Par Une Nuit D'Orage 2

Le temps s'améliore, mais le bulletin d'alerte est maintenu jusqu'à vingt quatre heure.
Armel est couché sur le dos, il dort. Il est midi.
Audrey sort de la douche toute nue, et monte doucement sur le lit. Elle lève le drap, enjambe Armel, et colle sa chatte contre sa bouche. Elle monte le drap sur ses épaules.
Armel sursaute et se réveille.
-Le petit déjeuner est servi, mon trésor, dit Audrey.
-Vicieuse, répond Armel, et toi tu as mangé ?
-Après, répond-elle, le mâle en premier.
Armel taquine le clitoris d'Audrey avec sa langue, tout en lui caressant les seins.
Pour mieux sentir les caresses, elle tend sa belle poitrine en avant.
Armel sent que sa belle soeur va jouir, tant sa langue se rempli de mouille.
-Salaud, hurle-t-elle, je joui déjà, ha...ha.., que c'est bon, quelle langue, oui..ouiii
Audrey l'embrasse, et lui saisit le sexe.
-Qu'attends tu de moi, demande-t-elle
-Ce que tu veux, répond Armel.
-Un truc que je n’ai jamais fais, poursuit-elle. La sodomie, çà m'a toujours fait peur.
-Tu veux qu'on essaie ? Propose Armel. J'irai doucement, si tu as mal, j'arrête.
Armel se positionne à genoux sur le lit, assis sur ses talons Les dix huit centimètres de queue en érection, attendent.
Audrey recule lentement. Armel récupère un peu de mouille dans la chatte, et humidifie le petit trou de sa belle soeur. Le gland est a l'entrée de l'anus. Armel commence à pousser.
-Cà va, demande-t-il, tu veux que je continue,
-Vas-y mon amour, vas-y.
La queue pénètre entièrement dans le corps d'Audrey.
-Prend mes seins, s'il te plait, fait leur mal.
Armel prend les bouts durcit par l’excitation, et les fait rouler entre ses doigts en leur tirant dessus.
-Aie..aie, gémit Audrey, tu me s salaud. Tu ne peux pas faire pareil avec mon bouton.
Armel glisse une main entre les jambes de sa belle soeur, saisit le petit organe tout décalotté, et joue avec.

-Tu me fais jouir, pleure Audrey, ha..ha..oui, t'arrête pas mon amour, oui..oui. Je sens que tu craches toi aussi, vas-y, vide tes couilles.
Les deux amants s'écroulent sur le lit. Un peu de repos leur fera le plus grand bien.

Après avoir fait l'amour une dernière fois, et pris une bonne douche, ils décident de prendre la route. Il est deux heures du matin. Avec l'état des routes, ils en ont bien pour six heures.
Pendant tout le trajet, Audrey est intenable. Elle pense qu’à tripoter la queue d'Armel.
-J'ai pas mis de culotte, dit-elle, et je suis toute mouillée. Tu sais de quoi ma chatte a besoin ?
Sourire en coin, Armel tend une main entre les cuisses d'Audrey. Il fait tourner son doigt sur le clitoris en feu de sa belle soeur, puis la pénètre avec deux doigts pour la branler.
-Caresse toi le bouton, ordonne-t-il, çà doit être excitant de voir çà.
Audrey obéit.
-Salaud, soupire-t-elle, qu'est-ce-que tu me fais faire. Regarde mon petit bouton comme il est sorti. Et ma chatte comme elle se régale. C'est bon, tu sens comme tu me fais mouiller, je joui, ha...hou..hou, vas-y, tu as pas honte de me faire çà.
Elle rentre deux doigts dans sa chatte pour rejoindre ceux de son beau frère. Elle hurle de plaisir.
-Oh putain, à toi maintenant.
Elle sort la queue en érection d'Armel, et commence à jouer avec le gland.
-Tiens, un nouveau levier de vitesse, ironise Audrey. Il faut bien le décalotter, ce vilain.
Mais, il est fendu au milieu.
Elle se penche, et lèche le méat du bout de la langue. Elle caresse violemment les couilles.
Puis jugeant que son amant était à point, elle lui taille une pipe, toujours en faisant rouler les testicules entre ses doigts.
Armel ne résiste pas longtemps. Les jets de sperme giclent dans la gorge d'Audrey qui avale toute la semence. Elle nettoie le bout avec ses lèvres.
-J'en ai plus appris avec toi en deux jours, qu'en deux ans avec mes copains de passage, avoue Audrey, Que je t'aimes mon dieu. Je vais demander à ma soeur si elle veut bien que je sois ta maîtresse.
-Chiche, répond Armel, je suis d'accord.
Il est huit heures du matin quand ils se garent dans la cour de la villa.
-Bonjour, sourit Carla, enfin arrivés. J'espère que vous avez été sage tout les deux. Oh, et
puis, je peux bien prêter mon mari à ma soeur.
-Enfin, Carla, c'est mon beau frère, répond Audrey.
Armel et Audrey ont un regard complice. Ils rentrent tout les trois dans la villa.