La Gardienne

Devant la plus grande demeure du village une maisonnette sert à la gardienne. C'est une femme ayant bien vécu comme elle dit.
Mais si elle a eu pas mal d'amants, les envies de jouir elles sont toujours là: Elle adore se branler dès le réveil et plusieurs fois par jour si nécessaire. Ce qu'elle aime, c'est se mettre assise, les cuises écartées pour accueillir un gode qu'elle a conservé de sa vie ancienne: elle n'a que 45 ans, mais elle aime être dans cette position, devant un miroir pour regarder son con au moment de la pénétration qu'elle le mette au con ou au cul. Dans ce cas elle utilise l'autre main pour se branler le clitoris. L'autre matin un livreur est venu. Il finissait sa journée et elle lui offre un verre de vin qu'il accepte. Pendant qu'il boit, elle décide de baiser avec lui, après tout il est jeune et doit être assez costaud pour la satisfaire et surtout, il n'est pas du village. Elle lui demande de l'attendre un moment et revient totalement nue: ses seins tombent un peu, mais le reste est toujours agréable. Le livreur ne l'attendait pas dans cette tenue ou plutôt manque de tenue commence à bander. Elle vient se mettre sur ses genoux et l'embrasse: elle sent contre elle la bite du livreur en pleine extension. Elle y met la main et remarque que se sexe est très important: il doit bien faire 18 ou 19 centimètres sur 6 de diamètre, de quoi la rendre plus qu'heureuse: elle aimait les amants ayant une grosse queue. Enfin elle se lève et vient s'asseoir sur la table devant le livreur, les jambes écartées, le con offert pour qu'il soit sucé. La langue du jeune livreur prend possession du con et cherche le clitoris. L'ayant trouvé, la gardienne lui demande de lui mettre trois doigts dans le cul. Il s'exécute meurt d'envie d'y mettre son vit. Elle jouit et lui demande de venir la baiser. Elle se couche sur la table, les jambes pendantes mais ouvertes. Le livreur s'est mis nu à son tour et elle lui fait des compliments sur la taille de sa pine.

Il en est fier et va lui montrer qu'il sait s'en servir. Il rentre délicatement dans le con, mais elle la fait rentrer d'un seul coup de rein. Et une fois en elle, la bite entre et sort comme dans du beurre, mais un beurre vivant qui ne demande qu'à jouir, ce qui ne tarde pas: si elle reçoit une décharge de sperme, elle a un orgasme comme elle n'en a pas eu depuis qu'elle n'a plus baisé. Il lui en faut plus: elle se retourne sur le dos, les jambe pendantes et demande la bite dans son cul: elle aime ça aussi. Ils jouissent ensemble. Mais le livreur commence à présenter des signes de fatigue. Elle sait comment faire: elle lui demande de se mettre sur la table à son tour. Sans trop savoir de la suite, il s'y met et elle se penche légèrement pour mettre dans sa bouche cette grosse pine avec toute la science de la baise qu'elle a elle le fait bander lentement d'abord, puis en y mettant les mains la bite reprend enfin sa taille. Elle lui demande ce qu'il veut qu'elle lui fasse: baiser, enculer, sucer, ou même s'il le veut, l'enculer avec son gode. Rougissant un peu il demande qu'elle le suce mais en l'enculant: personne ne l'a jamais enculé et il voudrait savoir ce que ça peut lui apporter comme plaisir. Aussitôt dit aussitôt fait, la gardienne pose sur le cul du livreur curieux de nouvelles sensations le bout du godemiché et prend la bite dans sa bouche et ayant mouillé le gode à son con, elle l'enfonce dans toute sa longueur dans le cul. Le livreur serre les dents au début, mais il y prend goût, surtout avec sa bite dans la bouche de cette femme. Il jouit entièrement dans la bouche de son initiatrice en sodomie. Il a aimé. Mais devant lui, la gardienne se branle encore pour elle même, juste pour l'envie de donner au livreur l'envie de revenir. Chaque semaine le livreur revient pour tirer un coup ou plusieurs. La plus part du temps il se fit enculer, mis sans être sucer: la bite au cul lui suffit maintenant.