La Gourgandine ( 15 )
15-----Il commence un ramonage intensif, je mouille, cambre les reins, laccompagne, pousse des oh hi ooahaaaa à chaque coup de bite. Moi qui rêve de lavoir en moi depuis des années, aujourdhui cest chose faite. Carole est à côté, sest mise dans la même position que moi, lui ouvre son sexe, entretient sa mouille en glissant ses doigts à lintérieur, attend quil la reprenne. Ca fait bien 5 mn quil me lime, Carole simpatiente :
- Hé là, vous mavez oubliée !
- Mais non, à ton tour !
Il me quitte brutalement, la pénètre presque sauvagement. Heureusement quelle la maintenu ouvert, le muscle est assoupli, ça rentre facilement.
- Aïe, Oh là oui oui !
Il recommence à lui ramoner la cheminée, elle gémit. Puis il passe régulièrement de lune à lautre, sacharne à lintérieur de nous, on a pas le temps de souffler, ni nos vagins de se refermer. Alors quil est dans moi, je sens que je viens, mon cur semballe, je décolle, menvole, tout mon être chavire, se tend. Je crie ma jouissance
- WaaahoooOhouiiiii
Quel orgasme. Je retombe, heureuse, anéantie, reprends pied doucement. Il sort de moi dès quil ma vu jouir, et sans transition enfourne sa bite direct dans le vagin de ma copine, la burine hard, fait des han han, comme quand il était dans moi, entre, sort, la défonce. Elle couine comme pas possible, ses cris, hi hiii, accompagnent ses coups de queue, elle ne tarde pas à jouir, crie aussi fort que moi, que vont penser les voisins sils sont chez eux ?
- AhOhawaaaaaaahiiii!
Il doit être au bord de lexplosion, sort subitement delle, vire la capote et sans perdre une seconde matt par les cheveux, me redresse et me fourre son gland dans la bouche, y rentre une partie de sa bite, et dans un râle, et en quelques secousses, menvoie plusieurs giclées dun foutre chaud et épais.
- Tiens, bouffe ça !
Javale, dégluti, jen ai plein la bouche, ma langue est enduite de son sperme.
- Ten veux toi aussi ?
Elle ouvre la bouche, absorbe le gland, lui tient la grappe alors quen quelques soubresauts, dans un grognement, il finit de se vider. Elle aussi en a plein la bouche, déglutit, sort la langue, lèche le méat, suce le gland. Je nen crois pas mes yeux, bon sang quest ce quil lui en reste dans les couilles ! Il se remet debout, nous regarde, je pense que cette fois il est vide. On est là, toutes les deux sur le lit, ventre à lair, cuisses écartées, sexe exposé.
- Bon, jai perdu trop de temps avec vous, jespère que vous êtes satisfaites !
Il range son attirail dans son slip, remonte son pantalon, se prépare à nous quitter. On se lève, Carole rabat sa jupe, jenfile ma culotte, laisse retomber ma jupe. Nous voilà présentables. Il sapprête à sortir, se retourne vers moi :
- Surtout motus, tu mas pas vu !
- Jsuis pas dingue ! Jvais pas dire à ma mère que son mari ma enfilé sa queue jusquaux couilles et a déchargé dans ma bouche. Elle risque de nous virer tous les deux ! Tu sais jai envie de ta queue depuis quon sest rencontré dans le couloir alors quon était tous les deux à poil. Javais 18 ans. Cette nuit là jai très mal dormi, jai senti quil fallait quun jour tu me pénètres. Tas raison de te taper ma copine, elle en vaut la peine.
- Bon, arrête avec ça, ton envie est satisfaite, cest la première mais aussi la dernière fois que je te baise !
- Pourquoi ? Taimes pas mon cul ?
- Officiellement tes ma fille, jdois pas !
- Tes venu comment ?
- Jai la voiture, je vais au magasin de bricolage puis au centre commercial !
- Si ça ne te dérange pas, je viens avec toi, tu mas rencontré là bas, je suis ton alibi pour le temps que tu as passé à nous sauter !
- Oh, tu sais, avec la circulation et les courses que jai à faire, je suis pas à une demi-heure près !
Il prend la veste quil a déposé sur le dossier de la chaise en arrivant.
- Merci, à quand vous voulez !
- On verra ça, mais jaimerais que tu sois seule !
- Elle est là tout à fait par hasard !
Je le suis, on monte dans la voiture, il démarre direction les magasins grandes surfaces. Pendant le trajet je pose une main sur sa cuisse, il na pas lair dy prêter attention, ne réagit pas. A un arrêt au feu rouge, je la glisse dans lentrejambes, serre, toujours pas de réaction, il reste silencieux, mignore. Pendant quil conduit, je pelote doucement lendroit stratégique. Au second feu rouge, cest plus fort que moi, jouvre la braguette au moment où il redémarre, glisse ma main dans lentrejambe du slip, touche le bout du gland
- Tes pas possible, tu vas me faire avoir un accident, vire ta patte de là !
Je ne lécoute pas, saisie la queue. Elle est raide, il bande ! Je le branle doucement, agasse le gland, la queue grossit de plus en plus.
- Bon Dieu ,vire ta patte ou jte débarque !
On arrive, jenlève ma main, referme son pantalon. On fait les courses ensemble, il a lair goguenard, jai limpression que je suis allée trop loin, jai gâché toutes mes chances, Il ne voudra plus me sauter. Aujourdhui jai réalisé mon fantasme, le prendre à ma mère au moins une fois ! Depuis le jour où jai réussi à le sucer, il y a de cela 3 ou 4 ans, jai eu peu doccasions de me retrouver seule avec lui, et surtout de parler cul ! Jen profite, le sujet nest plus tabou, il vient de me la rentrer pour la première fois. Pendant le retour à la maison, dans la voiture, je lui raconte :
- Je ne te lai jamais dis, javais alors 12 ans, un après midi je suis rentrée plus tôt à la maison parce quun prof était absent.
La porte de votre chambre était entrouverte. Jai entendu du bruit, jai regardé ce qui se passait. Vous étiez tous les deux à poil sur le lit en train de faire lamour. Maman était à cheval sur toi, je la voyais de dos.
- Bon et alors, on va pas épiloguer là dessus!
- Je ne savais pas que tu allais passer chez Carole.
- Jaurais dû la prévenir, cest de ma faute !
- Elle est ta maîtresse depuis quand ? Elle ne me la pas dit !
- Ca ne te regarde pas !
On arrive, il gare la voiture devant le café, je laide à rentrer les courses. Ma mère est étonnée de nous voir arriver ensemble. Elle vient nous voir à la cuisine, devant son air interrogateur mon père lui dit
- Je lai rencontrée au super-marché, elle traînait dans les rayons !
Je monte dans ma chambre, mallonge sur mon lit, repense à ce quil vient de se passer ! Décidément je préfère les hommes mûrs ! Mais celui là mest, en théorie, interdit.
Un mois se passe, je vais au boulot, rencontre mes parents le soir, on dîne ensemble, mon père na rien changé dans son attitude envers moi. Un soir on est seuls dans le salon, on regarde la télé. Ma mère saffaire en bas, range, fait un peu de ménage après la fermeture du café. Je lui dis :
- Samedi Carole va chez ses parents. Elle ne rentrera que tard le soir. Jai sa clé, je vais y aller vers 2 h, elle est au courant !
- Et alors, quest ce que tu veux quça mfasse !
- Je te dis ça à tout hasard !
Pas dautres commentaires, ma mère vient de nous rejoindre, après le film je les laisse tous les deux, vais me coucher. Jai encore envie de lui !
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!