Un Petit Voisin Craquant.

Par une belle soirée d'été, j'ouvre la fenêtre de ma chambre et je m'accoude à la balustrade pour prendre un peu le frais. J'habite dans une grande ville, dans un appartement au 5e étage. La fenêtre donne sur une jolie cour, dont une partie est arrangée en jardin, avec de la pelouse et quelques arbres. C'est calme et agréable ; je rêvasse en écoutant les oiseaux chanter. Il y a plusieurs autres immeubles dont la façade arrière donne sur cette cour.
L'une de ces façades arrière fait pratiquement un angle droit avec la mienne. Au 3e étage, je remarque un jeune garçon qui est comme moi accoudé à sa balustrade. Comme moi, il est torse nu en raison de la chaleur. Je ne peux m'empêcher de le reluquer. C'est un jeune métis, il doit avoir dans les 20 ans. Il porte des lunettes à monture sombre, qui vont super bien avec sa peau bronzée. Son torse est magnifique. Il a les cheveux mouillés et n'est habillé que d'une serviette blanche nouée autour de la taille : il vient probablement de prendre une douche. Il m'a repéré aussi, car il lève les yeux pour me jeter des petits coups d'œil de temps en temps. Il m'excite carrément. Je me mets à bander dans mon jean. Je ne peux plus quitter ma fenêtre. Ça dure 2 ou 3 minutes comme ça, et il s'en va.
Je ferme les yeux et je respire longuement l'air du soir pour me calmer. Quand je les ouvre de nouveau, je regarder dans la direction de sa fenêtre. Il est de nouveau à sa fenêtre ! Il est allé chercher une feuille de papier, un marqueur, et il est en train d'y écrire quelque chose en gros. Mon cœur bat fort : « 06 78 … » Il est en train de noter son numéro de portable ! Il ferme un des battants de la fenêtre et colle le papier à la vitre.
Waouhh ! Le petit salaud ! Il a noté son numéro, sauf le dernier chiffre ! Je vais chercher mon portable, et j'essaie tous les numéros.
Zéro : une bonne femme dit « allô ? », je raccroche.
Un : un répondeur. Je raccroche. Deux : Ça sonne mais le jeune continue de me regarder avec un sourire narquois.

Je raccroche.
Trois : Son portable sonne. Tout en me regardant, il décroche. Je lui dis d'une voix grave et nonchalante :
– Salut. J'habite au n°14. Le code, c'est 1843A. Tu sonnes à Lessertisseur.
– Non, chez moi : j'habite au 11, code 68A90, troisième étage droite.
Je mets un T-shirt, des capotes et un tube de gel dans ma poche, et en moins d'une minute, je suis devant sa porte et je sonne. Il m'ouvre toujours avec sa serviette autour de la taille. De gueule il est quelconque mais la vache, quel beau corps ! Des abdos kilométriques, plats comme une autoroute, et ces quelques poils pubiens noirs luisants qui dépassent au dessus de sa serviette blanche qu'il a nouée trop bas… hmmmm ! Il me laisse refermer la porte derrière moi et il me fait signe de le suivre. On va dans une chambre avec un grand lit.
– C'est chez tes parents ?
– Non, c'est chez mon oncle et ma tante. Il sont partis en vacances et me laissent l'appartement pendant leur absence.
Pendant qu'il disait ça, j'ai enlevé mon T-shirt. Il a fait tomber sa serviette et se couche sur le dos au bord du lit, les jambes repliées sur lui, me présentant son anus de la façon la plus explicite qu'on puisse imaginer. Avec d'autres, j'aurais sûrement trouvé ça obscène, mais là : c'est vraiment le plus bel anus que j'aie vu de ma vie ! La peau de ses cuisses, de son cul et de ses couilles, parfaitement lisse et d'une magnifique couleur caramel uniforme se resserre de façon adorable en un petit trou à peine un peu rosé, et dont quelques petits mouvements tout juste perceptibles trahissent un désir de pénétration opprimant. Je me mets à genoux et tout en déboutonnant mon jean, je commence à lécher longuement l'intérieur doux et tendre de ses cuisses. J'y respire avec délectation l'odeur d'amande de son gel douche. Je descends vers ses couilles que je suce en regardant sa petite tige en érection. Puis, continuant de descendre, j'arrive enfin à ce merveilleux petit orifice. Ça sent l'amande.
Je force le passage avec la pointe de ma langue : c'est à la fois dur et moelleux. Je bande comme un cheval. Je me relève un peu pour me désaper complètement. Je vois alors la plante de ses pieds qui est d'un rose de peau de bébé, et qui contraste merveilleusement avec la couleur bronzée du reste de sa peau. Ses pieds sont magnifiques, ils me font chavirer. Je commence à les suçoter, à mordiller ses orteils puis à les lécher avec avidité pendant que j'enfile fiévreusement le préservatif sur ma queue…
Il pousse des petits gloussements de plaisir. Vu la beauté de son petit trou et de la plante de ses pieds, je ne dois pas être le premier à le bouffer comme ça ! Je comprends qu'il n'a pas choisi cette position par hasard… Je suis tellement excité que je lui badigeonne le cul de gel de façon fébrile et désordonnée. Mes pouces pénètrent parfois son cul pendant cette opération, ce qui le fait soupirer de surprise et de plaisir. Enfin, n'y tenant plus, tout en continuant de sucer et de mordre ses orteils, je pousse mon gland contre son orifice. Il y reste un instant bloqué, puis, d'un coup, pénètre et ma bite glisse alors toute entière dans son trou...

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