L'Éducation : Chapitre 3
LEducation dune salope.
Chapitre 3
Je suis réveillée part de tendres caresses. Sophie, enfin je veux dire Madame est allongée près de moi, elle est nue. Ses mains effleurent ma peau, dessinent de contour de mon visage, glissent dans mon cou, frôlent mes seins, sy arrêtent pour en titiller les mamelons qui se dressent comme des petits soldats. Puis encourager par mes frissons, Madame sempare de mon bijou, pénètre ma caverne avec ses doigts et membrasse avec fougue. Mes mains imitent les siennes et deviennent entreprenantes
-Tu apprends vite, Marie a raison ! tu seras peut-être prête dici le prochain diner dans 15 jours. Jai vu les photos, tu as lair dapprécier les délices de Sapho. Montre-moi un peu comment tu ty prends ! Viens mets toi à genoux devant moi et délecte-toi de mon berlingot.
-Bien Madame.
Je magenouille entre ses cuisses et ma langue commence son exploration. Jessaie de me rappeler les délices que mont fait subir Marie et Rose, je mapplique. En même temps que je la suce, je lui caresse les fesses, puis le ventre avant de maventurer vers ses seins. Je commence par les faire rouler doucement entre mes doigts, juste pour les faires durcir. Puis jaccentue la pression jusquà les lui pinçait, les lui tordre sans ménagement. Jai beaucoup aimé subir ce doux supplice, et je pense à juste titre que Madame va aussi bien lapprécier, surtout que la langue continue à fouiller son intimité, samuse avec son clito, sengouffre dans son corridor damour.
-Mais tu es très douée, petite pute
Et dire que ce matin tu navais même jamais gouté au fruit dune femme ! Comme tu toccupes bien de mon bouton, comme tu me s bien les nichons. Vois comme je mouille, lape-moi, chienne que tu es. Régale-toi de mon nectar, je sais que tu aimes ça. Je tai vu te pourlécher les doigts après que tu te sois masturbé. Hummm, je vais partir, tu suces trop bien. Hummm, continue salope ! Ouiiii, cest bon !
Attends un peu je mallonge, tu seras mieux sur le lit quà quatre pattes sur la moquette.
Madame sécroule dans un râle, son corps qui était tendu comme une corde de violon, se relâche dun seul coup et savoure sa jouissance
-Eh bien ma Vicky, quel coup de langue. Il y avait bien longtemps quune fille ne mavait pas fait jouir comme toi. Pourtant ce nest pas faute de me faire astiquer labricot par toutes les salopes que je rencontre. La dernière fois, sétait il y a des années de ça : une jeune étudiante à qui je donner des cours particuliers. Elle était nulle en droit, mais elle suçait comme une reine, la salope.
 Merci Madame. Je suis heureuse que Madame soit contente de mes services.
 Et en plus elle y met de la grâce, cette petite traînée
Tu vas vraiment beaucoup plaire à nos amis du vendredi
Mais jy pense, à part la bite de mon mari, que tu tes prise dans ta jolie bouche de pute hier soir, tu as passé ton temps à te gouiner ? ça ne te plairait pas une queue dans ton mignon petit temple du plaisir ?
-Je nosais pas le demander à Madame. Jai pris beaucoup de plaisir avec vous et aussi avec Marie et Rose, mais je ne serai pas contre la proposition de Madame.
-Dis plutôt que tu voudrais te faire baiser. Justement jentends mon mari qui rentre
Bertrand chéri, tu peux nous rejoindre dans la chambre de la petite, elle a bien besoin de se prendre un bon chibre dans le tabernacle
Bonsoir, mon amour. Tu vois javais raison, cette demoiselle est une fieffée cochonne, que dis-je une cochonne ? Une garce, une salope, une chienne en chaleur. Elle ma sucé comme une vraie professionnelle. Elle mérite une récompense
et je sais que tu vas te faire un plaisir de la lui donner.
Je ne pense pas que les préliminaires soient vraiment utiles. Elle a joué avec les filles ce matin et là elle vient de me faire une gâterie, elle est chaude à mort, tu peux la prendre tout de suite.
-Tu as raison elle mouille grave, comme disent les jeunes ? Je vais quand même la lécher un peu avant pour lui lubrifier le con
quelle croupe ! Jai les mains qui fourmillent. Je ne sais pas comment tu te débrouilles, ma Sophie chérie, mais tu trouves toujours des filles avec des culs denfer.
-Je connais bien tes goûts. Mais cest vrai que celle-ci à un derrière qui vaut largement son devant, car ses mamelles ne sont pas mal non plus.
A nouveau, ils parlent de moi, comme dune marchandise et ça mexcite. Je suis toujours à genoux au bord de mon lit, dans lattente de la queue de Monsieur
et ils papotent comme dans un salon de thé.
Enfin, Monsieur approche sa langue et me la fourre entre les cuisses. Je suis aux anges. Jétais déjà bien humide, mais là je dégouline. Puis la langue sarrête, deux mains se positionnent sur mes hanches et une bite, bien gonflée pénètre mon salon de plaisir. Que cest bon de sentir une queue dhomme dans sa grotte ! Jai adoré me faire lécher de partout par des filles, mais rien ne vaut un mâle bien monté qui vous ramone la cheminée
Ce nest pas possible comme mes pensées sont obscènes
il faut dire à ma décharge que ça fait plus dun an que je nai pas été baisée
enfin je veux dire par un homme ! car depuis deux jours ça narrête pas la bagatelle ! Sophie doit lire dans mes pensées :
-Cest bon, hein ma salope ! Tu aimes ça te prendre une bonne bite dans la chatte ? Vas-y profite, Monsieur lavocat est un bon baiseur. Il sait taquiner la pétasse
Et elle encourage son mari :
-Astique-la bien cette chienne, montre-lui qui est le maître. Bourre-la profond. Après ça on pourra en faire ce quon veut
Je le sais bien, ce genre de greluche, même si le gouinage ne leur déplait pas, même si elle redemande du broute minou, ce quelle préfère cest un manche de mec entre les cuisses. De vraies salopes ! Tu vas voir ce que je te dis, elle va être parfaite
Nos amis vont sen régaler quand ils seront à deux ou trois dessus.
Pendant que Sophie fait ses commentaires, somme toute très justes, sur ma vie sexuelle, son mari se déchaîne dans ma boutique. Cest vrai quil baise comme un dieu. Je ne vais pas tarder à exploser. Je ne parviens même pas à analyser les sous-entendus, pourtant assez précis, de Madame la Juge. Il me semble quelle a parlé de deux ou trois types sur moi ? ! Quest-ce que je dois comprendre ?
Et puis au diable
je verrai bien le moment venu
il faut que je mattende à tout : ils ont décidés que jétais à leur service corps et âme
enfin surtout corps, car mon âme, je crois quils sen tamponnent complètement. Ce quils veulent cest avoir sous la main une fille docile qui accepte décarter les cuisses et douvrir la bouche, et pas que pour parler. Alors laisse-toi aller ma fille et profite de bon temps
. A peine cette réflexion terminée que je sens Monsieur le grand avocat exploser en moi et précède ma jouissance suit dune courte tête :
-Oh, ma salope, quil est bon ton abricot. Quelle chienne tu fais ! Putain, tu mas fait sauter les plombs. Tu sembles avoir pris ton pied toi aussi ?
-Ouiii Maitre.
-Vois Bertrand, comme elle est mignonne ? «Oui Maitre», dit-elle ! Elle retient bien ses leçons. On va pouvoir passer à létape suivante plus tôt que prévu. Elle est très douée, elle ira loin cette salope
puis elle sadresse à moi
à partir de demain, il faudra que tu fasses bien le ménage après que Monsieur lavocat ou un autre homme tai baisé
Et devant ma mine interrogative, elle sempare de la bite de Bertrand et la lèche pour ôter toute trace de sperme.
-
Voilà, comme ça !...
Et elle membrasse pour partager avec moi la saveur de la liqueur de Monsieur
-Il faut que tu y prennes goût
ces messieurs aiment souvent faire baver leur asticot dans notre bouche ! Tu verras cest toi qui finiras par le demander. Cest comme pour la sodomie, personne ne tobligera
On te le proposera
et un jour, qui ne saurait être lointain, tu supplieras à genoux pour quon tencule. Maintenant essaie de dormir, la journée a été chaude pour toi !
Ils mont tendrement embrassé tous les deux, comme on le ferait des parents qui embrassent leur avant une nuit de sommeil
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