30 Balais

Mercredi 29 Octobre. Pour mes 30 balais, ma femme avait décidé de me faire une petite surprise en venant me chercher au boulot.
Il était 20h30 et elle avait planifié de m'emmener manger dans un petit resto sympa, dans le coin. Elle s'était faite toute belle pour l'occasion. C'est à dire, elle s'était mise en jolie petite robe, ce qui, quand on la connaît, est assez rare pour être souligné. La soirée s'est merveilleusement déroulée et me rappelait un peu nos premières années, quand tout était beau, quand tout était rose. Elle était toujours aussi radieuse qu'il y a bientôt 10 ans maintenant. Je la trouvais vraiment belle et plus encore avec la maturité qui s'affichait dans son regard. Mais étant un homme comme les autres, je savais jongler avec art entre romantisme et désir d'érotisme. Et c'est tout naturellement, qu'après quelques heures et surtout quelques verres, je commençais à penser sérieusement au retour à la maison et au plaisir que nous allions nous échanger.
Peut-être est-ce un rictus ou même un regard appuyé qui a trahi mes rêveries, ou bien, tout simplement, le fait que l'on se connaisse très bien, en tous les cas, elle a immédiatement deviné ce dont à quoi je pensais et ce, dans un large sourire qui illuminait son visage. Ce sourire m'en disait long également sur ses intentions, car je la connaissais bien la miss. Ce n’était, certes, pas une "folle" du sexe, elle n'en avait pas un besoin immense comme certaines dont j'ai pu croiser la route à un moment de ma vie, mais quand elle le faisait, c'était grand, TRES grand. Elle s'est alors levée pour venir s'asseoir à mes côtés, sur la banquette et m'a embrassé goulûment, à pleine bouche. Divine sensation. Me glissant à l'oreille de ne pas piper mot et surtout de ne pas bouger, elle a déboutonné mon pantalon, me l'a légèrement descendu de façon à pouvoir y glisser sa fine mimine et avec un naturel, vraiment déconcertant, elle m'a masturbé méticuleusement, pour me faire mettre aux garde à vous délicatement, délicieusement.

Nous étions un peu excentrée derrière un large poteau, dans cette salle quasiment vide de clients. C'est à cause de ce poteau que je me suis mit un bon coup d'adrénaline, lorsque le serveur a surgit de nulle part pour débarrasser et nous proposer un digestif.
Toujours avec une étonnante décontraction, ma femme, elle, continuait de me toucher, en posant sa tête sur mon épaule, simulant un câlin amoureux de fin de soirée, sachant que le serveur, s'il n'y prêtait pas attention, ne pouvait rien remarquer. Elle poussa même le délire à prendre elle-même la commande, culottée. Le bonhomme partit, elle a retiré sa main de mon pantalon et, toujours sans un mot, s'est glissé sous la table. Là, par contre, s'était grillé. Certes les nappes étaient très longues, jusqu'au sol, mais quand même. Aurait-elle fait de même si ces nappes avaient été plus courtes? S'il y avait eu plus de monde dans la salle? Je ne sais pas mais en tous les cas, elle y était et avait entamé une fellation sur ma queue bien dure. A peine une minute après, le serveur est revenu nous apporter les digestifs, me demandant où était madame. Bien sur, dans ces moments là, on est toujours paranos et je me disais qu'il nous avait tout de même surpris et qu'ils allaient nous jeter à la porte. Devenu rouge écarlate, par le stress et surtout par la tentative garder un minimum ma crédibilité, alors qu'elle me suçait en même temps, je lui répondais difficilement qu'elle était aux toilettes et qu'ils pouvait tout poser et s'en aller. Ce qu'il a fait, sans esquisser un geste. En fait, il n'avait rien vu, ni deviné. Du moins, c'est ce qu'il a laissé paraître. Je m'étais fait une frayeur pour pas grand chose. A nouveau seuls, ma femme s'est alors empressé de redoubler d'efforts sur sa fellation, art dans lequel elle est maîtresse. L'excitation de la situation, doublée d'une dose d'adrénaline et saupoudré d'un peu de peur d'illégalité, n’a pas fait de moi l'homme le plus endurant à cet instant. J'ai joui dans sa bouche une dose de sperme qui me paraissait interminable. Elle n'en a pas perdu une goutte. Elle est discrètement remonté à la surface, sans que personne ne la voit, s'est rassise à côté de moi et m'a embrassé, à nouveau à pleine bouche, ou plutôt à plein sperme, parce qu'elle adore faire ça. Les digestifs liquidés, nous sommes rentrés chez nous, comme je l'ai dit auparavant, cette nuit là cela a été grand, TRES grand...