit :
- Hep là, qu’est c’que tu fabriques ?
- Reste avec ton copain, moi j’me barre !
- On va te passer dessus à tour de rôle !
- Pas question ! J’suis pas un boulevard à bites !
- J’lui ai promis ! Y va t’sauter !
Il me pousse, me ramène dans la chambre, je m’accroche au montant de la porte, tente de résister, mais il est costaud le bougre. L’autre à suivi, fait tomber la robe de chambre sur le sol, je suis nue. Le copain me regarde :
- Dis donc, elle a un sacré beau minou !
- Oui, tu vas voir, elle est vachement bonne !
- Hé, j’suis pas une bête de foire !
Ils me tiennent, je tente de leur échapper, me débats, mais le copain me prend par derrière sous les bras, ses mains s’accrochent à mes seins. Fred m’att les pieds, ils me soulèvent à l’horizontale, me balancent sur le lit, je me retrouve allongée sur le dos. Je tente de me redresser, mais Fred me raplatit sur le lit, je me débats, il m’empêche de me relever, aidé par le copain qui est monté sur le lit et s’agenouille sur mes épaules. À deux ils me bloquent, l’un me pétrit les seins, l’autre m’écarte les cuisses en grand, les maintient ouvertes, je ne peux plus bouger, je suis à leur merci, Fred me dit :
- T’as pas fini de gesticuler ?
- Foutez moi la paix, j’ai plus envie de baiser !
J’abandonne la lutte, j’ai chaud, je mouille, me laisse faire. Après tout, je suis venue là pour me faire sauter, alors pourquoi ne pas en profiter ? Il me remonte les jambes, me maintient les cuisses ouvertes, enfile deux doigts dans mon trou, sort sa bite par l’entrejambe du slip.
- T’aime la bite, tu vas en avoir deux pour le prix d’une !
Je ne mouille plus, je suis un peu crispée. Il s’allonge sur moi, d’un coup de rein m’emmanche direct au fond :
- Aïeyaïe, tu m’fais mal !
- Pas grave, tu vas aimer !
Il commence à me pilonner, me fait couiner à chaque coup de piston, je mouille malgré moi. Le copain se fout à poil, monte sur le lit et me donne sa pine à sucer. Elle est plus grosse et surtout plus longue que celle qui me ramone ( en érection je l’estime à 4 cm de diamètre et au moins 16 de long ). Il m’étouffe par moment, je ne peux pas l’absorber en entier, je le repousse pour le recracher. Il dit à Fred :
- À mon tour de la baiser !
- Mets une capote !
- J’en ai pas !
- Y en a dans mon sac !
Il sort de la pièce, Fred continu à s’activer en moi, y va à grands coups de butoir accompagnés de han han. Je cambre les reins, l’accompagne, halète, pousse des petits cris, j’ai de plus en plus chaud tellement il me ramone l’intérieur du bas ventre.
- J’les trouve pas ! Elles sont où ?
- Dans la petite poche intérieure !
Il revient avec le mandrin équipé, monte sur le lit, tient sa bite droite. Fred quitte mon vagin, roule sur le côté, se relève, lui laisse la place.
- Tu peux y aller, elle est ouverte !
Il plonge sur moi, s’enfourne direct, je n’ai pas eu le temps de souffler. Je sens le changement de bite, sa queue me dilate un peu plus le trou, il me l’enfonce jusqu’à la garde, elle va bien plus loin que l’autre dans mon bas ventre, il y a une réelle différence. Il. me pilonne hard, je gémis, sa queue me comble, me fait du bien. Le copain, qui pour le moment est sur moi, bascule sur le dos, m’entraîne avec lui, je me retrouve au-dessus. Je remonte les jambes, me redresse à genoux sur le lit, commence à monter et descendre sur son pieu, l’encastre bien en moi par des mouvements de rotation du bas ventre. Fred quitte son slip, vire la capote, passe derrière moi, et alors que je suis emmanchée à fond, m’aplatit sur la poitrine du copain, lui dit :
- Tiens la comme ça, je vais l’enculer !
- Non, j’t’interdis, par là c’est du viol !
Mais il n’en tient pas compte, mouille ma rosette avec sa salive, fait tourner son doigt dessus, me l’enfonce dans le trou du cul, ça me fait péter. Il le fait coulisser, le ressort, je proteste :
- Aïeyayaïe, tu m’fais mal !
L’autre s’est arrêté au fond de moi, sa bite et ses bras m’enserrent, me verrouillent. Appuyée sur sa poitrine et à genoux sur le lit, cuisses écartées, bite au fond du vagin, trou du cul exposé, il m’est impossible de bouger. Fred m’écarte les fesses à 2 mains, je ressers mon sphincter, il place son gland sur ma rondelle, je cherche à me dégager, je ne veux pas qu’il me l’introduise dans le cul. Malgré ça il me maintient les fesses écartées, pousse,
- Aïeyaïe ouille !
ça rentre difficile, j’ai mal, le sphincter cède, le gland passe, le reste de la tige suit. Heureusement qu’elle est de plus petite taille que celle du copain. Ils se mettent à me limer en cadence, je les sens coulisser et se croiser dans mes conduits, celle qui est dans mon cul me fait mal à chaque fois qu’il la sort pour me l’introduire de nouveau. Je suis prise en sandwich, subis les assauts des deux bites, gémis à chaque va et viens. C’est pas possible, ils vont m’avoir, je sens que je viens. J’ai de plus en plus chaud, mon cœur s’emballe, je défaille, perds le contrôle de la situation. Ca y est je décolle
- Wouahooooooooiiiiiii !
Je jouis juste au moment où ils déchargent. Le copain se vide dans la capote au fond du vagin, Fred envoie ses jets de foutre au fond de mes entrailles.
C’est la première fois qu’il m’arrive d’avoir un orgasme dans de telles conditions. Je m’écroule, je n’en peux plus. Fred sort de mon cul, me dit :
- T’as le cul dégueulasse, va te laver !
Je me dégage de l’autre bite qui est toujours en moi, descend du lit, je suis crevée, comme saoule. J’enfile la robe de chambre qui traîne au pied du lit, ramasse mes vêtements dans le séjour, titube, m’enferme dans la salle de bain. J’accroche la robe de chambre au porte-manteau derrière la porte, il y en a déjà une. Je pisse, du foutre sort de mon trou du cul. Je prends une douche, me nettoie le cul avec un gant de toilette, évite de mouiller mes cheveux. Je me regarde dans la glace, j’ai des cernes noirs sous les yeux, les traits fatigués, j’ai la tête de quelqu’un qui vient de s’envoyer en l’air, ce qui est mon cas ! Je reviens tout habillée dans le séjour. Ils ont dû se laver la bite à l’évier, se sont rhabillés, assis devant la table, sirotent une bière tranquillement, discutent, personne ne fait attention à l’heure. Si je comprends bien, ils sont en train de parler cul, et du mien en particulier ! Je ne sais pas ce qu’ils ont fait des capotes, sûrement à la poubelle, pas dans les WC, j’avais verrouillé la porte. Je demande à Fred :
- Tu m’files une bière, j’crève de soif ?
Je prends une chaise, m’assied à côté deux. Il sort une bière, me la donne, je dis à Fred :
- T’es un sacré salaud, tu m’as enculé sans capote !.
- Faut pas te plaindre, t’as joui, t’as même gueulé vachement fort !
- Tu m’as . C’est trop dur d’être prise en sandwich !
- Pourtant t’as aimé !
- J’veux pas qu’on m’encule, c’est dégueulasse !
À cause de l’arrivée du copain, la baise a duré plus longtemps que prévu, personne ne s’est rendu compte de l’heure. Je regarde ma montre, il va être 6h1/4. Je finis ma bière, me lève, enfile mon blouson, mets mon sac en bandoulière, me dirige vers la porte, l’ouvre, sorts sans dire au revoir ni me retourner. Je suis furieuse de m’être fait enculer et surtout d’avoir été prise en sandwich. Je claque la porte derrière moi et je me trouve nez à nez avec une jeune femme qui vient de sortir de l’ascenseur. On a failli se rentrer dedans ! Je m’écarte pour la laisser passer, elle me dévisage avec insistance, me toise de la tête aux pieds, met sa clé dans la serrure, ouvre la porte, entre. Elle n’est pas mal foutue, bien habillée, assez joli minois, de ma taille, même gabarit. En rejoignant l’arrêt du bus, je repense à ce qu’ils viennent de me faire, me monter à deux en même temps. En sortant de la salle de bain j’ai jeté un œil dans la chambre, la porte est restée ouverte. Pas possible de ne pas se rendre compte qu’une certaine activité a régné sur le lit, la couette en témoigne. Si elle va dans la salle de bain, elle va s’apercevoir que la douche vient d’être utilisée, les serviettes et le gant de toilette sont mouillés. De plus il y a une autre robe de chambre accrochée au porte-manteau à côté de la sienne. Pleins d’indices qui peuvent lui mettre la puce à l’oreille. Si elle a remarqué les cernes que j’ai sous les yeux lorsqu’elle m’a dévisagé, il va avoir quelques explications à fournir. Elle va peut être ne pas apprécier qu’il baise une autre femme dans son lit ! Je serais à sa place, ça ne ma plairait pas, bon nombre d’indices me laissent à penser que c’est lui qui vit chez elle !
Arrivée à l’arrêt du bus, j’ai une drôle de sensation, je sens qu’il me manque quelque chose. Ma …………..culotte ! Je l’ai oublié dans la chambre.

Il le fait coulisser, le ressort, je proteste :
- Aïeyayaïe, tu m’fais mal !
L’autre s’est arrêté au fond de moi, sa bite et ses bras m’enserrent, me verrouillent. Appuyée sur sa poitrine et à genoux sur le lit, cuisses écartées, bite au fond du vagin, trou du cul exposé, il m’est impossible de bouger. Fred m’écarte les fesses à 2 mains, je ressers mon sphincter, il place son gland sur ma rondelle, je cherche à me dégager, je ne veux pas qu’il me l’introduise dans le cul. Malgré ça il me maintient les fesses écartées, pousse,
- Aïeyaïe ouille !
ça rentre difficile, j’ai mal, le sphincter cède, le gland passe, le reste de la tige suit. Heureusement qu’elle est de plus petite taille que celle du copain. Ils se mettent à me limer en cadence, je les sens coulisser et se croiser dans mes conduits, celle qui est dans mon cul me fait mal à chaque fois qu’il la sort pour me l’introduire de nouveau. Je suis prise en sandwich, subis les assauts des deux bites, gémis à chaque va et viens. C’est pas possible, ils vont m’avoir, je sens que je viens. J’ai de plus en plus chaud, mon cœur s’emballe, je défaille, perds le contrôle de la situation. Ca y est je décolle
- Wouahooooooooiiiiiii !
13---- On est jeudi, il est 4 h, je suis rentrée du boulot depuis une demi-heure, je me repose allongée sur mon lit. Les mises en rayon, la caisse, les transports, tout cela est épuisant. Fred m’appelle.
- Je voudrais te voir, qu’est ce que tu fais ?
- Pour l’instant je me repose.
- Si t’en as envie viens chez moi, t’as un crayon j’te donne l’adresse.
- J’sais pas, donne toujours.
Je note l’adresse dans mon agenda, note le N° d’appel. Il m’explique comment y aller. Il habite au 5 ème, porte droite en sortant de l’ascenseur.
- Ok, j’te promets pas !
- J’ai très envie de toi ! Grouilles toi d’arriver il est déjà plus de 4h !
Je réfléchis. J’y va-t-y, j’y va-t-y pas ? Comme je suis à poil sur mon lit, il faut que je m’habille. Je choisis de porter une jupe jean mi-cuisses, un tee-shirt nombril à l’air, passe une petite culotte, mets un blouson jean court lui aussi. C’est peut être risqué d’être habillée de la sorte pour aller dans une cité HLM ! Oh, et puis qu’est ce que je risque, on est en plein jour. Je prends mon mini sac à dos, le mets sur le devant, c’est plus prudent, me voilà partie. Je sais très bien qu’arrivée là bas il va me sauter dessus, après tout j’y vais pour ça. J’attends le bus pendant 10 bonnes mn, déboule à 50 m d’une barre HLM, il est déjà 5h quand je descends du bus. J’entre dans l’immeuble, ça sent pas la propreté et dans l’ascenseur ça sent vraiment la pisse de chien. Qu’est que je fous dans cet endroit ? Mais ce qui m’attire, c’est sa queue, pas celle du chien qui pisse dans l’ascenseur, l’autre, celle qui remue dans mon bas ventre quand il me l’a enfilée ! Enfin, on verra bien, si ça ne me plait pas, je me tire. J’arrive, frappe à sa porte. Il vient m’ouvrir :
- J’croyais qu’t’allais pas v’nir, t’en as mis du temps !
- J’ai hésité, j’suis pas à l’aise dans les cités HLM !
- On a jusqu’à 5h1/2, après faut qu’tu t’barres vite fait!
- J’vais pas m’attarder, t’as moins d’une 1/2h pour me sauter ça doit suffire.
Je jète un œil autour de moi, il me fait faire le tour du propriétaire. Un séjour avec cuisine en bout, table, 4 chaises, canapé, télé. Une salle d’eau avec WC, une chambre avec un lit 2 places, une grande armoire, le tout propre mais sans plus.
- T’es pas mal logé, tu vis seul ici, c’est toi qui fait le ménage ?
- Fous-toi à poil, faut pas perdre de temps.
Il n’a pas répondu à ma question, ça sent la présence féminine. J’enlève mon blouson, le mets sur le dos de la chaise, pose mon sac sur la table, il a l’air impatient de me sauter, tourne autour de moi, personnellement je me demande pourquoi je suis venue, je me sens très mal à l’aise. Je lui dis :
- Je crois que c’est foutu pour aujourd’hui, il est déjà 5 h 10 !
- Tu vas pas repartir sans avoir goûté à ma queue ?
- On a pas le temps, reste 20 mn, j’suis venue pour rien !
- Juste un coup vite fait !
Il est derrière moi, met ses mains sur mes épaules, les masse, les descend sur mes seins, les pelote, je ne réagis pas. Il agasse mes tétons au travers du tissu, ma poitrine durcit, je commence à mouiller. Il fait tomber ma jupe au sol, prend le bas de mon tee-shirt, l’enlève, il ne me reste que ma petite culotte. Il me pousse doucement vers la chambre, je me retrouve assise sur le lit. Il se déshabille, reste debout, me présente sa queue, je la prends en bouche, elle est raide, je l’absorbe en entier, caresse les couilles. Il m’allonge sur le lit, relève mes jambes, att l’élastique de ma culotte, la retire, l’expédie dans la chambre de l’autre côté du lit, me voilà à poil. Il se met à genoux, replie mes jambes, m’écarte les cuisses, j’ai sa tête dans l’cul, il me bouffe la chatte, décalotte mon clito, agasse le petit bouton rose, fourre ses doigts dans mon con, je ne tiens plus, mouille terrible.
- Ca y est, je peux y aller ?
- Mets une capote !
- J’en ai pas !
- Prends-en une dans mon sac !
Il revient dans la chambre équipé. Il m’écarte les cuisses en grand, se met entre, m’ouvre, me pénètre. Il me ramone doux, je l’accompagne, sa queue coulisse dans mon vagin, entre, ressort, c’est bon, je le sens bien. On change de position, je passe dessus, chevauche sa bite, monte et descends, passe au grand galop, ondule du bas ventre, l’encastre à fond. Je me retourne, je suis de dos, m’active sur son cigare, roule du croupion sur la bite Ca fait bien un quart d’heure qu’on baise quand on sonne à la porte.
- Merde, j’vais voir qui c’est !
Il me repousse, je me débranche, il se lève, enfile son slip, ça se voit qu’il bande, va ouvrir.
- Salut, qu’est c’que tu veux ?
- J’te dérange, j’vois qu’t’en as ferré une !
- Oui, j’viens juste de la commencer !
- J’m’la f ’rais bien !
- On peut s’la faire à deux, elle a un bon tirage !
La porte est entrouverte, ils sont dans l’entrée, je les entends discuter. Pas possible, il est en train de marchander mon cul. Dans quelle galère je me suis fourrée ? Je me lève, ouvre l’armoire. Elle est remplie de vêtements de femme, je m’en doutais, il ne vit pas seul. Je trouve une robe de chambre, la mets, reviens dans le séjour dans l’intention de me rhabiller et foutre le camp hors de ce guêpier. Ils sont toujours dans l’entrée, je me baisse pour ramasser ma jupe. À ce moment Fred m’aperçoit, se précipite sur moi, m’att à bras le corps, dit :
- Hep là, qu’est c’que tu fabriques ?
- Reste avec ton copain, moi j’me barre !
- On va te passer dessus à tour de rôle !
- Pas question ! J’suis pas un boulevard à bites !
- J’lui ai promis ! Y va t’sauter !
Il me pousse, me ramène dans la chambre, je m’accroche au montant de la porte, tente de résister, mais il est costaud le bougre. L’autre à suivi, fait tomber la robe de chambre sur le sol, je suis nue. Le copain me regarde :
- Dis donc, elle a un sacré beau minou !
- Oui, tu vas voir, elle est vachement bonne !
- Hé, j’suis pas une bête de foire !
Ils me tiennent, je tente de leur échapper, me débats, mais le copain me prend par derrière sous les bras, ses mains s’accrochent à mes seins. Fred m’att les pieds, ils me soulèvent à l’horizontale, me balancent sur le lit, je me retrouve allongée sur le dos. Je tente de me redresser, mais Fred me raplatit sur le lit, je me débats, il m’empêche de me relever, aidé par le copain qui est monté sur le lit et s’agenouille sur mes épaules. À deux ils me bloquent, l’un me pétrit les seins, l’autre m’écarte les cuisses en grand, les maintient ouvertes, je ne peux plus bouger, je suis à leur merci, Fred me dit :
- T’as pas fini de gesticuler ?
- Foutez moi la paix, j’ai plus envie de baiser !
J’abandonne la lutte, j’ai chaud, je mouille, me laisse faire. Après tout, je suis venue là pour me faire sauter, alors pourquoi ne pas en profiter ? Il me remonte les jambes, me maintient les cuisses ouvertes, enfile deux doigts dans mon trou, sort sa bite par l’entrejambe du slip.
- T’aime la bite, tu vas en avoir deux pour le prix d’une !
Je ne mouille plus, je suis un peu crispée. Il s’allonge sur moi, d’un coup de rein m’emmanche direct au fond :
- Aïeyaïe, tu m’fais mal !
- Pas grave, tu vas aimer !
Il commence à me pilonner, me fait couiner à chaque coup de piston, je mouille malgré moi. Le copain se fout à poil, monte sur le lit et me donne sa pine à sucer. Elle est plus grosse et surtout plus longue que celle qui me ramone ( en érection je l’estime à 4 cm de diamètre et au moins 16 de long ). Il m’étouffe par moment, je ne peux pas l’absorber en entier, je le repousse pour le recracher. Il dit à Fred :
- À mon tour de la baiser !
- Mets une capote !
- J’en ai pas !
- Y en a dans mon sac !
Il sort de la pièce, Fred continu à s’activer en moi, y va à grands coups de butoir accompagnés de han han. Je cambre les reins, l’accompagne, halète, pousse des petits cris, j’ai de plus en plus chaud tellement il me ramone l’intérieur du bas ventre.
- J’les trouve pas ! Elles sont où ?
- Dans la petite poche intérieure !
Il revient avec le mandrin équipé, monte sur le lit, tient sa bite droite. Fred quitte mon vagin, roule sur le côté, se relève, lui laisse la place.
- Tu peux y aller, elle est ouverte !
Il plonge sur moi, s’enfourne direct, je n’ai pas eu le temps de souffler. Je sens le changement de bite, sa queue me dilate un peu plus le trou, il me l’enfonce jusqu’à la garde, elle va bien plus loin que l’autre dans mon bas ventre, il y a une réelle différence. Il. me pilonne hard, je gémis, sa queue me comble, me fait du bien. Le copain, qui pour le moment est sur moi, bascule sur le dos, m’entraîne avec lui, je me retrouve au-dessus. Je remonte les jambes, me redresse à genoux sur le lit, commence à monter et descendre sur son pieu, l’encastre bien en moi par des mouvements de rotation du bas ventre. Fred quitte son slip, vire la capote, passe derrière moi, et alors que je suis emmanchée à fond, m’aplatit sur la poitrine du copain, lui dit :
- Tiens la comme ça, je vais l’enculer !
- Non, j’t’interdis, par là c’est du viol !
Mais il n’en tient pas compte, mouille ma rosette avec sa salive, fait tourner son doigt dessus, me l’enfonce dans le trou du cul, ça me fait péter. Il le fait coulisser, le ressort, je proteste :
- Aïeyayaïe, tu m’fais mal !
L’autre s’est arrêté au fond de moi, sa bite et ses bras m’enserrent, me verrouillent. Appuyée sur sa poitrine et à genoux sur le lit, cuisses écartées, bite au fond du vagin, trou du cul exposé, il m’est impossible de bouger. Fred m’écarte les fesses à 2 mains, je ressers mon sphincter, il place son gland sur ma rondelle, je cherche à me dégager, je ne veux pas qu’il me l’introduise dans le cul. Malgré ça il me maintient les fesses écartées, pousse,
- Aïeyaïe ouille !
ça rentre difficile, j’ai mal, le sphincter cède, le gland passe, le reste de la tige suit. Heureusement qu’elle est de plus petite taille que celle du copain. Ils se mettent à me limer en cadence, je les sens coulisser et se croiser dans mes conduits, celle qui est dans mon cul me fait mal à chaque fois qu’il la sort pour me l’introduire de nouveau. Je suis prise en sandwich, subis les assauts des deux bites, gémis à chaque va et viens. C’est pas possible, ils vont m’avoir, je sens que je viens. J’ai de plus en plus chaud, mon cœur s’emballe, je défaille, perds le contrôle de la situation. Ca y est je décolle
- Wouahooooooooiiiiiii !
Je jouis juste au moment où ils déchargent. Le copain se vide dans la capote au fond du vagin, Fred envoie ses jets de foutre au fond de mes entrailles.
C’est la première fois qu’il m’arrive d’avoir un orgasme dans de telles conditions. Je m’écroule, je n’en peux plus. Fred sort de mon cul, me dit :
- T’as le cul dégueulasse, va te laver !
Je me dégage de l’autre bite qui est toujours en moi, descend du lit, je suis crevée, comme saoule. J’enfile la robe de chambre qui traîne au pied du lit, ramasse mes vêtements dans le séjour, titube, m’enferme dans la salle de bain. J’accroche la robe de chambre au porte-manteau derrière la porte, il y en a déjà une. Je pisse, du foutre sort de mon trou du cul. Je prends une douche, me nettoie le cul avec un gant de toilette, évite de mouiller mes cheveux. Je me regarde dans la glace, j’ai des cernes noirs sous les yeux, les traits fatigués, j’ai la tête de quelqu’un qui vient de s’envoyer en l’air, ce qui est mon cas ! Je reviens tout habillée dans le séjour. Ils ont dû se laver la bite à l’évier, se sont rhabillés, assis devant la table, sirotent une bière tranquillement, discutent, personne ne fait attention à l’heure. Si je comprends bien, ils sont en train de parler cul, et du mien en particulier ! Je ne sais pas ce qu’ils ont fait des capotes, sûrement à la poubelle, pas dans les WC, j’avais verrouillé la porte. Je demande à Fred :
- Tu m’files une bière, j’crève de soif ?
Je prends une chaise, m’assied à côté deux. Il sort une bière, me la donne, je dis à Fred :
- T’es un sacré salaud, tu m’as enculé sans capote !.
- Faut pas te plaindre, t’as joui, t’as même gueulé vachement fort !
- Tu m’as . C’est trop dur d’être prise en sandwich !
- Pourtant t’as aimé !
- J’veux pas qu’on m’encule, c’est dégueulasse !
À cause de l’arrivée du copain, la baise a duré plus longtemps que prévu, personne ne s’est rendu compte de l’heure. Je regarde ma montre, il va être 6h1/4. Je finis ma bière, me lève, enfile mon blouson, mets mon sac en bandoulière, me dirige vers la porte, l’ouvre, sorts sans dire au revoir ni me retourner. Je suis furieuse de m’être fait enculer et surtout d’avoir été prise en sandwich. Je claque la porte derrière moi et je me trouve nez à nez avec une jeune femme qui vient de sortir de l’ascenseur. On a failli se rentrer dedans ! Je m’écarte pour la laisser passer, elle me dévisage avec insistance, me toise de la tête aux pieds, met sa clé dans la serrure, ouvre la porte, entre. Elle n’est pas mal foutue, bien habillée, assez joli minois, de ma taille, même gabarit. En rejoignant l’arrêt du bus, je repense à ce qu’ils viennent de me faire, me monter à deux en même temps. En sortant de la salle de bain j’ai jeté un œil dans la chambre, la porte est restée ouverte. Pas possible de ne pas se rendre compte qu’une certaine activité a régné sur le lit, la couette en témoigne. Si elle va dans la salle de bain, elle va s’apercevoir que la douche vient d’être utilisée, les serviettes et le gant de toilette sont mouillés. De plus il y a une autre robe de chambre accrochée au porte-manteau à côté de la sienne. Pleins d’indices qui peuvent lui mettre la puce à l’oreille. Si elle a remarqué les cernes que j’ai sous les yeux lorsqu’elle m’a dévisagé, il va avoir quelques explications à fournir. Elle va peut être ne pas apprécier qu’il baise une autre femme dans son lit ! Je serais à sa place, ça ne ma plairait pas, bon nombre d’indices me laissent à penser que c’est lui qui vit chez elle !
Arrivée à l’arrêt du bus, j’ai une drôle de sensation, je sens qu’il me manque quelque chose. Ma …………..culotte ! Je l’ai oublié dans la chambre.

C’est la première fois qu’il m’arrive d’avoir un orgasme dans de telles conditions. Je m’écroule, je n’en peux plus. Fred sort de mon cul, me dit :
- T’as le cul dégueulasse, va te laver !
Je me dégage de l’autre bite qui est toujours en moi, descend du lit, je suis crevée, comme saoule. J’enfile la robe de chambre qui traîne au pied du lit, ramasse mes vêtements dans le séjour, titube, m’enferme dans la salle de bain. J’accroche la robe de chambre au porte-manteau derrière la porte, il y en a déjà une. Je pisse, du foutre sort de mon trou du cul. Je prends une douche, me nettoie le cul avec un gant de toilette, évite de mouiller mes cheveux. Je me regarde dans la glace, j’ai des cernes noirs sous les yeux, les traits fatigués, j’ai la tête de quelqu’un qui vient de s’envoyer en l’air, ce qui est mon cas ! Je reviens tout habillée dans le séjour. Ils ont dû se laver la bite à l’évier, se sont rhabillés, assis devant la table, sirotent une bière tranquillement, discutent, personne ne fait attention à l’heure. Si je comprends bien, ils sont en train de parler cul, et du mien en particulier ! Je ne sais pas ce qu’ils ont fait des capotes, sûrement à la poubelle, pas dans les WC, j’avais verrouillé la porte. Je demande à Fred :
- Tu m’files une bière, j’crève de soif ?
Je prends une chaise, m’assied à côté deux. Il sort une bière, me la donne, je dis à Fred :
- T’es un sacré salaud, tu m’as enculé sans capote !.
- Faut pas te plaindre, t’as joui, t’as même gueulé vachement fort !
- Tu m’as . C’est trop dur d’être prise en sandwich !
- Pourtant t’as aimé !
- J’veux pas qu’on m’encule, c’est dégueulasse !
À cause de l’arrivée du copain, la baise a duré plus longtemps que prévu, personne ne s’est rendu compte de l’heure. Je regarde ma montre, il va être 6h1/4. Je finis ma bière, me lève, enfile mon blouson, mets mon sac en bandoulière, me dirige vers la porte, l’ouvre, sorts sans dire au revoir ni me retourner. Je suis furieuse de m’être fait enculer et surtout d’avoir été prise en sandwich. Je claque la porte derrière moi et je me trouve nez à nez avec une jeune femme qui vient de sortir de l’ascenseur. On a failli se rentrer dedans ! Je m’écarte pour la laisser passer, elle me dévisage avec insistance, me toise de la tête aux pieds, met sa clé dans la serrure, ouvre la porte, entre. Elle n’est pas mal foutue, bien habillée, assez joli minois, de ma taille, même gabarit. En rejoignant l’arrêt du bus, je repense à ce qu’ils viennent de me faire, me monter à deux en même temps. En sortant de la salle de bain j’ai jeté un œil dans la chambre, la porte est restée ouverte. Pas possible de ne pas se rendre compte qu’une certaine activité a régné sur le lit, la couette en témoigne. Si elle va dans la salle de bain, elle va s’apercevoir que la douche vient d’être utilisée, les serviettes et le gant de toilette sont mouillés. De plus il y a une autre robe de chambre accrochée au porte-manteau à côté de la sienne. Pleins d’indices qui peuvent lui mettre la puce à l’oreille. Si elle a remarqué les cernes que j’ai sous les yeux lorsqu’elle m’a dévisagé, il va avoir quelques explications à fournir. Elle va peut être ne pas apprécier qu’il baise une autre femme dans son lit ! Je serais à sa place, ça ne ma plairait pas, bon nombre d’indices me laissent à penser que c’est lui qui vit chez elle !
Arrivée à l’arrêt du bus, j’ai une drôle de sensation, je sens qu’il me manque quelque chose. Ma …………..culotte ! Je l’ai oublié dans la chambre.

A suivre

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