La Soumise Prend Les Rênes (2)

Suite de la soumission d'Emilien par son habituelle soumise....

Il attendit encore quelques minutes, impuissant, réfléchissant à la situation… Il finit par se dire, sentant son sexe rude comme jamais que la situation l'excitait.

Elle revint de la cuisine, un verre de vin dans une main et son vibromasseur dans l'autre. C'était tout ce qu'elle aimait, se détendre avec un verre tout en se masturbant. Elle s'assit face à lui et fermant les yeux, elle bu une belle gorgée de vin et alluma son petit jouet qu'elle vint placer sur son petit bouton d'amour.

Il l'avait senti bouger près d'elle puis après un tout petit moment de latence, il entendit se mettre en route un léger bruit. Les possibilités n'étaient pas nombreuses mais ses doutes furent rapidement envolés. Elle était en train de se masturber, là, vu le bruit elle était toute proche de lui, juste en face… Elle qu'il aimait temps se voir masturber, il lui aurait sauté dessus si il avait pu. Elle gémissait doucement, il l'imaginait jouer sur son petit bouton, glisser le vibro entre ses lèvres. Le bruit s'intensifia, elle devait avoir augmenté la vitesse. Elle devait avoir ce regard pétillant qu'elle a toujours, la tête jetée en arrière, ses seins étant mis en valeur à la limite de l'indécence. Oh oui il l'imaginait et son sexe lui en faisait presque mal. Elle savait qu'il aimait la voir faire ça. Elle cherchait a le frustrer, il le savait, c'etait sa manière à lui de faire.

Son petit manège avait l'air de faire effet, il se dandinait sur sa chaise comme un qui se retiendrait de bouger. Elle voulut le frustrer encore plus, elle retira le vibromasseur sans l'arrêter pour ne pas l'alerter, avança sa chaise toute proche de lui et tout en s'asseyant dessus, vint poser ses pieds gainés par les bas sur ses genoux. Elle savait qu'il aimait ça, la sentir aussi proche. Elle gémissait de plus belle et finit par abandonner sa chaise pour s'asseoir directement sur ses genoux, ses fesses touchaient presque le sexe en érection de son homme, et elle bascula la tête en arrière pour la poser sur son épaule.

Il profitait encore plus de gémissements qui étaient presque collés à son oreille. Elle se tremoussait de plaisir sur ses genoux, elle gémissait et profitait au Max de cette masturbation.

La garce était venue s'asseoir sur ses genoux, il la sentait vibrer de plaisir, qu'il était mal de ne pas profiter de ce spectacle. De cette chatte qu'il sentait presque couler sur ses cuisses, de ce regard qui se perdait quand elle prenait son plaisir, de son corps qui s'agitait en spasmes quand elle jouissait. Il l'avait senti se raidir, tout son corps s'était tendu. Elle avait retenu son souffle et évacué son plaisir dans un long râle sonore… elle avait jouit, là, sur ses genoux et lui n'avait pu en profiter qu'avec ses gémissements. Elle lui paierait cette frustration qu'il accumulait, quand elle le detacherait, il la retournerait contre n'importe quel mur ou la prendrait sur n'importe quel meuble. Elle l'excitait et lui donnait de curieuses envies de baise. Et même si en apparence, il se faisait ronchon… Il avait envie qu'elle continue.

Elle avait fini par jouir sur ses genoux, le vibromasseur était vraiment un objet magique. Elle se leva, prit le sexe d'Emilien et le glissa entre ses lèvres. Il crut enfin à la délivrance et se concentrant sur ces lèvres qui venaient d'enserrer son gland il pensait déjà à la pipe qu'il allait recevoir. Que ne fut pas sa déception quand elle retira ses lèvres aussi sec et qu'avec un petit bisous sur la joue elle susurra doucement à l'oreille qu'il ne méritait peut être pas une pipe, celle ci il allait devoir la mériter.

Elle le prévint, elle allait détacher ce qui maintenait sa bouche close, au moindre mot non désiré, elle le remettrait et il aurait à subir ses foudres. Elle lui retira la corde puis le string qui était dans sa bouche. À peine eut-elle fait cela qu'il se mit à rire. Il ne la pensait pas assez assurée et quand il lui dit qu'il la connaissait et qu'il n'avait aucune peur de ses foudres, le sang d'Amandine ne fit qu'un tour! Elle avait l'occasion de le punir.
Après un très affirmé "la prochaine fois tu apprendras à te taire, je vais te montrer comment on refroidit les insolents de ton genre", elle lui remit le string en bouche et relaça le tout pour qu'il se taise. Il allait voir si rire était la chose à faire. Il allait le payer.

Elle le regarda à nouveau, prit une bonne gorgée de vin et retourna à la cuisine. Elle prit un petit bol de glaçons et revint au salon.

Il se demandait réellement ce qu'il allait se passer. Il avait douté d'elle, il était persuadé qu'elle était incapable de le soumettre. Allait-elle le surprendre? Il n'y croyait pas vraiment. C'est une sensation lancinante de froid sur sa cuisse qui le tira de son questionnement, qu'est ce qu'elle était en train de faire, elle glissait le glaçon remontant vers son sexe, elle allait lui glacer les couilles si elle faisait ça. Il comprit soudain le "je vais te montrer comment on refroidit les gens de ton genre". Son sexe était tellement chaud, la sensation de froid allait être très violente sur ses testicules. Le glaçon remontait de plus en plus, chaque centimètre augmentait les sensations, qu'allait-il ressentir? Il le sut rapidement quand elle posa 2 petites secondes le glaçon sur une de ses boules. La sensation était à la fois désagréable et agréable, un mélange de froid de la glace combiné à l'excitation qui l'emplissait. Le glaçon vint se poser sur l'autre testicule, même effet. Mais la garce ne s'arrêta pas là, elle vint le poser de la même façon à la base du membre et remonta jusqu'au gland en le faisant glisser. C'était une douce douleur presque agréable, mais son sexe n'était pas ment d'accord avec cela, il descendit doucement, débandant sous l'assaut du glaçon.

Elle posa rapidement le glaçon et prit le sexe mou dans sa bouche, le contraste avec la chaleur le fit remonter assez rapidement, elle le léchait sur toute sa longueur, le prenait en bouche, embrassait et lechouillait le bout du gland, elle devorait ce sexe qu'elle aimait tant.
La bite reprit rapidement toute sa vigueur, Emilien laissait échapper de son bâillon quelques gémissements étouffés. Que cette pipe était bonne. Mais elle fut courte…

Dès qu'elle entendit les premiers gémissements, Amandine s'arrêta et reprit sa petite arme qu'était le glaçon et elle recommença sa lente progression, partant des genoux. Elle s'approcha à nouveau doucement du sexe et s'arrêta.

Emilien profita de ce moment de sursis. Elle détacha à nouveau le bâillon de sa bouche. Pour qu'elle s'arrête, il n'avait qu'une chose à faire, il devait lui présenter ses excuses, lui dire qu'il n'aurait jamais dû douter d'elle et accepter le moindre de ses ordres toute la soirée.

Et à nouveau il ne put s'empêcher de rire, était-ce de penser à son petit sourire angélique ou à la situation inversée, il ne sut pas mais l'effet fut immédiat. Elle rattacha le string d'un tour de main et recommença son manège, elle recommença à le faire debander puis à le sucer. Elle savait qu'il ne reducirait pas ainsi éternellement, mais elle savait aussi qu'il finirait par craquer. Il avait envie de plus!

Il allait craquer, il voulait pouvoir la baiser et si elle continuait il ne pourrait plus bander. Elle le savait en plus. Il se promit donc de lui obéir, il n'avait plus le choix et il avait bien compris qu'elle ne le lacherait pas, il n'avait pas face à lui sa soumise mais une femme affirmée qui voulait le dominer et qui le ferait par tout les moyens. Quand elle lui annonça qu'il ne lui restait plus qu'une chance pour s'en sortir sans qu'elle ne joue avec lui toute la soirée. Il se promit de lui obéir. Le bâillon à peine enlevé il murmura qu'il était désolé et qu'il allait obéir. Elle lui fit répéter une seconde fois, puis une troisième, lui demandant de parler plus fort.

Elle était heureuse de son petit pouvoir, son manège avait fonctionné, il savait désormais de quoi elle était capable même si elle n'avait employé que des méthodes douces mais la soirée n'était pas finie, il essayerait bien à nouveau de tester son autorité et elle n'allait pas le décevoir.


La règle pour la suite était simple, elle imposait le silence et elle seule donnait la parole, chaque prise de parole non désirée serait sanctionnée. Les bases étaient posées.

La suite des événements la faisait un peu douter, elle allait devoir le détacher mais sans se faire attr, elle connaissait sa force et savait qu'il pouvait facilement retourner la situation si elle lui en laissait l'opportunité. Il fallait agir de façon réfléchie. Son corset laissé au sol laissait dépasser encore un lacet. Elle n'avait qu'à lui attacher les mains sans la chaise pour qu'il n'ait aucun moment les mains détachées. L'opération fut rapide, elle lui détacha les pieds et le tira par le bras jusqu'à elle. Elle le lâcha et, vicieusement lui demanda de la suivre en accélérant le pas. La réaction attendue ne se fit pas attendre et un "comment veux tu que je te suive sans te voir" se fît entendre. Elle réagit au quart de tour et un claquement de fesse retentit. Emilien, peu habitué lâcha un "aïe" de douleur qui entraîna une fessée immédiate sur l'autre fesse. Elle maîtrisait cette opération, les fessées étaient cinglantes et le réduisirent au silence. Pas besoin de tester ses limites, si c'était comme pour la soumission il savait qu'elle n'en avait pas. C'est à ce moment qu'il prit conscience qu'elle maîtrisait vraiment la situation. Elle reprit sa marche et il avança essayant de suivre le moindre des bruits qu'il entendait. Fichue musique qu'elle avait allumée pour son strip tease, les pistes étaient brouillées. De mémoire, il devait être à l'entrée de la chambre.

Elle le tira par le col de sa chemise qu'elle ouvrit. Elle embrassa son torse qu'elle aimait temps, le caressant en jouant avec la belle Toison qui le recouvrait.

Il se sentit rapidement emporté, elle l'avait tiré et retourné. Elle le poussa d'un coup sec sur le lit et reprit ses caresses et ses baisers. Elle se mit à le mordiller, lui arrachant des petits gémissements. Un petit "chut, sinon la prochaine fois je double" Le rappela à l'ordre. Si elle voulait, elle n'avait qu'à le retourner pour le fesser à sa guise.

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