Leslie Transexuelle Chapitre 56

CHAPITRE 56 – Joyce, un amour de transsexuelle.

Chris avait invitée une amie à la maison pour passer quelques jours au soleil, nous l’attendions….
Un jour en rentrant je trouvais un mot de Chris à mon attention : « Joyce est arrivée, je rentre tard ce soir, prends soin d’elle, Chris ». Jacques était en déplacement pour quelques jours.
Je fis un tour complet de la maison et de la terrasse, mais pas de Joyce à l’horizon, je me dis qu’elle devait profiter de la piscine, alors pourquoi pas en profiter ensemble, je me mis nue pour aller me baigner.
Arrivant près de a piscine, elle était là, allongée au du bord du bassin, entièrement nue, paupières mi closes, la tête tournée vers le ciel, la bouche ouverte, de sa main gauche elle caressait sa poitrine, et de sa main droite, elle masturbait frénétiquement sa queue, Joyce est une transsexuelle comme moi, et Chris ne m’avait rien dit, voulant certainement me faire la surprise.
Joyce ne m’avait pas entendue venir et continuais à se masturber, elle se cambra, elle accéléra le mouvement sur son sexe, elle gémit et des giclées de sperme jaillirent de son gland, qu’elle était belle dans la jouissance.
Joyce est blonde aux cheveux taillés courts, grande aux longues jambes, elle a une petite poitrine complètement blanche faisant contraste avec sa peau légèrement halée et un beau ventre plat, sa verge est longue et épaisse avec un beau petit gland rose qui se découvre de son prépuce, la toison est légèrement fournie.
Elle ouvrit les yeux et me vit, elle était extrêmement désirable, les pointes de ses seins gonflées par la jouissance, bref j'étais sous le charme.
Elle se leva et vint vers moi, un merveilleux sourire aux lèvres, ses tétons pointaient vers moi, sa queue était toujours raide.
- Chris ma parlée de toi et elle ne m’a pas mentie, tu es comme moi, je rêve de toi depuis longtemps et surtout depuis que
Chris m’a montrée des photos de toi, me di-elle, de plus les tatouages sur ton corps te rendent encore plus désirable, tu es superbe.

Elle se mit dans mes bras, posa sa tête sur mon épaule et se laissa aller, ses lèvres vinrent à la rencontre des miennes, pour un baiser d’enfer.
La prenant par la taille, je lui dis :
- Viens dans ma chambre !
Et je l’emmenais dans ma chambre la tenant par la taille.
Elle m'a suivie sans un mot, dans ma chambre aussitôt elle est montée sur le lit et a enfouie son visage dans les oreillers, me tendant de suite son cul en cambrant les reins, je me suis agenouillée au bord du lit et j'ai commencée à lécher la raie de son cul, son petit œillet plissé était imberbe. J'ai léchée ses bourses et sucée sa belle queue en la ramenant vers l'arrière. Dans l'oreiller, elle gémissait doucement poussant son cul dans ma direction.
Je suis remontée à son petit œillet plissé que j'ai léché, je l'ai violé du pouce et elle a criée dans l'oreiller d'une voix rauque, son cul serré sur mon doigt, au rythme de mes coups de langue sur sa bite, elle a serrée son anus sur mon doigt, tout en gémissant.
Elle a levée la tête pour me dire dans un souffle :
- Arrête, je vais jouir !
Je lui ai enduit le cul avec du gel.
- Je me sens salope aujourd'hui, a-t-elle murmurée, viens me fourrer comme une salope.
Je lui caressée chacune de ses fesses et je l'ai prise par les hanches, j'ai posée mon gland dans la raie de son cul, puis je l'ai fait glisser jusqu'au creux de son anus et j'ai appuyée doucement, quand le gland est passé elle à sursauter en disant :
- Ohhh !
Elle s'est cambrée et a reculée s'empalant résolument sur mon sexe.
La chaleur de son cul et l'étroitesse me donnait le vertige, en plus le jeu de ses muscles intimes m’étranglait la base du sexe, fichée dans son cul je suis restée sans aller et venir, elle se tordait de volupté me donnant des coups de cul.
- Oui, prends-moi chérie, je suis ton amante anale.
Alors je l’ai prise par les hanches et j'ai commencée à le baiser à fond à grands coups de rein, elle est partie dans son délire, n’arrêtant pas de dire des obscénités :
- Oui, vas y je suis ta salope anale, défonces moi le trou avec ton gros sexe, bourres-le bien mon petit cul.
J'avais le regard fixé sur son anus imberbe, distendu par mon sexe qui allait et venait de plus en plus vite, lui donnant des grands coups de reins pour mieux l’empaler sur mon sexe.
Son anus crispé sur mon sexe j’ai jouis dans son fourreau en longues giclées, elle criait de plaisir, le corps traversé de tremblements, je me suis effondrée sur son dos, complètement vidée et heureuse.
Nous nous sommes embrassées, puis j’ai posée ma tête sur son ventre, j'avais son sexe bandé devant les yeux, une goutte de désir perlait au bout de son gland.
Elle posa sa main sur ma tête pour la pousser vers le bas de son ventre, vers son sexe, je sentais sa demande, elle voulait me pousser plus bas, je pris sa queue entièrement en bouche et je la suçais avidement, de plus en plus vite, elle tremblait et gémissait, elle me tint la tête avec ses deux mains pour imprimer la vitesse des aller et retour, elle se branlait dans ma bouche.
Elle bandait comme une folle, elle m’allongea sur le dos et me mit les jambes sur ses épaules, je sentis sa colonne de chair approcher et se coller à mon anneau, elle poussa doucement, je sentis mes chairs s'écarter, doucement elle entrait en moi, le gland passé, elle attendit un moment, puis, comme pour me provoquer, plantant son regard dans le mien, elle s'enfonça en une fois jusqu'à la garde, j'ouvris la bouche pour prendre de l’air le souffle coupé par la surprise, ensuite lentement elle entama un va-et-vient dans mes reins, elle allait de plus en plus vite, mon corps n'était plus que plaisir, je me tendais, contractais mon anneau sur cette colonne, allant de plus en plus vite, de plus en plus fort, frappant son ventre sur mes fesses à chaque pénétration.
Soudain elle s'arc-bouta, fichée au plus profond de mes entrailles et jouit se déversant au fond de moi.
Ce jour la, nous avons fait l'amour encore plusieurs fois avec les mêmes envies et les mêmes désirs.
Pensant les quinze jours de son séjour ne nous nous somme pas quittées, allant de la piscine à ma chambre, puis comme elle était venue, elle est partie laissant un grand vide dans ma vie, c’est un très beau souvenir que je garde au fond de moi, elle m’a laissée ses coordonnées et secrètement j’attends de la revoir et refaire longtemps l’amour avec elle, et parfois je me dis que si elle voulait je passerais bien ma vie à ses côtés.

A suivre……