L'Éducation : Chapitre 2
LEducation dune salope.
Chapitre 2
Le lendemain au petit déjeuner, Sophie et Bertrand firent comme si rien ne sétait passé. Moi, par contre jétais terriblement gênée, je gardais la tête dans mon bol, je nosais pas affronter le regard de mes patrons. Eux parlaient comme sil sagissait dun matin ordinaire, ils semblaient même prendre un malin plaisir à être encore plus naturels que dhabitude. Jétais au supplice. Comment après ce qui cétait la veille au bord de la piscine, comment pouvaient-ils deviser de tout et de rien, avec futilité. Javais sucé mon patron pendant que sa femme se régalait de mon intimité, ils avaient fait lamour devant moi, et ils étaient là à manger leur croissant et à boire leur thé en toute inconscience.
-Un croissant, Vicky ? dit Sophie.
-Non, merci, je nai pas faim.
Et en plus elle mappelle Vicky ! La honte sempare à nouveau de moi. Comment ais-je pu me laisser aller, comment ! Je me suis conduite comme une traînée !
-Ecoute, chérie, reprend Sophie, ce qui cest passé hier soir dans la maison du fond du parc, nest que le début dune grande aventure qui commence pour toi
et pour nous aussi. Tu es une fille bien, avec un grand potentiel érotique. Tu ne ten rends pas compte, parce que personne ne te la jamais dit, jamais prouvé. Depuis que je tai vu, je sais que je vais faire de toi, une grande salope, une immense salope. Tu as un corps à faire bander un mort et à rendre folle de jalousie ou de désir, les femmes que tu vas croiser. Tu vas faire manger tout le monde dans ta main, rien quen agitant ton joli petit cul de pute. Nest-ce pas chéri ?
-Cest sur, et si je navais pas eu peur de te faire fuir, je taurais bien baisé autre chose que la bouche, hier soir !
-Tu vois mon avocat de mari est daccord avec moi
et nos amis que tu sers à table chaque premier vendredi du mois, ne rêvent que de te posséder, les hommes comme les femmes. Maitre de Chazot et sa femme ne tarissent pas déloge sur toi.
Elle sapproche de moi et commence à défaire la ceinture de mon kimono. Elle me pétrit les seins à travers le satin de ma nuisette.
Bertrand se colle à moi, écarte mes cuisses pour vérifier que je mouille bien. Ses doigts titillent mon bouton damour, avec douceur, puis avec plus de pression. Je perds à nouveau pied, comme hier soir. Je ne suis vraiment quune fille de rien, qui se met à gémir dès quon lui astique le bonbon. Les caresses de Sophie se font plus pressentes. Elle a glissé sa main sous ma chemise de nuit et me le bout dun sein. Leurs mains semblent animées par un même but, me faire jouir.
-Tu vois bien que tu aimes ça ! Tu es faite pour lamour, pour le sexe, insiste Sophie. Cela fait déjà trois semaines que Bertrand et moi on rentre plus tôt le dimanche soir et quon tobserve quand tu toccupes de ton joli fruit juteux. Bertrand a même pris des photos quil a déjà montrées à nos amis. Ils ont hâte de profiter de ton beau corps de salope. Bertrand et moi on va dabord tout tapprendre, on va faire de toi la reine des salopes, une pute qui va faire exploser les braguettes et mouiller les culottes du tout
Paris. Mais attention, il faudra nous obéir, au doigt et à lil ! Tu devras faire tout ce quon te dit, accepter tout ce quon ordonnera de toi. Pendant les trois ou quatre semaines à venir, tu seras notre esclave sexuelle. Tu devras toujours être prête à écarter les cuisses sur lordre de Bertrand ou sur le mien. Pour cela, aucun sous vêtement dans la maison. Dès que tu seras rentrée de la fac, tu iras prendre une douche et tu enfileras la tenue que je ferai posée sur ton lit dans la journée. Cest pour ainsi dire la même que celle que tu portes lors des dîners du vendredi, mais celle-ci est un peu transparente et senlève plus facilement.
-Tu peux dire partouze, ma chérie, il est temps que cette ingénue apprenne le vocabulaire libertin.
-Est-ce que tu as bien compris tout ce que lon vient de te dire.
-Oui.
-Ah ! Joubliais, durant ton apprentissage, il ny a plus de Bertrand ou de Sophie qui tiennent, tu devras dire Maitre et Madame. Cest clair ?
-Oui.
-On dit oui Madame ou oui Maitre.
-Oui, Madame.
-Cest bien, tu es une bonne fille. Une dernière chose, pas question de te relâcher dans les études. Tu dois continuer à travailler ton droit avec application, car tu feras, jen suis sure, un très bon avocat... Si tu fais tout ce quon te dit, tout ira bien, sinon, nous serons obligés de sévir et gare aux punitions
Lesthéticienne va arriver dune minute à lautre. Tu verras elle est très sympa
Elle repassera pour tépiler, chaque fois que cela sera nécessaire...
Fini les galipettes pour ce matin. Bertrand et moi partons au palais ce matin, nous rentrerons vers 17 heures, tâche dêtre prête car ta première leçon de salope commence ce soir. Daccord ?
-Oui Madame.
-Au fait tu plais aussi beaucoup à Marie, la cuisinière et comme elle connaît parfaitement nos méthodes déducation, tu devras lui obéir comme à nous. En notre absence, elle a les pleins pouvoirs sur toi. Maintenant mange un peu, à ton âge on a faim.
Je me jette littéralement sur les deux croissants qui restent dans la corbeille. Jai juste le temps de prendre une douche et lesthéticienne sonne au portail.
-Ne fais pas cette tête de prude, on a vu les photos que Monsieur à prise de toi en train de te triturer la fente, intervient Marie. Tu as une bien belle chatte et elle sera encore mieux, une fois que Rose laura débarrassée de tout poil. Et puis tu verras, une chatte bien épilée, cest beaucoup mieux pour le broute minou
et pour tout le reste dailleurs ! Nest pas Rose ?
-Tu as raison, et pour la vue, cest plus agréable, on voit bien le bouton se gonfler. Viens, suis-nous. On va dans le salon privé de
Madame la Juge. Il y a tout le nécessaire pour faire une beauté à mon mont de Vénus. Après pour te détendre, je te ferai un bon massage.
-Bien Madame.
-Tu peux mappeler Rose et me tutoyer. On est appelé à se voir souvent. Les employés de Maitre Bertrand et de Madame la Juge forment une grande famille. Pas vrai Marie ?
-Vrai, ma chérie.
Et elles sembrassent à pleine bouche, et elles se caressent
Puis Marie se retourne vers moi, me prend la taille, me fourre sa langue dans la bouche et me roule un patin denfer. Je me laisse faire, Madame ma demandé dobéir à la cuisinière
Ce baiser me trouble et jy réponds avec ardeur.
-Ils ont raison, les patrons ! tu as un vrai potentiel de salope
à peine quelquun te fourre quelque chose dans la bouche, tu te mets à sucer comme une chienne
Tu veux goûter Rose ?
Rose prend à son tour possession de ma bouche et en même temps glisse sa main entre les pans de mon kimono pour atteindre mon entrecuisse. Elle me caresse avec tant de douceur que je parviens rapidement à la jouissance, dautant plus vite que Marie sest placée derrière moi et me triture les tétons :
-Vas-y ma petite pute, laisse-toi allez.
Tout en parlant Marie sest agenouillé derrière moi. Elle mécarte les jambes, les fesses et je ne tarde pas à sentir sa langue qui ségaille entre mon illet brun et mon abricot. Je ruisselle, elle lape mon suc. Rose membrasse toujours et nous nous pelotons les seins réciproquement. Elle me pousse lentement vers le lit, mallonge et se positionne à cheval sur moi, son con au bord de mes lèvres.
-Lèche-moi, goûte comme cest bon une figue complètement épilée. Fourre ta langue dans ma caverne, lape mon nectar. Cest bon, tu aimes ça. Cest la première fois que tu suces une femme ?
Je fais oui avec la tête sans arrêter mes coups de langue.
Et bien, ma salope, on dirait que tu as fais ça toute ta vie.
-Madame la Juge ne sy est pas trompé, reprend Marie. Je ne crois pas quil lui faille plus de quinze jours avant doffrir cette jeune esclave délurée aux soirées du vendredi. En plus je suis sure quelle va être ravie des photos que je viens de prendre pendant quelle te suçait le bonbon. Quelle salope, tu fais, ma Vicky !!! Bon maintenant assez jouer, passons aux choses sérieuses. Rose tu nes pas venue ici pour te faire brouter la pelouse, mais pour débroussailler le buisson de cette chienne en chaleur.
Je trouve de plus en plus excitant dentendre parler de moi, devant moi, comme si jétais un simple objet. Je me sens lâme dune soumise. De toute façon quest-ce que je pourrais être dautre, je nai aucune expérience sexuelle et tous ces gens se proposent de méduquer, de faire de moi une experte de lamour. En échange, je peux bien leur sacrifier un peu de mon libre arbitre. Le jeu en vaut bien la chandelle. Il y a à peine deux mois, jarrivais de ma province, naïve comme une oie blanche et aujourdhui, je suis complètement nue, entre deux filles habillées, elles, même si leurs vêtements sont un peu de travers. Elles viennent de profiter de mon intimité et je les ai moi-même peloté et sucé. Elles me guident vers le salon particulier de Madame la Juge, en devisant entre elles sur mon cul de salope, ma bouche de salope, mes nichons de salope
La situation est absolument folle
mais je crois que jaime ça.
On arrive devant la porte du salon de Madame. Je ny suis jamais rentrée, en général cest toujours fermé à clef, mais il semble que Marie est accès à toutes les pièces de la maison. Au centre de ce salon trône une table comme on en trouve chez les médecins avec des étriers pour pouvoir lever les jambes. Un drap blanc recouvre le skaï. Sur les étagères des pots de crème, des bâtons de cire sont bien alignés. Dans un coin de la pièce se trouve un espalier et juste à côté un vélo dappartement dont la scelle me paraît étrange sans que je puisse dire pourquoi : elle est trouée ! Dans cet endroit tout semble surprenant, jusquà ce rideau épais qui semble cacher encore quelques bizarreries.
-Allonge-toi sur la table. Je vais dabord tépiler les jambes, puis les aisselles et enfin Marie taidera à passer les pieds dans les étriers, pour que je te fasse le maillot intégral. La position nest pas des plus agréables, mais cest plus pratique pour moi. Il faudra recommencer environ toutes les trois semaines, tu es blonde, les poils repoussent moins vite. Je te préviens la première fois cest un peu douloureux. Mais tu nas pas le choix : Monsieur et Madame naiment pas les poils. Ils trouvent quune chatte bien lisse cest plus présentable.
Tout en parlant Rose en profite pour me taquiner le pistil qui réagit au quart de tour.
-Vraiment Rose, tu es incorrigible. Tu es là pour bosser ! on est déjà en retard avec ses conneries toute à lheure dans la chambre de la petite ! Alors au boulot !
-Si on ne peut plus flatter la marchandise maintenant, et puis toi non plus tu ne crachais pas dans la soupe. Tu las bien astiqué la petite pute, tu tes bien régalé avec son jus, ose dire le contraire ?
-Bien sur, mais si elle nest pas prête quand les patrons rentrent je vais encore être punie ! Jaime plutôt bien ça, mais là je ne voudrais pas prendre à cause de toi !
Punie, mais quest-ce quelle veut dire. Déjà ce matin, Madame ma parlé de sévir si je nobéissais pas ! En plus Marie dit quelle aime ça, les punitions. Ce ne doit pas être si terrible car elle a lair de ce plaire dans cette maison. Rose me tire de ma réflexion en tirant dun geste rapide sur la bande de cire quelle avait placée sur ma jambe.
-Aie !
-Je tavais prévenu, et encore les jambes ce nest rien. Quand on en sera aux aisselles et surtout au maillot, je te passerai une crème anesthésiante, ça nest pas efficace à cent pour cent, mais ça soulage bien.
Avec application, Rose soccupe de rentre mon corps quasiment libre de tout poil. On arrive a moment crucial. Marie prend mes jambes pour les attacher dans les étriers.
-Cest pour éviter les coups de pied intempestifs.
Elle mattache aussi les mains
-Ça, cest pour éviter les baffes. On nest jamais assez prudente.
Comme elle lavait fait pour mes aisselles, Rose me badigeonne le mont de Vénus de la crème supposée prévenir la douleur.
Cest un peu froid
Elle étale la bande, lapplique bien avec le plat de la main et tire dun coup sec. Avant que je naie eu le temps de crier, Marie ma fourré sa langue dans la bouche. Elle caresse aussi mes nichons avec douceur.
-Il faut détourner lattention. Si je parviens à te faire jouir, tu oublieras la douleur.
Durant toute la séance, jessaie de me concentrer sur la langue de Marie, qui se promène de ma bouche à mes seins. Ses mains prennent parfois le relais de ses lèvres. Elle est vraiment très forte, car je ne sens presque plus rien au niveau de mon pubis.
Quand tout est terminé, Rose passe sa langue chaude sur toutes les parties de mon anatomie intime quelle vient de maltraiter
comme pour se faire pardonner.
-Cest bien, ma Vicky, tu as été courageuse, tu mérites une récompense.
Et sans me détacher, Rose et Marie prennent possession de mon corps quelles couvrent des caresses jusquà déclencher un orgasme torride. Elles membrassent avec fougue. Je suis arasée de jouissance.
Elles me raccompagnent dans ma chambre, me couche délicatement dans mon lit et après un dernier baiser, elles me laissent seule. Je passe le reste de ma journée à dormir. Cette première journée dans ma nouvelle vie de salope, ma épuisé
pourtant je ne suis pas au bout de mes surprises
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