Olga, Elodie Et Philippe 6 - Ciseaux Du Soir
AVERTISSEMENT
Ce texte, toujours écrit à quatre mains par ElodieParis et OlgaT, est la suite de ceux parus les 14, 22 octobre, 6, 20 novembre et le 4 décembre sur HDS.
Ce récit érotique est fictif, mais sinspire du vécu des protagonistes. Voici un nouvel épisode de ce travail en commun. Dautres suivront.
RESUME DES EPISODES PRECEDENTS
Une jeune doctorante de 25 ans, Elodie, est invitée à venir sentraîner à présenter son mémoire par Philippe, haut-fonctionnaire qui est un des spécialistes du sujet de la thèse. Une fois sur place, Olga, la maîtresse de maison, hypersexuelle en manque, prend la jeune étudiante en charge, sous les yeux de son mari candauliste expérimenté.
Olga réussit de main de maître à à faire surmonter à Elodie ses peurs et ses complexes. Le couple découvre son éjaculation féminine, mais aussi sa connaissance surprenante des choses du sexe. Létudiante timide qui se laissait faire comme une jeune inexpérimentée a pris linitiative de fister Olga, dévoilant ainsi son vrai visage de petite salope. Olga a ensuite fait vivre à Elodie un cunnilingus mémorable, qui sest terminé par une nouvelle et formidable éjaculation de la jeune étudiante, dont le plaisir est accru encore par la complicité de Philippe. Avant le dîner, Olga a entraîné Elodie à la salle de bains. A son tour, Elodie en a profité pour faire jouir sa belle amante. Le dîner qui a suivi a été loccasion pour Elodie de se dévoiler encore davantage aux yeux du couple, alors quOlga a masturbé son époux, exacerbant le désir dElodie pour Philippe.
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Main dans la main, les trois protagonistes arrivèrent dans la chambre. Il était minuit passé.
Cette grande pièce, temple du plaisir dOlga, réservait toujours des surprises à Elodie. Elle découvrit cette fois-là, sur un meuble bas, toute une série de photos dans des cadres en argent.
Il y avait ensuite une photo dOlga, tenant par la taille une jolie jeune femme asiatique.
Et puis il y avait non pas une, mais deux photos de mariage du couple, dont une plus vintage.
Olga vit quElodie s'arrêtait sur ces photos et les lui expliqua en pointant du doigt:
- Mes s: Lucie 12 ans, Leila 9 ans, Sofia 7 ans et Alexandre qui aura 3 ans cette année. Ils sont beaux, nest-ce pas?
Elodie prononça un imperceptible oui, cherchant à lequel des parents chaque ressemblait.
- Philippe est leur papa à tous les quatre, même sils sont de différents pères biologiques.
Elodie ouvrit de grands yeux. Cela renforçait son admiration pour Philippe, dont lamour conjugal allait jusque-là. Louverture desprit de cet intellectuel le rendait encore plus brillant et au-dessus de la mêlée.
- Cette photo-là, cest Agun, ma compagne, ma femme. Tu sais, petite garce, que ce soir je la trompe avec toi. Agun et moi nous nous aimons, elle ne men voudra pas!
Cette confirmation fit rougir Elodie, qui réalisa que ce week-end, elle occupait une place très particulière. Le couple avait déjà fait allusion à cette Agun, sans quElodie nose demander qui elle était.
- Enfin tu dois te demander pourquoi deux photos de mariage? Parce que nous nous sommes mariés deux fois, à dix ans de distance!
Elodie, tout en sincérité, osa exprimer le plus profond de sa pensée:
- Vous navez pas changé, vous êtes si beaux lun et lautre
- Sur cette photo du mariage de 2003, tu ne trouves pas ma tenue indécente? Philippe avait choisi cette robe incroyable!
En baissant les yeux, Elodie se lâcha:
- Tu es si belle, Olga, sur cette photo.
- Je te raconterai plus tard ce qui sest passé ce jour-là. En attendant, retire ta chemise.
La demande venait de tomber, sans laisser trop de place à interprétation.
Olga avait obligé Elodie à porter la chemise de son mari pendant tout le repas, nue dessous Létudiante avait ainsi pu s'enivrer du parfum de Philippe et sentir le tissu lui effleurer la peau. Olga avait imposé que le décolleté initial soit tentant, puis lui avait demandé de dégrafer un bouton de plus à chaque fois que Philippe partait en cuisine. A la fin du repas les pans de la chemise étaient ouverts, dévoilant la naissance de ses seins et son entrecuisse. Cette mise à nue progressive de presque deux heures avait habitué Elodie à assumer sa nudité face au couple. Elle se sentait toujours gênée, mais différemment, un sentiment de légèreté difficile à expliquer. Olga la tira de ses songes
- Alors bébé tu la retires cette chemise?
Elodie sexécuta, sous le regard brûlant du couple. Ses tétons sélectrifièrent. Elle se sentit gauche et fragile. Elle ne prêta pas attention à la mouille qui coulait le long de ses jambes et son écartement, entre ses cuisses, trop prononcé, qui étaient deux choses qui pourtant la complexaient beaucoup. Ce couple l'acceptait comme elle était et avait au contraire sublimé ses défauts.
- Déshabille MON Philippe
Elodie resta sur place, comme pour manifester son opposition à faire quelque chose que pourtant elle désirait au fond delle. Telle était la nature dElodie: prêcher le faux pour le vrai, faire sa sainte nitouche.
- Tu as bien entendu Elodie, déshabille MON Mari
Il nétait plus question de ne pas le faire et elle obtempéra en dissimulant son bonheur davoir à soccuper de cet homme quelle désirait.
Cest les doigts tremblants quElodie savança nue vers lui. Elle le contourna pour retirer sa veste et ne plus être sous le feu de son regard qui la troublait. Trouvant que se cacher derrière lui était une position confortable, elle décida bêtement de lui retirer sa chemise aussi depuis son dos.
Dans la même position, Elodie défit la boucle de la ceinture et dézipa la fermeture éclair. La dextérité et la rapidité de son geste étaient loin de ceux dune étudiante inexpérimentée. Ce nétait pas le premier pantalon dhomme quelle ôtait. Sous le poids de la ceinture, il tomba au sol, dévoilant un très beau caleçon. Elodie adorait la classe de Philippe, son choix de vêtement comme son mode de vie avec son épouse. Elle fit tomber le caleçon au sol sans toucher la verge de Philippe, qui était en érection. Elle se retint difficilement. Olga la soumettait à une si forte tentation.
- Va lui chercher sa robe de chambre
Elodie le revêtit avec et Philippe sinstalla sur son fauteuil de candauliste attitré
- Et maintenant déshabille-moi!
Elodie fit facilement tomber la robe si décolletée et dos nu que portait Olga pour ce dîner. Avec cette robe et comme à son habitude, Olga navait pas de soutien-gorge. Ses tétons durs trahissaient son excitation. Le regard quelle adressait à Elodie traduisait sans ambigüité son désir pour la jeune fille. Olga avait encore son string.
- Je tai demandé de me mettre nue !
Elodie fit descendre le mini-string que portait la belle quadragénaire. Elodie remarqua quil était humide, autre signe de lexcitation de la belle hypersexuelle.
Elodie sentait monter la tension érotique. Philippe était impassible sur son fauteuil candauliste. Elodie simaginait les scènes érotiques qui sétaient déroulées ici, pensant à des mâles vigoureux qui venaient saillir Olga.
Olga prit Elodie dans ses bras et les deux femmes échangèrent un long baiser fougueux. Elodie senhardit à caresser le dos et les fesses de sa maîtresse, pensant, sans oser le dire : « que tu es douce ! »
De son côté, Olga explora avec un doigt la chatte dElodie, qui poussa un petit gémissement. Allait-elle à nouveau la doigter, lui branler son clito ?
Olga eut un sourire :
- Jen étais certaine, tu mouilles abondamment, ma douce ! Et moi je suis trempée tellement je suis excitée. Cest parfait pour ce que je vais te faire !
Elodie ouvrit grand les yeux.
- Je vais te baiser, ma petite !
Elodie ne comprenait toujours pas. Olga lui parlait comme un homme laurait fait envers une femme quil sapprêtait à prendre. Une fois encore, elle ne put sempêcher de rougir, surprise dentendre de telles paroles de la part dOlga, si féminine et si classe.
Cela fit sourire Olga. Entre deux bisous, pour rassurer la jeune fille :
- Tu sais ce que cest une tribade ?
- Euh, une lesbienne.
- Tribade vient dun verbe grec, signifiant « frotter ». As-tu entendu parler des ciseaux ? La célèbre poétesse Sappho, au VIème siècle avant notre ère, pratiquait déjà cela avec ses jolies disciples sur l'île de Lesbos.
Elodie baissa les yeux, nosant répondre. Bien sûr quelle en avait entendu parler, elle le pratiquait assidûment.
- Pour un maximum de jouissance, il est important que les deux partenaires soient bien lubrifiées. Toi et moi nous sommes une combinaison parfaite. Allons sur le lit ma belle !
Elodie se laissait faire, comme dans un rêve érotique et merveilleux. Elle sallongea sur le lit. Olga vint contre elle et vint loger son entrejambe dans celui dElodie. Leurs chattes se touchaient et Olga commença à frotter son clitoris contre celui de son amante.
Pour lune, comme pour lautre, le contact était intense.
Elodie se dit quune fois de plus elle allait prendre beaucoup de plaisir. Cétait très fort et Philippe ne perdait une miette de cette scène érotique dexception.
Olga démontrait toute sa science du Kamasoutra lesbien. Elle variait les positions pour accroître encore son plaisir et celui de sa partenaire et retarder autant que possible leur orgasme respectif. Le grand écartement entre les cuisses de létudiante facilitait ces positions. Cétait même un peu comme si ce corps avait été conçu pour cela.
Selon les ordres dOlga, quElodie, tout à son plaisir qui montait comme un cheval au galop, suivait aveuglément, les deux femmes étaient allongées puis assises lune en face de lautre et entrecroisaient leurs jambes comme les lames dune paire de ciseaux. Leurs chattes se touchaient, se frottaient, se caressaient. Comme elle lavait annoncé, cétait comme si Olga baisait Elodie.
Quand elles étaient allongées, leurs clitos étaient en feu. Quand elles passaient à la position assise, Olga en profitait pour embrasser et caresser son amante. Olga ne laissait à la blondinette aucun instant de répit, elle était véritablement en feu et insatiable.
Ce que ressentaient les deux femmes était lintensité des sensations et la quête dun plaisir brûlant.
En variant les positions, Olga voulait faire durer autant que possible cette façon daimer et de posséder Elodie. Leurs frictions jouissives, leurs va-et-vient plus ou moins contrôlés, leurs gémissements, leur plaisir, emplissaient la chambre. Les traits de leur visage exprimaient la force de ce quelles ressentaient. Ce plaisir était si violent, si inouï, quil était en même temps presquune souffrance
- Ca te plait, ma petite salope?
Elodie était ailleurs, elle ne pouvait plus parler, concentrant tous ses efforts pour retarder léchéance, pour prolonger encore un instant ce moment merveilleux.
- Je tavais promis que je te baiserai. Je sais que tu aimerais que ce soit mon homme qui le fasse. Mais pour le moment, tu es à moi!
Philippe, silencieux et admiratif, ne perdait pas une miette de ces instants érotiques torrides. Olga était déchainée, à croire quelle voulait quelle et son amante meurent de plaisir.
Oui, Philippe avait envie de faire lamour à Elodie. Mais pour le moment cest Olga qui menait cette incroyable séance des ciseaux, qui ressemblait tant à un coït.
Olga accéléra encore le rythme, leurs clitos étaient en feu, presque douloureux, malgré labondance de leur lubrification, en particulier celle dElodie.
Lune, comme lautre, ne pouvaient pourtant tenir indéfiniment. Olga donna le signal de la délivrance. Les deux femmes eurent un orgasme fulgurant et pratiquement en même temps, une vague qui les submergea, un tsunami de plaisir.
Philippe savait que la force et la longueur de leurs cris, surtout à cette heure tardive, ne manqueraient pas de provoquer des récriminations de la part des voisins !
Comme à son habitude, la jouissance dElodie saccompagna dune puissante éjaculation féminine. Elle poussait de petits gémissements, qui montaient ensuite en puissance. De son côté, lorgasme dOlga était comme le feulement dune louve, une longue plainte.
Les deux femmes avaient connu un plaisir dun niveau exceptionnel. Elles restèrent un instant dans les bras lune de lautre, brisées, heureuses, comblées.
Philippe, pourtant habitué à vivre des moments torrides avec Olga, était impressionné par ce dont il avait été le témoin privilégié. Ce quil avait vu, était si fort, léquivalent dun coït entre un couple. Comme elle lavait annoncé, Olga avait en effet baisé Elodie.
Quand les deux femmes furent enfin apaisées, Philippe sapprocha du lit.
Olga lui tendit ses lèvres, pour un long baiser amoureux. Philippe prit ensuite linitiative dun baiser à Elodie.
Les yeux dOlga exprimaient la fierté de sa science amoureuse et du plaisir quelle avait donné à cette petite. Il était certain que celle-ci noublierait jamais ce quelle venait de vivre. Les yeux dElodie étaient voilés par lintensité de sa jouissance et exprimaient une infinie reconnaissance.
Philippe dit simplement :
- Cétait magnifique. Vous êtes encore plus belles après le plaisir.
Olga se montra tendre envers Elodie :
- Tu as aimé chérie ?
- Oh oui, Olga. Cétait merveilleux ! Je
Elle avait failli dire « je taime », mais se retint, à cause de Philippe et de cette Agun, quelle ne connaissait pas mais quelle respectait.
Elle pensait aussi à Philippe, quOlga avait masturbé pendant le dîner, mais qui, en grand seigneur, avait laissé les deux femmes à lintensité de leur plaisir, sans rien réclamer pour lui. Elodie aurait tant aimé soccuper de lui, le prendre dans ses bras, le soulager, laimer comme elle le voulait tant.
Ce nétait pas ou pas encore le programme dOlga.
- Le week-end nest pas fini. Il est près dune heure du matin, nous sommes épuisés et demain il y a tant de choses à faire.
- Faire réviser cette jeune fille en vue de sa soutenance de thèse, rappela Philippe
- Évidemment, et faire du shopping. Mon chéri, tu feras flamber ta carte bleue demain pour nous deux ! Je veux gâter cette petite
- Bien sûr, ma chérie.
Elodie était gênée, tout en étant heureuse que le couple soccupait tant delle, alors quelle était si discrète, habituée à ce quon ne la voit pas.
Olga ajouta, dun regard malicieux, en mettant un doigt sous le menton dElodie :
- Et on a encore tant de choses à faire, tous les trois ! Mais si nous voulons dormir, il nous faut encore changer le lit, cette petite garce la inondé !
Elodie rougit et en même temps elle savait que son éjaculation féminine troublait ce couple.
Le lit fut rapidement changé et il était suffisamment grand pour que les trois protagonistes puissent dormir ensemble confortablement.
Ils étaient nus tous les trois. Elodie était au paradis, entre Olga et Philippe, comme elle le faisait petite entre ses parents, sendormant contre lune, puis contre lautre. En même temps, sentir si près delle le parfum de cet homme quelle désirait et aussi son intimité était une terrible tentation, un doux supplice.
Le repas avait été accompagné de vins fins, des grands crus. Sans en r, Olga et Philippe étaient habitués. Elodie sétait contentée de tremper les lèvres, cétait déjà beaucoup pour elle.
Les deux époux sendormirent rapidement et profondément, alors que cétait plus difficile pour Elodie, à la fois comblée et excitée. Elle se trouvait au milieu de ce couple, entre cette femme qui lui avait dispensé tant de plaisir, et cet homme quelle désirait si fort. Elle ne peut résister à lenvie de se caresser. Elodie avait encore trop envie de tout, sachant à quel point elle pouvait monter haut dans un cycle dexcitation extrême. Et le jour suivant descendre tout aussi bas et ne plus se toucher de quelque semaines.
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