Par Une Nuit D'Orage
Armel, jeune cadre de vingt six ans, regagne le sud-est de la France, après une semaine
en déplacement. Samedi, il fête ses trois ans de mariage avec Carla, une superbe brune de
vingt deux ans.
Il doit récupérer sa belle soeur, Audrey, jolie blonde de dix neuf ans, qui a trouvé un
emploi dans une société de sondage, tout près d'ici.
Il fait un temps épouvantable. La météo a émis un bulletin d'alerte rouge. La radio diffuse
des informations alarmantes. Routes coupées, accidents, etc..etc. Il appelle son épouse.
-Allo, ma chérie, je pourrai pas renter ce soir.
Et Armel explique la situation.
-J'ai vu çà au infos, répond Carla, prend pas de risques. Arrête toi au chalet. Tu appelles
Louis qui te mette tout en route.
-A oui, bonne idée, mais ta soeur, demande Armel.
-Ne l'oublie pas au moins, tu sais que je tiens à ce qu'elle vienne. On est mercredi, çà va
pas durer.
-Bon, d'accord, allez , je t'embrasse.
-Moi aussi mon amour.
Armel raccroche et appelle Louis. Il récupère Audrey, et lui explique la situation.
-C'est embêtant, dit-elle, mais çà va se calmer.
Au bout d'une heure de route, ils arrivent au chalet. Louis à tout prévu. Dans le salon, la
cheminée est allumée. Il leur à même préparé un petit repas. Faut dire qu'il est vingt heure.
-Et bien, qui à fait çà? Demande Audrey.
-C'est Louis, un voisin, dit Armel, un vrai pot.
Il est vingt trois heures quand Audrey décide d'aller se coucher. Bien sur, elle prend la
chambre. Armel, lui, ouvre le canapé. Il se met en caleçon, et se couche, juste recouvert
d'un drap.
Dehors, la foudre redouble, le vent souffle par rafale. Le tonnerre gronde.
Audrey a remonté le drap par dessus sa tête. Elle a peur, elle n'en peut plus. Elle ouvre la porte de la chambre.
-Armel, pleure-t-elle, j'ai peur, j'ai froid.
-A bon, sursaute Armel, mais de quoi, tu risques rien.
-Oui, je veux bien, çà te gène pas, j'ai qu'une chemise de nuit.
-Allez, je sais ce que c'est, viens.
Audrey se glisse sous le drap. Elle apprécie la chaleur. Ils sont allongés sur le dos.
Leur main se frôlent, s'évitent, puis se prennent.
Armel sent la respiration de sa belle soeur qui s'accélère.
-Viens contre moi si tu as froid, propose-t-il.
Il passe un bras autour de sa tête. Elle se blottit contre lui en poussant un soupir de bien
être. Il sent le bout de ses seins à travers la chemise de nuit contre son torse.
Elle sait qu'elle lui fait de l'effet.
Elle fait glisser une main sur le ventre d'Armel, écarte l'élastique du caleçon, et saisit le sexe en érection. Elle le décalotte
doucement.
-Ben mon cochon, dit-elle, c'est moi qui te met dans cet état ? tu sens comme tu es gros.
-Audrey, soupire Armel, on va faire une connerie.
-Je suis prête à la faire, murmure-t-elle. Quitte ton caleçon. On est que tout les deux.
En un tour de main, elle enlève sa chemise. Ils sont nus.
-Quel corps, remarque Armel, que tu es belle.
-Profites-en, gémit-elle, faisons nous plaisir cette nuit.
Elle se penche sous le drap, saisit la queue d'Armel, et commence à le sucer, tout en lui
caressant les couilles.
-Tu as ce qu'il faut mon salaud, dit-elle.
Armel glisse une main entre les cuisses d'Audrey, caresse les lèvres humides et le clitoris.
Elle se relève, jette le drap, et enjambe le corps de son beau frère. Elle lui prend la queueet la guide dans sa chatte toute mouillée. Elle cambre son corps en arrière, pour bien offrirses seins aux mains d'Armel.
-Regarde mes bouts comme ils sont gros, gémit-elle. C'est ta faute,Hein? Caresse les, s'il te plait, j'ai trop envie.
Elle commence a se déhancher sur la bite de son amant. Elle passe sa langue sur seslèvres. Elle se régale.
-Ha...ha...ha...ha.., pardonne nous Carla, mais c'est trop bon.
-Moi aussi je viens, han.. han, t'arrête pas, je me vide, oh putain.
-Vide toi dans ma chatte, mon chéri, tu es à moi là, caresse moi bien les seins, fais moi mal, n'est pas peur. Tu vas voir quand je te chopper les couilles.
Elle lui saisit les mains, et se penche sur lui. Elle plaque sa bouche contre la sienne, et lui forces les lèvres avec la langue. Le baiser est torride.
-Attend, poursuit-elle, je fait te faire la toilette.
Elle avale la queue d'Armel, et lui nettoie le gland à coup de langue. Elle tiens sa promesse. Elle lui prend les couilles, et les serrent légèrement.
-Aie, ne déconne pas, dit-il, çà fait mal.
-Je t'avais dis d'en profiter, répond Audrey.
-Arrête, poursuit Armel, dormons maintenant.
-Ah non, prend moi encore, s'il te plait, supplie-t-elle.
-Tu fais des sondages, ou tu te fais sonder, ironise Armel.
-Salaud, rit-elle. Prend moi en levrette, tu veux bien?
Armel, en ébullition, se met en place. Elle sent le bout de sa queue contre sa chatte.
-Vas-y, donne moi un bon coup de queue.
Il l'a pénètre sans violence. Elle soulève son buste, et lance ses bras derrière la nuque d'Armel.
-Tu vois comme je m'offre à toi, sale mâle, je découvre tout cette nuit. Comme tu me niques
Ma soeur a bien de la chance. Tu l'a fais jouir comme çà, elle ?
-Et toi, petite pute, tu te le fais souvent mettre par tes copains. Ils doivent se régaler.
Leurs cris résonnent dans le chalet. Ils jouissent ensemble.
-Oh putain gémit Audrey, j'ai eu des aventures, mais j'ai jamais joui comme çà. quel merveilleux amant tu es.
-C'est dommage, la console Armel, tu es tellement attirante. Tu mérites d'être heureuse. Bon , on dort maintenant. Tu as plus peur ?
-Si, je veux pas rester seule. Je peux dormir dans tes bras.
-D'accord , répond Armel
Elle lui saisit la queue à pleine main.
-Allez, mon chéri, bonne nuit.
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