Près D'Un Lac Dans Un Bosquet
Marie, je l'ai rencontrée dans une boite de nuit. Elle était sortie avec son amie et dans la soirée elle dansait très souvent près de moi . Et nos sourires se sont croisés plusieurs fois jusqu'à une série de slow et bien sûr je me suis avancé pour linviter. Nous avons discuté au cours de cette danse et j'ai appris qu'elle avait 35 ans et mariée. Elle se voulait très sage mais son sourire et son charme me troublaient. Nous avons dansé toute la soirée ensemble et l'envie de la prendre dans mes bras et d'embrasser ses lèvres dans un coin de la piste me prit. Juste un baiser furtif, elle ne voulait pas aller plus loin. Je suis rentré chez moi ce soir là avec son numéro de tel et l'envie de la revoir.
Nous nous sommes par la suite téléphoné souvent et longtemps mais nos vies (mariés tous les 2) nous laissaient peu de temps pour se voir. Nous parlions librement et bien entendu l'envie de faire l'amour ensemble est montée très fort.
Rendez vous fut pris pour un après midi de juin ensoleillé et déjà chaud. Je suis passé la prendre près de chez elle et nous sommes partis dans la campagne près d'un lac dans un bosquet. Elle était très désirable dans sa robe toute légère et en conduisant j'aventurais ma main au contact de sa peau sur son bras, son cou et sur sa cuisse au dessus du genou. L'envie de se mélanger tous les deux se reflétait dans nos yeux. J'ai stoppé la voiture au bout d'un chemin et nos lèvres et nos mains sont parties à la rencontre du plaisir. Quel baiser langoureux ! Je sentais qu'elle se lâchait complètement. Mes mains caressaient son corps par dessus sa robe fine et je sentais ses seins, ses fesses, ses cuisses brûlants de désir. Je prenais mon temps en l'embrassant avec mes caresses puis j'ai commencé à dégrafer le devant de sa robe. Elle bougeait son corps contre le mien pour prendre encore plus de plaisir. Ma main est passée dans son dos pour libérer ses seins : quelle vision pour mes yeux. Des seins gros et lourds comme je les aime avec leurs pointes gonflées pour réclamer mes lèvres pour les aspirer et sentir son gémissement.
- pourquoi ne m'as tu pas laissée ?
- je veux jouir en même temps que toi
Sur elle, je n'ai eu aucun mal pour la pénétrer puis bouger en elle. On gémissait fort tous les deux. J'allais et venais de plus en plus fort, elle me suppliait de venir mais je me retenais le plus possible Ses mains appuyaient sur mes fesses pour la sentir au plus loin , et j'ai senti ma semence traverser ma tige pour exploser au fond de sa grotte dans un long cri commun . Dans ma jouissance j'ai relevé mes yeux et aperçu une tête entres les arbres qui semblait nous épier. Depuis quand ? Cette personne a du en prendre pleins les yeux et peut être jouir en même temps. Je me suis gardé de le dire à Marie, elle aurait sûrement voulu partir.
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