Trois Beaux Blacks

Ce soir là, Patrick et moi avons passé la soirée dans un restaurant antillais. Le repas terminé, nous nous descendus au sous-sol où se trouvait une boite. Nous avons passés plusieurs heures à danser. Je me suis vite retrouvée entourée par des danseurs.
J'aime la danse contrairement à Patrick qui se contentait de siroter son punch en me regardant. Je me suis vite retrouvée à danser en compagnie de trois beaux noirs et d'une femme. Au bout de quelques heures, les hommes semblaient se connaître depuis des années. Je fus très déçue quand Patrick me donna le signal du départ. Avant de récupérer notre vestiaire, il m'invita à boire un dernier verre au bar, et se moqua gentiment de ma déception. Je reconnaissais facilement que je me serais bien laisser faire par mes danseurs.
Nous sortions quand une voiture stoppe à notre hauteur. Un de mes danseurs me sourit en ouvrant sa glace et me propose de me ramener. Il n'est pas seul, les deux autres l'accompagnent, ils n'ont pas l'air effrayant. A ma grande surprise, la danseuse descend de la voiture, et me pousse vers ses compagnons. Je tourne la tête cherchant l'accord de Patrick qui me le donne en hochant la tête. J'ai un pincement au coeur quand je le vois passer son bras autour des épaules de la fille qui m'avait poussée vers la voiture.
Qu'est-ce que je risque? Je monte dans la voiture et nous voilà repartis.
Je porte une jupe courte. Des mains s'égarent sur mes cuisses, sur mes seins. Je sens ma chatte mouiller et j'imagine trois belles queues noires, tendues à ma merci. Le ventre me fait mal; et j'ai soudain envie de baiser. L'un d'eux propose de prendre un dernier verre chez lui.
Ils me font boire et je suis vite à leur merci. Ils me pelotent et me déshabillent, des sifflements admiratifs accompagnent leurs gestes:
- Oh! Les beaux seins!
- Oh! Le joli cul!
- Quelle belle chatte !
Tout à coup l'un d'eux dit:
- Allez, suce-moi, je n'y tiens plus!
Très vite, je prends sa queue en bouche et il ne tarde pas à m'en mettre plein la gorge et je dois avaler, et pendant ce temps-là.

Son copain s'est plaqué à moi et m'investit la chatte. Je suis distendue au maximum, et à grands coups, il me laboure le ventre. Il ne tarde pas à jouir.
Le troisième attend son tour. Et quand il pointe sa queue sur mon cul. j’ai un peu peur. Il pousse et je ne peux me retenir de crier.
Ça y est, il m'encule! Je gémis et déjà, un autre a son pal au fond de mon gosier; tandis que l'autre me trait comme une vache.
Jusqu'au matin. Ils se sont relayés.
J'ai été baisée une bonne dizaine de fois, enculée quatre fois, et toute la nuit j'ai dû lécher et sucer ces trois beaux boudins noirs.
Mais le plus fort, au petit jour juste avant de partir. Alors que l'un des trois s'était endormis, les deux autres ont voulu que je les prenne ensemble! L'un d'eux s'est allongé et je me suis empalée sur sa grosse queue, et quand le deuxième a pointé sa queue sur mon cul déjà dilaté par les visites précédentes, ce fut vraiment très fort! J'ai hurlé de douleur et de plaisir. Je ne sentais plus mon ventre ni mon cul, j’étais distendue à fond, on aurait dit qu'on m'ouvrait à l'aide d'un coin. Mais très vite, la jouissance a pris le dessus et je me suis mise à jouir en permanence. Et quand ils eurent juté en moi, je les ai implorés de rester jusqu'à ce que leurs queues deviennent flasques. Un taxi me ramena chez Patrick, la noire monta dedans en m'ayant embrassée au coin de lèvres en me disant à bientôt.