Le Petit Short Noir (Episode 2)
Le lendemain, mes pensées furent totalement happées par la séance de sport du soir. Jespérais quelle soit là et pour tout dire, je craignais son absence. Cela me mettait mal à laise, mais avec beaucoup de persuasion, je pus finalement me convaincre que cette fille nétait quune passade et quelle était venue pour samuser et tester sa séduction, et quen définitive, elle ne serait pas là le soir même, ni les autres soirs. Je trouvais à cette déduction une sorte de sérénité, mais à mon arrivée à la salle, elle était déjà là, sans son frère cette fois. Il y avait juste avec elle, Eric, un copain assez timide et qui se tenait à lécart, mal à laise sans doute de se retrouver avec une beauté aussi brute et assez sauvage. Cathy elle-même ne semblait pas apprécier cette présence et à mon arrivée, elle me désigna tout de suite la salle dun regard impatient :
- « Tu viens, on y va ? »
- « On nattend pas les a
! Bon cest pas grave, ok, on y va ! »
Je me sentais mal à laise de changer mes habitudes avec les copains, mais mon cur sétait mis à battre la chamade et cette nana mattirait comme un aimant dans son monde de brusquerie un peu naïve, si loin des conventions dusage. Ca me plaisait finalement de remettre tout cela en question.
Une fois que nous fûmes rentrés, je me dirigeai vers les toilettes :
- « ça te gène pas si je pisse un coup avant de te laisser la place ? Avec ce froid jai une envie à mourir. »
- « Non, mais je rentre aussi ! Jai pas envie que tu me laisses avec laut pingouin là ! »
Puis elle entra dans les toilettes et referma à clé derrière elle.
Enfermée avec elle dans ce cabinet intime, je savais que mon compte était bon vis-à-vis des autres. Jen haussais les épaules et vidais ma vessie, qui était lurgence prioritaire à régler. Je la vis se changer derrière moi, enfiler un mini string blanc sur sa chatte fraîchement rasée, puis son merveilleux petit short noir.
Lorsque je tirai la chasse deau, et mapprêtai à refermer ma braguette, elle me prit par les épaules, me retourna vers elle et lança une illade rapide vers mon sexe.
- « Jtai pas encore dit bonjour aujourdhui, mon chéri
» Puis elle saccroupit, sentit mon sexe doù pointaient encore mes dernières gouttes durine et se mit à me le lécher délicatement en me regardant avec un air coquin. Ma bite commença à se redresser, ce qui la fit sourire et elle engouffra comme la veille mon gland sans se servir de ses mains, me le nettoyant au passage. Elle descendit la langue vers mes couilles et me les mordit gentiment, avant de me sentir de nouveau.
- « Elle sent pas aussi fort quhier soir, ta bite
»
- « jme lave de temps en temps tu sais ! Mais si tu veux après la séance, on peut aller chez moi ; jte ramènerai après. »
- « Non, jreste chez toi ! Jai dit à mes parents que je dormais chez une copine. Tas envie que jdorme avec toi ? » Puis elle engouffra ma queue jusquà la garde.
Une nouvelle fois, elle me prenait de court (contrairement à ma queue, je sais
). Jétais aux anges quelle maccorde les mêmes attentions que la veille dès son arrivée ; mais elle allait vite, continuant de piétiner tous les tabous sociaux.
Je la regardais se gaver de ma queue sous un sourire animal et ne pus que lui répondre :
- « Oui
Jen ai envie ! »
- « Hehehe ! » Contente de ma réponse, elle laissa alors ma queue rigide et attrapa dans mon sac mon cuissard de la veille.
- « Tiens, mets le maintenant ! »
- « Non, jai pris un short ! Celui-là est pas lavé. »
Elle porta mon cuissard à ses narines et aspira un grand coup.
- « Hummm ! Ca jaime bien ! Ca sent le foutre et la bave dhier
Tu ne vas pas débander de la soirée avec ça ! Et puis tiens, rgarde bien mon gros cul puisquil te plait ! » Elle remonta alors son short coton à mi-fesses. « Jen envie qutu mbaises toute la nuit !!! » Puis elle menfila mon cuissard sur ma queue rigide et sortit des toilettes en me tirant vers la salle par la main.
A ma grande crainte, bite totalement dressée, je vis que tout le monde était là
Comme cela devenait une habitude maintenant, tout le monde nous regarda, elle dabord, sûre de son fait et totalement insouciante à lidée de montrer une bonne moitié de son cul à lassistance alors quelle était si timide la veille à son arrivée dans le groupe, puis moi, pauvre victime de cette ta, presque ridicule avec ce cuissard déformé par mon envie insatiable de baiser cette coquine au plus vite et qui se comportait comme un compagnon docile alors que javais 9 neuf ans de plus quelle.
Elle sinstalla sur le seul équipement libre, un stepper, sorte de machine archaïque en ferraille avec des emplacements de pieds pour géants ; mais elle était décidée et rien ne la ferait changer davis je le savais.
- « Génial, je vais pouvoir perdre des fesses cette fois ! Allez, jcommence, après cest à toi !»
Je ne savais plus quoi dire, dautant plus que le miroir qui faisait face à la machine me renvoyait le regard amusé de mes copains de sport, qui trouvait là une vengeance légitime au soudain désintérêt que jaccordai à leur groupe pour des plaisirs peu avouables.
Cathy ne sen offusqua pas et commença à pousser sur le step qui faisait un bruit épouvantable et accroissait lattention des autres acteurs de la salle.
Ils nen perdaient pas une miette dailleurs. Les fesses de Cathy leur étaient livrées sur un plateau, dautant plus que son exercice la forçait à se déhancher et que son short ridiculement petit sétait vite enfoncé dans sa raie magnifique.
Elle en fut consciente, car elle ne pus sempêcher de sourire en voyant dans la glace le regard insistant des autres, mais accentua plus encore son mouvement de fesses.
Ce qui me restait dhonneur étant bafoué, jen profitai pour lencourager dune claque vigoureuse.
- « Allez pousse plus fort si tu veux vraiment un cul dathlète. Clac !!! »
- « Hé, tu vas mfaire une marque ! » mais elle roula des fesses plus encore en se penchant en avant et en me glissant une illade denvie.
- « Tu veux que jte prenne là tout suite ? » dis-je en caressant discrètement ma queue dressée.
- « Tes fou ! » chuchota t-elle. « On va tentendre. Y vont sdouter de quelque chose
»
- « Mais non ! » ironisai-je. « Jvois vraiment pas pourquoi ! Bon alors, tes sûre ? »
- « Arrête ! Attends ce soir
Tu vas voir, jvais être bien musclée ! Tu pourras pas résister »
- « Ecoute
» Dis-je en me rapprochant delle, sérieux, « viens, on sen va, jai trop envie dtoi. »
- « Humm, cest vrai ? » elle continuait à accen son déhanchement de fesses.
- « Faut qujte baise, jen peux plus ! »
- « Et si jvenais plus finalement
» demanda t-elle espiègle.
Je la fixai incrédule et rouge dune colère soudaine.
- « Va te faire foutre ! Jen ai marre de ton cinéma, jme casse ! » Puis je partis prendre mes affaires dans les toilettes.
- « Attends ! » Jentendis derrière moi la machine sarrêter dun coup et elle mappela.
Mais je sortais de la salle, énervé. Au moment où jarrivai à ma voiture, je lentendis courir vers moi.
- « He, tu fais chier, tu vas mlaisser toute seule avec tous ces cons ! »
Je la fixai lair méchant sans répondre. Son expression changea, puis elle vint se coller contre moi et mit ses bras autour de mon cou.
- « Tu me pardonnes dis ? »
Je ne répondais toujours pas, mais mon regard sétait adouci un peu malgré moi.
- « jaime bien quand tu tmets en colère
Ca me donne encore plus envie, tu sais ? Bon tu memmènes, parce que moi aussi, jai vachement envie maintnant ! »
Baratin ou pas, je lui ouvris la portière et nous partîmes en silence vers mon appartement de célibataire.Une fois sur place, elle porta un regard circulaire à mon logement, fit la moue, puis partit finalement dans la salle de bain.
Une bonne demi-heure plus tard, après que je me fus douché moi aussi et eut enfilé un peignoir, je la trouvai affalée dans le canapé, resplendissante, avec un paquet de chips dans les mains et une bouteille de coca.
- « Tu veux perdre des kilos et tavales ces cochonneries ? »
- « Pourquoi, tas autre chose à me faire avaler ? »
Je ris en hochant la tête à sa plaisanterie, puis vint me coller à elle.
- « Tu mfais un massage ? Jai des courbatures dans les fesses. Jai trop , jcrois »
Puis sans attendre ma réponse, elle se mit sur le ventre et retira son tee shirt. Je pouvais voir la petite ficelle de son string senfoncer entre les rondeurs de son fessier.
Je fis mine de lui masser le dos quelques secondes, puis très vite descendit vers ses reins.
Je faisais des grands mouvements circulaires pour me permettre de lui presser les globes fessiers à pleines mains dans un massage plus érotique que récupérateur. Elle grognait daise, visiblement peu déçue que jabandonne le massage du dos et des épaules, tant prisée pourtant par les femmes.
- « Ouais là, vas-y cest là que jai mal ! »
Jen profitai pour lui retirer son string et je pris ses fesses une à une, à pleines mains, les écartant pour bien voir son petit trou culier. Son anus était foncé et bien rasé. Sa chatte, elle, était rose et légèrement humide, mais cest son cul qui menvoûtait.
Plusieurs fois, je passai un doigt puis deux sur sa petite rosette ; jen profitai aussi pour masser ses grandes lèvres sous ses gémissements étouffés.
- « Ah, cochon, ten profites ! »
- « Tu veux qujarrête ? »
- « Nan ! Non, surtout pas ! Tu fais ça bien
»
Jappliquai un baiser sur ses fesses en les mordillant tendrement, puis commençai à les lécher en me rapprochant peu à peu de sa vulve. Elle écarta un peu les cuisses pour me faciliter le passage et je me mis à aspirer ses lèvres juteuses entre les miennes, avant de lui titiller le clitoris. Je continuai pendant une trentaine de secondes en pressant ma langue de plus en plus.
- « Ooooh ! Oh oui
» Elle gémissait en se mordant une de ses mains.
Puis lentement, je me rapprochai de son petit trou. Je sentais son odeur musquée et commençai à écarter ses fesses à fond pour rentrer ma langue dans son anus. Puis ma langue sactiva pour lui humidifier la rondelle dun gros paquet de salive. Javais envie de la prendre tout de go et je maperçus que ma queue était sortie de mon peignoir.
Comme la veille sur le tapis roulant à la panne délectricité, je me retrouvai bien vite affalée sur elle, la queue cherchant à la pénétrer. Cela ne prit pas plus de deux ou trois secondes car elle cherchait de toute évidence en même temps que moi à faciliter une pénétration rapide. Très vite, la sensation fut merveilleuse ; pour elle aussi car elle se mit à bouger frénétiquement en quête dun coït violent.
- « Ouais, vas-y ! Oh oui, plus fort ! »
Je la saisis par les épaules et me mis à la bourrer à fond. Elle était bien humide car sa chatte fit des bruits de clapotis bruyants.
Elle tournait la tête vers moi en grimaçant mais nen continuait pas moins à soffrir sans retenue.
Cet accouplement bestial aurait pu continuer ainsi jusquà la libération rapide de mes testicules, mais il se passa alors un incident qui resterait gravé à jamais dans nos mémoires. A un moment que je la pistonnai si fort que ma queue sortait et entrait dans son sexe en un rythme effréné, je sentis soudainement une résistance anodine le temps dune micro seconde. Je recalai alors ma position, pensant avoir frappé lentrée de son sexe moins précisément quà lhabitude et reprenais mon mouvement de piston. Je la vis alors grimacer franchement et tourner sa tête vers moi, comme si elle était surprise. Je regardai vers son entrejambe pour voir si je ne lui avais pas fait mal malencontreusement et quelle ne fut pas ma surprise de retrouver ma bite plantée dans son anus
Ce merveilleux petit cul que je chérissais du regard depuis deux jours se faisait pilonner littéralement sous mes coups de butoir sans que je ne laie provoqué. Jen arrêtai mon mouvement de surprise, mais elle me regarda en tournant la tête et me lança :
- Nan, allez continue maintenant qutes rentré ! Encule-moi fort ! »
Cet encouragement fit tomber mes derniers remparts. Je la saisis par la nuque cette fois et me mis à la défoncer sans aucune retenue décidant dignorer ses halètements jusquà lissue qui me conduirait au plaisir suprême. Cette fois encore, ma bite entrait et sortait de son petit trou dans une série de bruits obscènes. Mais à un moment, ma queue heurta sa fesse et rata lentrée de son fondement. Je mapprêtai à la saisir à pleine main pour la replanter dans son trou sacré, lorsque mon cur se souleva. Ma queue était pleine dexcréments
Son trou du cul béant laissait échapper les mêmes salissures. Elle se demanda pourquoi je ne continuai pas à la baiser et lorsquelle tourna la tête, elle ne pus retenir un cri de surprise.
- « Han ! »
Puis elle saffala sur le lit et éclata dun rire libérateur. Je me mis à rire moi aussi et me collais contre elle pour lembrasser à pleine bouche. Elle se laissa faire, me rendit mon baiser passionné avant de se lever pour aller dans la salle de bain.
Lorsque nous nous fûmes nettoyés de nos ébats trop intimes, elle mentraîna dans ma chambre et se colla contre moi, tendre et féline à la fois. Elle se mit à me parler delle, puis à me confier ses secrets de jeune femme, me livrant ses rêves enfouis au plus profond de son cur. A mon tour, elle minterrogea sans retenue sur ma propre vie par des questions toujours simples et directes.
Elle me plaisait énormément, mais lheure passait et il fut bientôt trois heures du matin. Nous grignotâmes un petit casse croûte et nous couchâmes amoureusement dans les bras lun de lautre. Jallai fermer la lumière lorsquelle membrassa et me déclara en souriant :
- « Au fait, tas pas joui toi
Ca tfait rien ? »
- « Ben si
»
- « Attends, je vais résoudre ce petit problème. Tu mas bien baisée ce soir ; tu mérites bien quelque chose
» Puis, comme la veille, je vis sa tête disparaître sous les couvertures avant de semparer de ma verge. Sa pipe fut une nouvelle fois formidable, mais courte, car je ne fis rien pour retenir mon éjaculation. De nouveau, elle avala tout, puis lorsque ma queue fut bien propre, elle revint se coller contre moi sans rien dire et me demanda de fermer la lumière.
FIN DE LA DEUXIEME PARTIE
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