La Gourgandine ( 11 )

11-----Le lundi suivant, au lieu de rentrer chez moi après le boulot, je vais directement chez Carole. Comme le lundi c’est son jour de repos, on va aller se balader. Je l’ai eu hier soir au téléphone, n’a rien de programmé, son copain ne l’a pas appelée, elle est d’accord. J’arrive devant sa porte, frappe, attends, pas de réponse, elle ne doit pas être là. Elle se repose peut être, fait une petite sieste ! Mes parents sont rentrés de vacances, ont ouvert le café, je ne sais pas quoi faire de mon après midi. Au moment où je m’apprête à repartir, la porte s’entrouvre. Elle passe la tête :
- Ah c’est toi, entre.
- Tu es seule, sinon je ne veux pas te déranger.
- Tu ne me déranges pas !
Elle enlève la chaîne de sécurité installée par mon beau-père lorsqu’elle s’est débarrassée de son mec. J’entre et qu’elle n’est pas ma surprise, elle est en string. Je reste dans l’entrée, lui demande :
- Qu’est ce que tu fous à poil ? T’es pas encore habillée, on devait sortir !
- Excuse-moi, j’ai complètement oublié !
- Bon, alors qu’est ce qu’on fait, habille-toi, je t’attends.
- J’ai pas trop envie de sortir.
- Qu’est qu’y s’passe, t’as l’air bizarre ? Si tu veux pas sortir, t’aurais dû me téléphoner !
- Fred est là. Il est arrivé, je ne l’attendais pas.
- T’aurais pu m’donner un coup de fil, ça m’aurait évité de venir pour rien!
- J’y ai pas pensé. J’pouvais pas le renvoyer !
- Oui, mais moi j’en ai rien à foutre de lui !
- Tu peux quand même lui dire bonjour !
- J’vais pas assister à vos ébats !
- Aller, viens ! On a pas encore commencé !
- Si m’voit y va m’sauter !
- J’suis sûre que ça va t’plaire !
- J’ai pas trop envie aujourd’hui !
Elle me pousse dans le studio, en effet Fred est là, assis sur une chaise, un coude sur la table, un verre de bière à la main. Comme il n’est pas face à la table, ma vue est attirée par quelque chose d’insolite.

Sa braguette est ouverte, sa queue et ses couilles sont sorties, il bande. Sa bite est raide, rouge, il l’entretient de sa main libre ! Manifestement elle était en train de lui tailler une pipe.
- Salut, tu viens te joindre à nous ?
- C’est elle qui m’a proposé !
- J’suis en forme, j’peux vous enfiler toutes les deux !
- T’es trop présomptueux, regardes comme t’es gaulé !
- Si j’dis, c’est qu’je peux !
- Ca va pas, t’en as que pour une !
Il pose son verre, se lève, vient vers moi en tenant sa bite, m’embrasse sur la joue. Sans hésiter et avant que je réagisse, il dégrafe la ceinture de mon jean, l’ouvre, le fait tomber à mes pieds. Il passe sa main direct dans ma culotte. Je le repousse sèchement :
- Fous-moi la paix, j’t’ai rien demandé, dégage !
Je me baisse pour récupérer mon jean, mais il m’att, me retourne, m’aplatit sur la table, écarte ma culotte et me pénètre direct à fond.
- Aïe aïe ! Non, pas sans capote !
Il m’a pénétré alors que je ne m’y attends pas, je ne suis pas préparée, ne mouille pas. Il reste fiché en moi, me prend à bras le corps, me soulève, mes pieds ne touchent plus le sol, je me débats mais ne parviens pas à me libérer de la bite qui est ancrée en moi. Il m’emmène vers le lit.
- J’veux pas qu’tu m’baises !
- Trop tard, j’suis déjà d’dans!
- Sort toi de là, fout moi la paix !
- Pas question, t’es en prise, j’vais commencer par toi !
Il sort de moi, me bascule sur le lit, je me débats. Il dit à Carole :
- Reste pas à regarder, aide-moi à la foutre à poil !
Il me maîtrise avec l’aide de ma copine, parvient à retirer mon jean pendant que Carole vire mon tee-shirt. À eux deux, ils me maintiennent allongée.
- Ca y est, t’es calmée ?
Il me prend sous les reins, enlève ma culotte, sa main ouvre mes lèvres, il glisse un doigt dans ma fente, en entre deux dans mon trou. Il dit à Carole :
- C’est bon, elle mouille, passes moi une capote !
Elle lui en donne une, il déchire l’étui, lui dit comme à regret :
- Elle veut pas sans, dommage !
Pendant qu’il la déploie sur sa queue, je tente de me relever, mais ma copine me raplatit sur le lit, met ses genoux sur mes épaules, se penche en avant, plaque une main sur mon bas ventre, de 2 doigts ouvre mes lèvres, lui prépare mon trou, je remue le bas ventre.
Elle lui dit :
- Tu peux y aller, elle est prête !
- Je vais me la faire en premier, après ça sera ton tour, ma chérie !
Je proteste un peu pour la forme,
- Non, commence par elle !
- C’est ça, et tu vas te barrer !
Je me rends compte que de toute façon, avec ou sans mon accord, avec l’aide de Carole, il va me baiser. Il me regarde et dit :
- T’es ouverte, j’vais t’la remettre dedans !
- Non, j’en veux pas ! J’suis pas venue pour me faire sauter !
- Tu parles, t’attends qu’ça !
C’est alors qu’il me relève les jambes, ouvre mes cuisses sans ménagement, se place à l’arrière de ma fente et, sans autre préambule, me pénètre.
- Hooo !
- Qu’est ce que t’en dis ?
Alors qu’il commence ses va et vient dans moi, Carole me pétrit la poitrine, la fait durcir, roule mes tétons entre ses doigts. Elle est accroupie au-dessus de ma tête, j’écarte son string sur une fesse, ouvre ses lèvres, elle colle sa vulve sur ma bouche. Pendant qu’il me burine, ma langue s’active dans sa fente, j’ai la bouche enduite de sa mouille. Elle s’allonge au-dessus de moi, sort la queue de son mec de mon vagin, la tire vers elle, la suce, lui dit :
- Ca suffit ! J’suis dessus, elle peut plus s’barrer !
Elle le repousse, se met à genoux au-dessus de moi, remonte son cul, commence à me titiller le clito avec sa langue, à me bouffer la chatte.
- Viens me la mettre en levrette !
Il descend du lit, se déshabille tranquillement pendant qu’elle me gouine, met ses vêtements sur la chaise, vient derrière elle, remonte sur le lit, je vois une paire de couilles soutenant une quéquette encapuchonnée passer au-dessus de ma tête. Il s’agenouille, elle remonte un peu plus sa croupe pour être à hauteur de sa bite. Il ouvre ses lèvres, je prends la queue, la guide dans sa fente, la place sur son trou, un coup de rein, elle disparaît dedans, il l’emmanche direct au fond.
- Oh oui, vas-y, ramone-moi !
Pendant qu’il la pilonne, Carole continue à me gouiner, drôle de partie de baise.
En allant chez elle, je ne m’attendais pas à ça !
Ca y est, c’est parti, il la burine dur, d’abord lentement, puis plus vite, elle gémit, oh ah oh waoh ahoo, à chaque coup de piston. Pendant qu’il la baise en levrette, elle me fourre ses doigts dans le vagin, deux puis trois, les sort, les fait tourner, roule mon clito entre deux doigts, le décalotte, fait ressortir la petite tige rose, agasse le bout. Je remue le bas ventre, mouille terrible, j’ai du mal à tenir tellement c’est bon ce qu’elle me fait. De mon côté je caresse les couilles qui se balancent au-dessus de moi, de temps en temps j‘att la queue, la sorts du vagin, la branle un peu, la remets en place, il l’embroche d’un coup sec et le pilonnage recommence ! Au bout d’un moment, il dit :
- J’repasse dans l’autre !
- Non, gicle dans moi !
Mais il sort d’elle, descend du lit, Carole se redresse, recule au-dessus de moi. Mon trou est encore assoupli, il m’a déjà pénétré, et ma copine m’a maintenu en condition en me gouinant. Je mouille, j’ai envie de sa bite. Il m’ordonne :
- Ecarte tes cuisses !
Je les ouvre en grand, il se glisse entre elles, relève mes jambes sur ses avant bras, se penche au-dessus de moi, appuie les mains sur mes épaules, s’enfourne direct au fond de moi, en tant que femelle je me retrouve avec une paire de couilles au ras du cul. Bien sur elles ne sont pas à moi, mais vu leur position, c’est tout comme ! Je connais sa bite, elle ne va pas très loin dans mon ventre !
- Ah, ah, oui vas-y !
Et le voilà parti dans un assaut que je connais bien. Je couine à chaque va et viens, fais des oh, oh, oui ah, ah oui, de plus en plus forts. Je m’occupe du sexe de Carole, enfile mes doigts dedans, titille le clito, appuie sur le petit bourgeon rose que je viens de faire ressortir, elle remue le bassin sous mon action, couine. Pendant ce temps, à l’autre bout de moi, Fred s’acharne à faire entrer, sortir, coulisser son piston dans ma gaine.
Carole se relève, se retourne, se met en levrette au-dessus de moi, recule, présente sa croupe à son copain.

- À mon tour maintenant !
Il m’abandonne pour l’enfiler, et le pilonnage recommence, il n’a fait que changer de vagin. Je suis frustrée, me mets sur le ventre, remonte mon cul, me glisse entre les jambes de ma copine. Il apprécie l’offre, passe de l’une à l’autre, quelques coups dans celle du haut, autant dans celle au-dessous, pas de jalouses, on y a droit toutes les deux. On couine chacune notre tour à chaque coup de trique. La chanson augmente d’intensité, il nous accompagne par des han, han à chaque fois qu’il coulisse dans l’une des deux. Puis il descend du lit, att Carole par les hanches, tire :
- Aller viens, j’vais t’prendre debout !
Elle passe au-dessus de moi, la voilà debout. Il lui enlève le string, la pousse jusqu’à la table, l’aplatit dessus, lui écarte les jambes, ouvre sa fente, l’en quille d’un seul coup de rein.
- Oh oui, vas-y, j’aime !
Il la burine dur, elle couine de plus en plus fort. Je reste là à attendre, me remet sur le dos, écarte les cuisses, me doigte. Il tourne la tête, regarde ce que je suis en train de faire. Un dernier coup dans elle, il vient vers moi, grimpe sur le lit, relève mes jambes, mes genoux retombent sur mes épaules, mon buste est courbé, j’ai le cul en l’air. Il est de face, prend sa queue, m’emmanche d’une seule poussée, se penche sur moi, appuie ses mains dans la pliure des genoux, commence à me ramoner la cheminée. Au bout d’un moment d’activité intense dans ma gaine, il dit à Carole
- Viens ici, tiens-lui les jambes je vais la prendre dans l’autre sens !
Elle monte sur le lit, me tient les pieds. Il sort de moi, passe au-dessus de moi, je vois ses fesses, il place sa bite sur mon trou encore ouvert, me l’enfile d’une seule traite, et c’est un ramonage intensif qui recommence, ses couilles touchent mon clito à chaque fois qu’il butte au fond. Je tends la main, lui caresse les valseuses, couine d’abord faible, puis de plus en plus fort, ça y est, je décolle, m’envole, j’halète, j’ai chaud, je suis partie, mon cœur chavire. Il se bloque au fond du vagin, donne des a-coups, un long râle, il envoie plusieurs giclées dans la capote à l’instant même où je jouis.
- Oh !Ah ! Wahououiiiiiiiiiiii !
Je n’en peux plus, dans cette position ma poitrine est comprimée, j’ai du mal à respirer. Il redescend du lit, suivi par Carole qui vient de lâcher mes pieds. J’allonge mes jambes, reste comme ça, cuisses grandes ouvertes, anéantie, pompée, récupère, revient lentement sur terre, bon sang quel orgasme. Il va jeter la capote pleine de foutre dans la poubelle, revient s’asseoir au bord du lit.
- Ouf, elle m’a crevé !

À suivre

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