Dépucelée (Suite)
Je revis Claude régulièrement. Il m'initiait aux plaisirs du sexe et j'avoue qe j'adorais ça.
Je devais être à sa disposition lorsqu'il se décidait à me rendre visite et je passais mes journées et mes nuits à l'attendre.
Un soir il arriva à l'improviste. Sa femme était partie rendre visite à sa mère et il en profitait pour venir passer la nuit chez moi. Il avait dû avoir une dure journée, il alla directement s'affaler dans le canapé. Pendant qu'il enlevait sa cravate et déboutonnait son col de chemise il me demanda de lui servir un verre de whisky. Il but lentement le breuvage que je lui servis. "Approche" me dit il. Je m'exécutais. Il déboutonna prestement son pantalon et sortit son membre déjà raide."Suce moi"! J'allais protester, pour qui me prenait il ? Mais je m'agenouillais docilement entre ses jambes, pris sa queue dans ma main puis en bouche et me mis à le pomper. Sa bite glissait entre mes lèvres au rythme que sa main fermement posée sur ma nuque m'imposait. Ca n'en finissait plus et je commençais à avoir mal aux joues J'essayais de me dégager mais il me maintenait toujours et je le suçais jusqu'à ce qu'il se vide entièrement les couilles en longues giclées et que j'avale jusqu'à la dernière goutte. Puis il relâcha la pression et je me reculais les larmes aux yeux. Jusqu'à présent, j'avais toujours refusé d'avaler et il avait respecté mon choix. "C'est dégoûtant" lui dis je . Je me servis un whisky que je bus d'un trait.
"Tu sais toutes les femmes le font à leur mari" me répondit il, " c'est naturel. Tu verras, tu vas finir par aimer ça".
Il se leva et vint me rejoindre "tu m'en veux ?" dit il cajoleur. Je lui tournais le dos. Il passa une main autour de ma taille et m'attira doucement contre lui puis me coinça contre la table, tandis que son autre main se glissait sous ma jupe le long de mes fesses jusqu'à mon entrejambe qu'il se mit à caresser à travers le fin tissus de ma petite culotte. Je tentais de résister à la montée du désir mais sa main qui fouillait mon entrejambe, sa langue dans mon cou et sa bite bandée contre mes fesses eurent rapidement raison de moi.
Il s'enfonça au plus profond de moi d'un coup de rein brutal. Je poussais un petit cri, plus de surprise que de douleur, puis il ressortit lentement pour replonger brutalement jusqu'à la garde. J'en avais le souffle coupé à chaque coup de pine. De temps en temps il sortait entièrement sa queue et la faisait glisser le long de la raie jusqu'à mon petit trou puis il replongeait dans ma chatte béante.
Il me disait des mots grossiers qui dans toute autre circonstance m'auraient choqués mais qui en l'occurrence m'excitaient. "Tu la sens ma grosse bite" ..."tu aimes ça une bonne pine dans ta connasse" ...tandis que sa queue me malmenait et que je gémissais sous ses coups de boutoir.
Il me releva, chancelante, je me retrouvais à genoux devant lui sa queue inondée de cyprine dans la bouche. Je le pompais à nouveau cette fois ci à mon rythme car il ne voulait sans doute pas jouir tout de suite, puis je me retrouvais à nouveau allongée sur la table cette fois ci sur le dos et il me baisa à nouveau, je jouis une deuxième fois et il continuait à me limer. Puis il accéléra le rythme, sa queue me défonçait, ses couilles claquait contre mes fesses, il se contracta et lâcha de longues giclées de foutre dans mon ventre (c'était la première fois qu'un homme déchargeait dans mon ventre) et j'eus mon troisième orgasme de la soirée.
Nous restâmes immobile un instant, j'étais sans force.
"Tu sais j'aimerai beaucoup te voir baiser Cathy (sa femme) lui dis je.
T'es sérieuse ? "Oui".
La suite plus tard.
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