Ma Cousine Bergère

Ma cousine bergère
Histoire réelle, noms fictifs)

L’histoire se passe au Maroc (Acte I)

Début de l’été, les préparatifs de mariage de ma cousine vont bon train, tout le monde était occupé.
Ma cousine Zahra, 21 ans, 1.66, potelée comme toutes les filles de la campagne marocaine, sans instruction mais pas bête, a connu l’amour avec moi.
C’est une fille qui a passé la plupart de sa vie à garder les chèvres et les moutons, était amoureuse de moi, mais aimer quelqu’un ne veut pas dire, chez nous, l’épouser. Notre amour ne durait que ce que duraient les vacances scolaires. Pour moi, jeune, depuis que j’ai eu 18 ans j’ai réservé mes vacances pour la campagne, la ferme de mon oncle paternel, ce n’était la campagne qui m’attirait, c’était Zahra la belle qui me fascinait et qui me fascine toujours.
La première fois que j’étais chez mon oncle on m’a envoyé avec Zahra , qui avait 18 ans à l’époque , à la prairie à la lisière du bois à voir comment on garde les moutons et les chèvres, comment on s’occupe des bêtes.
Le premier jour on a vu comment un mouton a monté une brebis, je ne comprenais pas, mais zahra m’a expliqué, avec un peu de honte ce que cela veut dire.Je n’arrivais pas à comprendre, elle a beau expliquer mais rien, finalement elle me l’a dit franchement .
Je lui dit : j’ai compris.
Je ne connaissais que la masturbation.
Elle me demanda alors : est ce que tu as été avec une femme ?
Je lui réponds : jamais, comment ça se passe ?
Elle me répond que nous sommes comme les animaux, il y a les males et les femelles, les males mettaient leurs zizis dans la chose des femelles et le plaisir est là.
Je lui demandais : et si on essayait tous les deux, là elle me répondit que c’est non.
Je lui demande pourquoi, elle me répond qu’elle doit arriver pucelle au jour du mariage sinon le mari la répudie et elle sera maltraitée toute sa vie et que personne n’en voudra d’elle.

Donc il n’y a pas moyen de faire ça, si mais c’est peut être douloureux et contre nature.
Comment ?
Par derrière. Si tu veux on peut essayer sans que cela ne te fasse mal.
Montre moi ton zizi que je vois si c’est grand ou petit. En ce moment j’avais déjà bandé, je descend mon pantalon et mon slip avec, je lui sors mon pénis, il pourrait faire 15 cm de long, pas trop gros elle le regarda un moment et elle me demanda si elle pourrait le toucher je lui dis que oui, elle approche une main timide elle touche le bout ensuit elle l’att en entier et elle commence à jouer avec.
J’étais dans les nuages, je lui demande de continuer son manège, j’ai compris qu’elle le voulait et je lui demande de lui donner un bisou à mon zizi et s’approche et elle lui donne un bisou, je lui demande de me sucer. Elle commence, j’étais hors de moi, elle suçait bien pour une novice on dirait qu’elle a fait ça toute sa vie ! Je lui demande de me montrer son entrecuisses ; là elle ôte sa longue jupe et enlève sa culotte, je regarde, un joli chouchou avec quelques poils, je lui demande de toucher, je touche c’était très humide, mouillé même. Je mets un doigts elle sursaute, tu vas me dépuceler elle me dit mais elle gémis fort nous étions seuls dans la forêt. Elle continue à gémir et moi avec, elle suçait et suçait, je l’arrête et je lui dit de se mettre à genoux je passe par derrière...
Je lui lèche les lèvres et le clitoris, elle gémit fort tout en m’avertissant de ne rien tenter, je lui dis que je vais l’enculer, elle accepte, je mets de la salive sur mon doigt et je le lui mets dans la rosette et elle sursaute. Je la calme et commence mes va et vient avec un seul doigt ensuite deux doigts elle commence à gémir, profitant de cela je lui mets mon zeb au cul jusqu’au fond, là elle gueule un peu mais se calme et commence à gémir, mes va et vient continuent et elle demandait plus je continue, elle était aux anges ma chère cousine et elle me demandait plus d’accélérer, elle gémit très fort et se relâche elle a eu son orgasme peu après j’ai eu le mien et j’ai éjaculé dans ses intestins. On a fait ça trois fois par jour durant les vacances...