Abigaelle Iii (2)

En aidant Eléanor à se rhabiller, Abigaëlle lui annonça :

- Je garde tes sous-vêtements en souvenir, tu devras venir les rechercher dimanche prochain.


Lorsqu’elle fut partie nous avons fait l’amour comme des fous, en souhaitant qu’Eléanor revienne effectivement nous voir.

Dans la semaine suivante, en revenant de la piscine, Abigaëlle était aux anges. En sortant de l’eau, elle avait réussi à obliger
Eléanor à prendre sa douche entièrement nue, et cette dernière avait promis de venir nous voir dés le samedi.

Dès qu’elle fut arrivée, Abigaëlle la prit dans ses bras et l’embrassa tendrement. Eléanor ne fut pas spécialement choquée par
cette attitude, et se laissa aller dans les bras chaleureux. Après quelques banalités d’usage, Abigaëlle informa à notre invitée :

- Comme tu es notre amie, nous allons t’aider à vaincre ta timidité. Une des premières choses qu’il faut que tu essaies de
contrôler, c’est ta gêne d’être nue, en particulier devant nous. Le plus simple pour y arriver, c’est que tu te mettes nue chaque fois
que tu seras ici.

Sans lui laisser le temps de réagir, elle dévêtit Eléanor jusqu’à ce qu’elle fut en tenue d’Eve. Puis la prenant par la main, elle lui
annonça :

- Viens avec moi, on va te faire une beauté.

Lorsque revinrent un long moment plus tard, Abigaëlle était nue également, et Eléanor essayait de cacher son bas ventre. Une fois
les deux amies assises sur le canapé face à moi, Abigaëlle m’éclaira :

- Eléanor ne voulait pas que je lui épile le pubis, il a fallu que je lui montre que moi aussi j’étais sans poil.

Et se tournant vers notre convive :

- Comment veux tu que Joshua voie que tu es très jolie comme cela, si tu serres autant les cuisses.

Elle posa ensuite ses mains sur les genoux d’Eléanor pour les lui entrouvrir, puis continua:

- Ça aussi il faut que tu en prennes l’habitude, de laisser tes cuisses écartées.



Contrairement à la première rencontre avec Èléanor, nous n’avions pas mis de plan au point cette fois, préférant laisser faire notre
instinct en fonction de ses réactions. Abigaëlle me stupéfiait par son attitude, elle allait au devant de tout ce dont je rêvais.

J’avais une vue unique sur l’intimité d’Eléanor, et ma réaction fut rapide, mon sexe commençait à se sentir à l’étroit dans mon
pantalon. Abigaëlle s’en aperçu et en fit la remarque à notre amie :

- Tu as vu dans quel état tu mets Joshua. Nous avons pris une décision te concernant, Joshua et moi. Lui mentit t’elle.
- Comme tu ‘as jamais véritablement connu de garçon, nous allons faire ton éducation sexuelle. Allons dans la chambre, nous
serons plus à l’aise.

Eléanor se mit une nouvelle fois à rougir, mais suivi Abigaëlle jusque sur le lit.

Lorsqu’elles furent toutes deux sur le lit, Abigaëlle déclara à Eléanor:

- Il y a un petit problème, ce n’est pas normal que nous soyons nues, alors que Joshua porte encore tous ses habits. Je te laisse
l’honneur de le dévêtir.

Eléanor hésita un instant avant de s’approcher de moi. Elle se décida enfin à me retirer mon T-shirt. Ensuite elle s’attaqua les
mains tremblantes aux boutons de mon jean. Lorsque ce fut au tour du boxer, elle n’osa plus me regarder. Abigaëlle lui tourna de
nouveau la tête dans ma direction, et la stimula silencieusement. Elle eu un peu de mal, car elle n’osait toujours pas regarder, et
de plus, la protubérance qui pointait ne facilitait pas sa tâche.

Lorsque je fus nu, Abigaëlle prit la main d’Eléanor pour la poser autour de mon sexe, et la maintint quelques secondes dans cette
position en lui disant :

- Tu vois comme c’est chaud, comme c’est dur et doux à la fois. Et dans quelques minutes cette petite chose te donnera
beaucoup de plaisir.

Abigaëlle entraîna alors notre amie avec elle, pour qu’elles s’allongent toutes les deux, et m’invita à faire de même.


Abigaëlle me proposa d’embrasser Eléanor aussi tendrement que nous nous embrassions tous les deux. Pendant ce temps,
Abigaëlle la caressa en commençant par la poitrine. Notre baiser fut presque passionné, Eléanor ne fut pas timide pour cette
circonstance. Voyant qu’elle n’était pas trop effarouchée à mon contact, je m’allongeai alors délicatement sur elle pour un
nouveau baiser. Baiser tout aussi passionné, qui m’encouragea à plus d’audace. Je fis alors des petits mouvements de haut en
bas, en frottant le plus délicatement possible mon sexe sur son bas ventre. Eléanor répondit d’abord maladroitement à mon
invite, puis se mit à suivre doucement mon rythme. Abigaëlle prit mon sexe pour le présenter à l’entrée de la douce caverne
d’Eléanor. Celle-ci eut le réflexe de se contracter, mais se relâcha immédiatement. Je pénétrai avec le plus de délicatesse
possible, sachant que pour elle c’était un tournant de sa vie de jeune fille qui allait se dérouler.
Lorsque je fus entièrement à l’intérieur, Eléanor laissa couler quelques perles de ses yeux. Je ne sus pas si c’était de douleur
physique, ou morale d’avoir perdu sa virginité. Reprenant rapidement ses esprits, elle m’embrassa à nouveau ardemment. Je repris
mes mouvements jusqu’à ce que je sente qu’elle se contracte de plaisir. Elle eut un orgasme, mais je ne saurais dire à quel degré.
Cette fois ce fut une véritable fontaine qui coula de ses yeux.

Abigaëlle inquiète de tant de pleurs se rapprocha davantage pour la consoler. Lorsque Eléanor peut enfin parler, elle nous expliqua
:

- Je ne pensais pas que c’était ça l’amour, je croyais que c’était vraiment horrible la première fois. Si mes premières larmes étaient
de regret, les dernières étaient véritablement de plaisir, même si je ne l’ai guère exprimé physiquement.
Nous sommes encore restés un long moment tous les trois dans le lit, à nous câliner tendrement avec plaisir.


Avant de partir, elle, si peu loquace habituellement, n’arrêtait pas de parler.

- Je vous remercie de m’avoir fait connaître ce bonheur. Toi Joshua, qui a été si prévenant et si doux pour cette première fois. Mais
surtout toi Abigaëlle, qui a bien voulu que ton chéri me fasse l’amour. Je n’ai jamais été si heureuse.

La pauvre, elle ne se doutait pas que, malgré elle, c’est nous qui étions arrivés à nos fins. Mais il nous fallait continuer, pour lui
montrer que l’amour ce n’était pas seulement cela, et que nous avions encore de nombreux projets pour elle.

Comme le dimanche d’avant, Abigaëlle en aidant Eléanor à se rhabiller, lui confisqua une fois de plus ses sous vêtements. Elle lui
précisa :

- Je garde tes habits, car tu n’as pas retenu la leçon. Tu reviendras les chercher le week-end prochain.

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