Abigaelle Iii (1)
Nayant pas dautres amies comme Steph, je proposai alors à Abigaëlle dinviter une de ses amies.
Elle fut daccord sur le principe, mais comme elle ne sortait guère, hormis pour aller à la piscine, ce nétait pas gagné.
Plusieurs semaines passèrent sans que ni Abigaëlle, ni moi ne reparlâmes de ces week-ends particuliers. Javais pensé quelle
navait accepté de me présenter une de ces amies, que pour me calmer, et se faire pardonner son attitude avec Jimmy.
Un jour elle mannonça avec un petit sourire, quelle avait convié Eléanor à passer le dimanche suivant avec nous. Devant mon air
interrogatif, elle mexpliqua que cétait une fille quelle avait connue à la piscine. QuEléanor était très belle, mais très timide, et quil
avait fallu du temps pour quelles soient amies.
Lorsquelle arriva, Abigaëlle ne mavait pas menti, Eléanor était une splendide brune, mais maladivement timide. Mon amie proposa
de boire du champagne, il semble que ce breuvage était le prélude à chacune de nos nouvelles aventures sexuelles. De plus il ny
avait pas de meilleur stimulant, après quelques coupes dégustées, pour mettre tout le monde à laise.
Eléanor commençait à se libérer un peu davantage, bien quelle ne fût guère diserte. Abigaëlle la fit mettre debout sous un
prétexte quelconque, et annonça sans ambages :
- Tu as remarqué, Joshua, quEléanor est très belle, mais si tu la voyais en maillot de bain, elle a un corps splendide.
Celle-ci sous la remarque devint rouge comme une pivoine. Abigaëlle la prit dans ses bras pour la tranquilliser :
- Tu nas pas à rougir, jaimerais être aussi bien faite que toi.
Et cherchant à la câliner davantage, elle approcha ses lèvres de celles dEléanor. Quelques secondes plus tard, elle lui faisait des
petits bisous sur la bouche. Elle continua ainsi à essayer de lembrasser, jusquà ce que Eléanor consente à entrouvrir les lèvres.
Abigaëlle voulait arriver à ses fins, donner un vrai baiser à notre invitée. Lassée de résister ou vraiment séduite, Eléanor avait finit
par entrouvrir ses lèvres, et laisser la langue dAbigaëlle caresser la sienne. Cette dernière avait marqué une victoire, mais ce
nétait que le début.
Elle murmura à loreille dEléanor que cela lui ferait plaisir que je voie quelle ne mentait pas lorsquelle disait quelle était très
désirable. Cette dernière ne pouvait pas être plus rouge.
Abigaëlle, qui tenait toujours son amie dans ses bras, commença à lui déboutonner le chemisier. Après le deuxième bouton,
Eléanor remonta sa main pour lempêcher de continuer. Abigaëlle lui redescendit gentiment mais fermement le bras, en
continuant de la rassurer, et termina douvrir les autres boutons.
Quelques secondes plus tard, le chemisier tombait à terre. Eléanor croisa une nouvelle fois les bras sur sa poitrine, Abigaëlle en
profita pour descendre le zip de la jupe. Avant que cette dernière ait le temps de réagir, la jupe se retrouva à côté du chemisier.
Eléanor avait cette fois une main devant son string, et un bras essayant de masquer son soutien gorge. Abigaëlle qui se plaça
derrière elle, lui fit comprendre que cela ne servait à rien à présent. Elle lui ôta derechef les bras, et les lui maintît dans le dos.
Javais maintenant une vue totale dEléanor en petite tenue, elle avait réellement un corps divin.
Abigaëlle la complimenta à nouveau pour sa plastique, et tout en maintenant les deux mains de son amie prisonnière, elle
commença à lui caresser les seins par-dessus le soutien gorge. Eléanor baissa les yeux, mais ne semblait plus vouloir sopposer à
présent. Après quelques secondes, les deux mains dAbigaëlle câlinaient chacune leur sein.
Abigaëlle murmura quelque chose à son amie que je ne compris pas, celle-ci répondit par un petit signe de tête donnant son
approbation.
Les mains caressantes remontèrent délicatement pour saisir le haut des bonnets du soutien gorge, puis redescendirent aussi
doucement en tenant bien le tissu. Les deux tétons presque déjà pointés apparurent dans toute leur splendeur, puis le soutien
gorge dégrafé à présent, alla rejoindre le reste des vêtements à terre.
Abigaëlle vint ensuite se placer à côté de son amie, et tout en lui dorlotant le visage, lembrassa amoureusement. La main restée
libre profita de ce long baiser pour soccuper des seins que plus rien nentravait à présent. Tout en lui excitant particulièrement
les extrémités des seins du pouce et de lindex, la bouche dAbigaëlle descendit pour embrasser Eléanor tendrement dans le cou.
Cette dernière semblait hésiter entre prendre ses jambes à son cou, ou subir sans ne rien dire. Cest cette option finale qui
prévalu.
Les lèvres dAbigaëlle vinrent à présent soccuper du deuxième sein orphelin. Puis sa langue se réparti également le travail, en
allant de lun à lautre, plus particulièrement sur les tétons fièrement érigés. Ces caresses durèrent un long moment, avant
quAbigaëlle ne se mette à genoux devant son amie.
Ses mains agrippèrent alors les deux côtés du string dEléanor. Celle-ci fit de même, mais pas dans la même intention. Si lune
voulait ôter le dernier rempart à la nudité, lautre défendait tout le contraire. Toutes deux se regardaient droit dans les yeux,
Abigaëlle avec son regard charmeur, Eléanor plutôt préoccupée. Après plusieurs secondes de confrontations silencieuses,
Eléanor se laissa vaincre, et Abigaëlle marqua un nouveau point. Lorsque la petite culotte arriva au niveau des pieds, sa
propriétaire les souleva pour aider Abigaëlle à lui retirer complètement.
Abigaëlle était aux anges, elle était arrivée à ce quelle sétait promis : mettre son amie totalement nue devant nous. Ne voulant
pas brusquer les choses pour cette première rencontre, elle se contenta de poser un chaste baiser sur le Mont de Vénus
dEléanor.
Cette dernière toujours aussi rouge, nous laissa la contempler un moment avant dannoncer quil était temps quelle rentre chez
elle.
En aidant Eléanor à se rhabiller, Abigaëlle lui annonça :
- Je garde tes sous-vêtements en souvenir, tu devras venir les rechercher dimanche prochain.
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