Abigaelle I
Il y a plusieurs mois que nous sortions ensemble, Abigaëlle et moi, et sur le plan de lamour cétait presque parfait. Je dis presque,
car depuis un moment, lidée me trottait en tête de lui faire découvrir dautres réjouissances. Des plaisirs que javais abordés avec
elle, mais qui navaient pas lair de lui plaire.
Je lui avais souvent parlé de mon amie denfance Stéphanie, quelle navait jamais rencontré. Steph était plus quune amie, elle
était ma sur, ma maîtresse, ma confidente, en fait elle était mon double. Quand nous nous retrouvions, nous faisions lamour
avec plaisir. Mais parfois il nous arrivait de rester simplement nus et enlacés, pour le plaisir dêtre ensemble. Steph navait aucun
tabou, et avait déjà de nombreuses expériences à son actif. Abigaëlle savait que nous étions sortis ensemble un moment, mais
elle nen nétait pas jalouse. Par contre, tout le reste elle lignorait.
Abigaëlle et moi ne vivions pas ensemble, mais elle venait me retrouver tous les samedis en début daprès midi. Chaque fois
quelle arrivait, je lui disais quelle avait un corps sublime, et que jadorerais quelle vienne dans mes bras entièrement nue. A force
de persuasion, jétais arrivé à mes fins. Dès quelle entrait dans mon appartement, elle se déshabillait entièrement et me sautait au
cou pour un baiser passionné.
Loccasion dinitier davantage Abigaëlle, se présenta le jour où javais invité Steph à passer le week-end chez moi. Elle était arrivée
le vendredi, et je lui avais exposé mon projet le soir même, alors nous étions sous la couette tous les deux. Steph avait tout de
suite été daccord, et pour fêter cela nous avons naturellement fait lamour.
Ce samedi là en arrivant, Abigaëlle ne changea pas ses habitudes et se précipita nue vers moi. Je métais placé de manière à ce
quelle ne voie pas Steph en arrivant.
-Ferme les yeux, et retourne toi. Tu pourras les ouvrir lorsque je te le dirai.
Ne se doutant de rien, elle obtempéra. Lorsquelle fut face à Steph, je marrangeai pour lui tenir fermement les mains, afin quelle
ne puisse pas cacher sa nudité.
- Mon amie Steph est là pour le week-end, tu peux ouvrir les yeux.
Passé le moment de surprise, et rouge de honte, elle essaya bien sûr de se soustraire au regard de Steph. Cette dernière,
comme nous lavions mis au point la veille, la complimenta sur sa beauté.
- Tu es encore plus belle que ce que mavait dit Joshua. Tu as un corps splendide.
Touchée par ces louanges, Abigaëlle se calma rapidement, et je pus lui lâcher les mains.
- Assieds toi sur le canapé en face de Steph, je vais ouvrir du Champagne pour fêter sa venue.
Cette divine boisson était le pêché mignon dAbigaëlle, et elle adorait en boire, quelques fois avec un léger excès. Steph et elle
avaient très vite sympathisé, et après plusieurs coupes, Abigaëlle, toujours nue, était à présent très détendue.
Tout en devisant avec les deux filles, je commençai à cajoler les jambes dAbigaëlle, celle-ci ne broncha pas. Après être descendu
plus à lintérieur de ses cuisses, jamenai tout doucement Abigaëlle à les écarter davantage.
Jinvitai alors Steph à sasseoir à côté dAbigaëlle. Javais bien remarqué que ce petit spectacle avait émoustillé notre invitée. Cette
dernière posa alors à son tour une main sur les cuisses de Steph. Ny voyant quun geste amical, Abigaëlle la laissa faire. Nous
continuâmes de dialoguer en attaquant la deuxième bouteille. Jorientai discrètement la conversation sur la période pendant
laquelle Steph et moi étions ensemble. Connaissant le caractère latin de mon Abigaëlle, je lançai :
- Si je me rappelle bien, Stéphanie tu embrassais très bien, peut être même mieux quAbigaëlle.
Piquée au vif mon amie répliqua :
- Ca métonnerait fort.
Et elle membrassa passionnément dans la seconde. Jen profitai pour titiller un peu ses seins, puis je répondis :
- Il y a longtemps que je nai pas embrassé Steph, je ne peux plus comparer.
Livresse aidant, Abigaëlle mautorisa à embrasser exceptionnellement Steph. Ce que je fis mais sans trop de passion, pour ne pas
gâcher mon plan.
- Elle embrasse toujours très bien, mais tu es meilleure. Dis-je à lintention dAbigaëlle.
- Le contraire maurait étonné. Rétorqua telle.
- Peut être, mais si tu avais embrassé Steph, tu verrais quelle est tout juste derrière toi.
Avant que je naie eu le temps de percuter, Abigaëlle se tourna vers Steph quelle embrassa à pleine bouche. Cette dernière qui
nattendait que cela, empalma aussitôt les seins dAbigaëlle, quelle caressa comme seule une femme peut le faire à une autre.
Voyant cela, je repris mes caresses entre les cuisses dAbigaëlle. Ce baiser semblant ne pas vouloir se terminer, je guidai une
main de Steph à lendroit où se trouvait la mienne une seconde avant, pour lui indiquer que la voie était libre. Steph sempressa de
me remplacer, et à priori avantageusement, car Abigaëlle écarta sensiblement plus les cuisses.
Après encore de longues secondes, leur étreinte prit tout de même fin. Abigaëlle se tourna alors vers moi en minformant :
- Cest vrai quelle embrasse très bien.
Puis après un instant, en éclatant de rire:
- En plus, elle caresse mieux que toi.
Allez, Joshua, prends ça dans la figure, tu las bien mérité.
En tout cas mon dessein se déroulait bien. Après voir bu une nouvelle coupe, et voyant quAbigaëlle était à présent amadouée, je
lançai un nouveau challenge :
- Mais concernant vos poitrines, Steph, est sans conteste devant toi.
Répondant au quart de tour, Abigaëlle demanda à Steph de prouver mes dires. Notre amie commune à présent, se leva et enleva
son chemisier, elle se retrouva seins nus. Steph ne portait plus de soutien-gorge depuis longtemps. Je renchéris alors :
- Pendant que tu y es, enlève le reste, Abigaëlle se sentira moins seule.
Dix secondes plus tard, Steph était en tenue dEve.
- Allez javoue, mexcusai-je, je voulais voir Steph nue comme toi. Vous avez toutes les deux des seins magnifique.
Les deux filles étaient aussi fières lune que lautre de leur poitrine, et navaient rien à senvier.
Comme convenu, Steph proposa :
- Si lon faisait quelques photos pour marquer ces retrouvailles.
Abigaëlle avait toujours refusé que je la prenne nue en photo, même pas ses seins. Mais encouragée par Steph, elle me surprit en
donnant son accord. Steph renchérit alors :
- Ce serait peut être mieux si lon allait dans votre chambre.
Tout le monde sy dirigea alors avec entrain. Je demandai alors aux filles de me faire une place entre elles, pendant que je réglais le
retardateur de mon appareil. Quelques minutes après, la première photo était dans lappareil. Nouvelle pose, nouvelle photo, et
ainsi de suite, plusieurs fois.
Je proposai alors de ne les prendre que toutes les deux, prise dans leuphorie, Abigaëlle accepta une nouvelle fois.
Après quelques clichés, je ne maîtrisais plus du tout la situation. Les filles se lâchèrent comme lors de leur baiser passionné un
peu plus tôt. Jen profitai pour faire un maximum de photos de leurs ébats.
Abigaëlle appréciait grandement les caresses et les baisers de Steph, mais pas avare, elle les lui rendait bien. En voyant ce
spectacle, jétais de plus en plus heureux de mon idée, mais une nouvelle fois, je nétais que témoin de leurs ébats. Après mêtre
bien rincé lil, et rempli la carte mémoire de mon appareil, je continuai de jouir des différents tableaux quelles me présentaient,
sans oser mimmiscer entre elles.
La soirée était prévue normalement par une sortie resto, mais Abigaëlle déclina loffre, et proposa de rester chez moi. La fatigue et
le champagne avaient eu raison delle. Après un rapide repas, tout le monde alla se coucher. Comme il ny avait quun seul lit, le
problème du couchage fut vite résolu, nous dormirions tous ensemble. Lorsque jarrivai le dernier après la douche, je trouvai
Abigaëlle et Steph profondément endormies dans les bras lune de lautre.
Avant de mendormir, je redoutai le réveil dAbigaëlle, lorsquelle serait dégrisée, et aurait pris conscience de ce quelle avait fait la
veille.
Le lendemain matin assez tôt, je sentis Abigaëlle se lever pour aller à la salle de bain. Un moment plus tard, jentendis la porte de
lappartement se fermer, Abigaëlle était partie acheter des croissants. Je me rapprochai de Steph, qui se colla instinctivement à
moi. Nous restâmes ainsi enserrés dans un demi sommeil.
Ce que javais redouté la veille, se réalisa. Abigaëlle entra dans la chambre, et nous trouva tendrement enlacés. Sur un air pas du
tout plaisant, elle se mit à crier :
- Tu te moques de moi, tu en profites dès que je tourne le dos.
Je ne savais plus où me mettre. Puis, affichant son plus beau sourire, elle annonça :
- Tu crois que je vais te laisser profiter de Steph tout seul.
En quelques secondes, elle se mit nue et vint nous rejoindre pour nous prendre tous deux dans ses bras. Comme il était encore
assez tôt, et après quelques bavardages anodins, nous replongeâmes tous trois dans les bras de Morphée.
Au réveil, Abigaëlle nous annonça quelle nétait pas en forme. Sûrement des reliquats de champagne qui lui embrumait encore le
cerveau. Steph proposa de lui faire un massage, pendant que jirais préparer le repas.
Steph commença par caresser doucement le cou, en descendant lentement vers la poitrine. Ses mains allaient et venaient
amoureusement autour des seins sans oser les approcher. Puis elles se mirent à tourner lentement en effleurant ponctuellement
les pointes dressées. Ce furent ensuite les mamelons qui furent lobjet dune attention particulière. Déjà excités, ces derniers
semblèrent encore doubler de volume et de longueur. Ils dépassaient largement des masses globuleuses, dautant que la langue
de Steph avait remplacé avantageusement ses mains. Abigaëlle était heureuse, en se trémoussant au rythme des petits coups de
langue.
Steph, fit ensuite glisser sa langue vers le nombril, quelle investit rapidement. Juste quelques secondes, puis elle continua sa
descente. Abigaëlle, après avoir ouvert davantage la fourche de ses cuisses, nosa ensuite plus bouger. Steph qui avait lhabitude
de transmettre cette caresse, fit un petit break pour faire réagir Abigaëlle. Cette dernière ne fut pas longue à prendre la tête de
son amie pour lapprocher encore plus de son minou, et la supplier de ne pas sarrêter. Steph nattendait que ce signal pour se
libérer complètement.
Sa langue glissa de lintérieur dune cuisse à lautre, puis revenait à son point de départ. Et reprenait son petit manège, en
sattardant chaque fois davantage sur le point sensible. Abigaëlle se trémoussait de plus en plus, et Steph avait du mal à arriver à
ses fins. La tête de Steph se stabilisa enfin juste au milieu des cuisses, il ny avait plus que sa langue qui sagitait. Abigaëlle
simmobilisa ensuite quelques secondes, avant de pousser un grand râle. Son corps était trempé de sueur comme si elle venait
de faire un marathon.
Steph resta elle aussi figée un instant pour reprendre également son souffle. Puis elle remonta sallonger sur son amie, ventre
contre ventre, seins contre seins, pour un baiser des plus passionnés. Elles restèrent ainsi collées par la bouche un long moment.
Mais Steph ne voulait pas en rester là, elle voulait elle aussi sentir les caresses dAbigaëlle, et avoir son quota de plaisir. Entraînant
Abigaëlle avec elle, elle opéra un savant demi tour pour se retrouver sous son amie. Tout en continuant à lembrasser et à la
caresser, elle la poussa doucement par les épaules afin que la bouche dAbigaëlle se trouve face à ses seins à elle. Abigaëlle reçu
le message et delle-même, après avoir lutiner un moment la poitrine offerte, opéra une lente descente pour se retrouver devant
le ventre de Steph. Cette dernière prit la tête dAbigaëlle, et la guida selon ses désirs. Lélève sembla assez douée car quelques
minutes plus tard seulement, Steph prit son plaisir dans un long feulement.
Lheure du repas arriva rapidement sans que personne ne sen rende compte. Personne nayant ressenti le besoin de se rhabiller,
nous nous mîmes à table toujours entièrement nus. Comme une collégienne, Steph passa discrètement une main sous la table
en verre, pour caresser les cuisses dAbigaëlle. Celle-ci répondit à linvite en écartant ses genoux, et favoriser ainsi la caresse
naissante. Semblant oublier que la table nétait pas opaque, Steph sactivait de plus belle. Voyant ce spectacle, mon sexe prit du
volume et se dressa fièrement.
Jétais heureux du déroulement du week-end, mon plan avait dépassé mes espérances. Abigaëlle avait fait connaissance avec
lamour entre filles, et semblait bien lapprécier. Il y avait seulement une petite ombre à ce tableau idyllique: je navais fait que jouer
les voyeurs. En effet, pas une seule fois les filles navaient pensé à minviter à leurs jeux. Il fallait y remédier assez vite, car Steph
devait reprendre un train bientôt.
Au dessert jintervins assez énergiquement :
- Dites donc les filles, vous passez un bon week-end, mais si vous pensiez à vous occuper un peu de moi.
- Oh ! Le pauvre chéri. On loublie. Commença Steph.
- On va vite y remédier mon amour. Renchérit Abigaëlle.
Comme si elles sétaient données le mot, toutes deux se levèrent et se précipitèrent vers moi. Après une montagne de baisers de
part et dautres, elles magrippèrent et me jetèrent comme un sac sur le lit. A peine eus je temps de me remettre sur le dos,
quelles se couchèrent sur moi pour un nouveau festival de baisers. Linstant daprès, leurs seins me caressaient la bouche sans
discontinuer. Je ne savais plus si je léchais ceux dAbigaëlle, ou si je tétais un de Steph, une vraie pluie de seins.
Une fois lorage passé, les deux poitrines descendirent de concert vers mon bas ventre. Ce furent ensuite leurs chevelures qui
mirent de lélectricité dans mon sexe déjà trop excité. Une langue timide vint caresser lextrémité de ma tige, pendant quune
autre explorait mes bourses. Je les sentis ensuite se rapprocher lune de lautre, puis plus rien. Levant la tête, je vis les deux filles
sembrasser passionnément. Je dus les apostropher, avant quelles ne se prennent trop à leurs jeux, et ne me laissent de côté.
Les deux bouches se déplacèrent pour venir me gober chacune à leur tour. Elles étaient vraiment incorrigibles, car elles trouvèrent
le moyen de sembrasser une nouvelle fois. Cette fois je les laissai faire, car leurs langues se caressaient tout en câlinant mon
extrémité. Jamais je naurais pu rêver plus intense plaisir.
Après en avoir fini avec leur baiser, chacune à leur tour elles vinrent mabsorber pour quelques allers retours. Je nallais pas résister
longtemps à ce traitement. Ce fut Steph qui goûta la première ma semence, en avalant toute la gorgée quelle avait recueilli.
Abigaëlle, qui habituellement ne pratiquait pas cette ingestion, ne voulut pas être en reste, et but le reliquat sans en perdre une
seule goutte.
Le départ de Steph fut douloureux pour Abigaëlle. Les nouvelles maîtresses restèrent longtemps enlacées. De vraies larmes de
tristesse vinrent embuer les yeux dAbigaëlle, et perler sur ses joues. Elle fit promettre à Steph de revenir nous voir souvent.
Abigaëlle, grâce à Steph et moi, avait grandi, et nétait plus la même à présent.
Après le départ de Steph, Abigaëlle et moi eûmes une longue conversation sur le nouveau plaisir quelle venait de découvrir.
Elle convint que le week-end avait été plus quagréable, et que si je le lui avais proposé de but en blanc, elle aurait refusé.
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