Abigaelle Ii
Elle convint que le week-end avait été plus quagréable, et que si je le lui avais proposé de but en blanc, elle aurait refusé.
Je lui fit remarqué que javais dautres idées pour de nouveaux plaisirs, comme celui dinviter un garçon cette fois. Il fallu de
nouveau longuement tergiverser pour quelle consente à essayer.
Javais dans lidée de lui présenter Jimmy, un de mes collègues de travail. Nous lavions rencontré tout à fait par hasard un week-
end au cinéma, et avions été boire un verre après tous les trois. Jimmy navait pas lair de lui avoir été indifférent.
Jimmy est venu nous rendre visite un dimanche après midi, sans être au courant de ce que nous avions projeté. Il avait trouvé
bizarre que depuis quelques temps, je parle souvent dAbigaëlle au travail. Je pense quen venant à la maison, il se doutait un peu
de ce qui allait se dérouler.
Comme lors de la venue de Steph, nous avons commencé par boire du champagne, histoire de mettre Abigaëlle à laise. Cette
dernière était toute en beauté, avec un ensemble mini jupe, chemisier blanc très sexy, qui mettait son corps en valeur. Après
quelques verres, Abigaëlle sallongea, comme prévu, sur le canapé où nous nous trouvions Jimmy et moi. Elle posa ses fesses
entre nous, ses jambes sur Jimmy, et le reste de son corps sur moi. Notre conversation vint à porter sur les beautés de la nature,
Jimmy qui nétait pas avare de compliments, flatta Abigaëlle sur sa beauté. Ce fut pour moi lopportunité de lancer laventure.
- Est-ce que tu voudrais voir quelque chose de magnifique ? Demandai je à Jimmy. Une chose que tu as certainement déjà vu, mais
pas en aussi splendide.
Celui-ci me répondit quil avait hâte de voir cette merveille, en pensant certainement à un quelconque objet.
- Je vais te montrer les plus beaux seins du monde, regarde.
Ce disant, je commençai à dégrafer un à un les boutons du chemisier dAbigaëlle. Celle-ci ne dit rien, mais je la sentais légèrement
tendue. Une fois le dernier bouton dégagé, jécartai doucement les deux pans du vêtement, laissant apparaître la splendide
poitrine.
- Alors quen penses tu ? Est-ce que ce ne sont pas les plus beaux du monde ?
Jimmy ne sut que dire, il ne quittait pas les seins dAbigaëlle des yeux. Je demandai à mon amie de se redresser un peu, et de
poser ses mains en arrière, pour mettre sa poitrine davantage en valeur. Lorsquelle eut pris la pose, je fis glisser son chemisier
sur ses bras, afin de profiter pleinement de tout le haut de son corps.
Je commençai à les cajoler, en incitant Jimmy :
- A les voir, ils sont déjà très beaux, mais caresse les, et tu tapercevras quils sont également très doux.
Il ne fut pas long à réagir, ses mains caressèrent les deux dômes avec sensualité. Abigaëlle ferma les yeux et se laissa aller à nos
attouchements. Jimmy était très doué, car les mamelons pointèrent et devinrent rapidement très durs. Abigaëlle sétendit à
nouveau, pendant que nous continuions nos effleurements. Jenchaînai ensuite :
- Maintenant je vais, ou plutôt, Abigaëlle va te montrer encore plus magnifique. Remonte ta jupe pour lui dévoiler ton minou tout
rasé, quil voie comme il est doux..
Elle tenait les côtés de sa jupe, mais nosait pas faire le geste. Je dus la stimuler un peu.
- Allez ma chérie, fais nous voir que tu es fière de ton corps.
Elle tira tout doucement le vêtement vers le haut, nous faisant découvrir petit à petit son ventre. Je fis alors quelque chose que
nous navions pas mis au point avant, en espérant quAbigaëlle jouerait le jeu. Je soulevai sa jambe gauche puis pris son pied pour
le poser sur le genou de notre invité. Voyant quelle réagissait bien, je pris doucement sa jambe droite, que je plaçai derrière la
tête de Jimmy, en appui sur le dossier du canapé.
Jimmy était tout rouge, comme si cétait lui qui était exhibé. Après une minute dhésitation, je linvitai à aller plus loin :
- Tu peux la caresser comme tu le désires, Abigaëlle adore cela.
Il débuta timidement par le mont de Vénus, en nosant pas saventurer plus bas. Voyant le sourire consentant de ma chérie, il
senhardit à explorer plus intimement le sexe délicieux qui soffrait à lui. Après quelques secondes, il titillait tendrement le petit
bouton déjà luisant, et faisait pénétrer par moment un doigt curieux entre les lèvres humides. Abigaëlle fermait les yeux de plaisir
et commençait à sagiter nerveusement. Je ne voulus pas quelle prenne du plaisir si rapidement.
- On va continuer la « visite ». Dis-je.
- Abigaëlle, tu vas te mettre face à la table sur laquelle tu poseras tes coudes. Ensuite tu écarteras les jambes, et cambrera les
reins pour faire ressortir ta ravissante croupe.
Quand elle eut pris la pose, nous nous sommes approchés delle, et jai alors retroussé sa jupe sur son dos. Jimmy, qui était
maintenant vraiment à laise, nattendit pas mon invite pour lui caresser les fesses.
- Tu as de la chance. Me dit il. Elle est vraiment splendide de partout.
Il porta alors un doigt dans sa bouche, avant de le glisser impudiquement entre les fesses tendues. Abigaëlle ne dit rien, mais se
contracta légèrement, je sentis que nous étions allé trop vite et trop loin. Elle laissa faire Jimmy quelques secondes, puis se releva
en maugréant :
- Cela suffit pour aujourdhui, vous aurez peut être droit à plus la prochaine fois.
Et elle fila à la salle de bain. Jimmy ne savait plus quoi dire, et moi jétais encore plus gêné que lui. Il partit quelques minutes plus
tard.
Lorsque nous fument seuls, Abigaëlle revint vers moi dun air fâché.
plus à des petits jeux comme celui que je venais de lui imposer. Lorsquelle vit que jétais très attristé, elle concéda quavec Steph,
elle avait vraiment eu du plaisir, et quelle était prête à recommencer. Mais elle ne le serait plus avec un garçon. Malheureusement
cette dernière était partie à létranger pour de nombreux mois.
Nayant pas dautres amies comme Steph, je proposai alors à Abigaëlle dinviter une de ses amies.
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!