La Mamie Avait Froid
LA MAMIE AVAIT FROID
Bonjour,
Cette histoire est aussi vraie que les autres. Seuls les noms des personnes et des lieux sont changés.
Bien souvent, le matin, sitôt le jour levé, je prends mon vélo et je vais sillonner les rues de la ville.
Le dimanche jen profite pour prendre du pain et des croissants chez un boulanger du centre ; celui de mon quartier étant fermé...
La mi septembre est passée depuis quelques jours quand le beau temps a viré à la pluie et au froid. Ce changement climatique entraîne une fraîcheur désagréable à supporter.
Ce dimanche-là, sous un fin crachin, jarrive à la boulangerie quelques minutes après son ouverture.
Pendant que son employée sert, le patron accueille les premier(e)s client(e)s par un bonjour et un mot gentil pour chacun(e)...
Après moi arrive une dame chaudement vêtue dans un manteau foncé, une écharpe qui lui cache la moitié du visage, un bonnet descendant jusquaux oreilles, les mains dans de gros gants de laine.
« Bonjour madame Yvonne ! Vous êtes bien matinale aujourdhui... » lui dit le patron
« Ne men parlez pas, jai très mal dormi... Je suis gelée... Cette fraîcheur soudaine commence à rentrer dans la maison... Je ne sais pas mettre ma chaudière en marche et mon chauffagiste est parti pour la semaine....
- Vous voila bien malheureuse... Il faut bien vous habiller... ce temps ne va pas durer... le soleil va revenir... »
Tout en parlant, la dame avait enlevé son écharpe et ouvert son manteau afin de profiter de la chaleur qui régnait dans la boutique.
Madame Yvonne (comme lavait appelé le boulanger) est une personne dune soixantaine dannées. Sans maquillage, les joues rosies par la réaction bien naturelle du froid et chaud. Elle est vêtue dune grosse robe couleur sombre et longue qui laisse apercevoir de chaudes bottines. Ses vêtements épais lui donne une silhouette un peu forte. Son visage, pas trop marqué par lage, reflète une expression de mélancolie, voire de tristesse.
Aprés les salutations dusage, nous avions échangés des banalités ...
Etant servi, jétais encore devant la porte à ranger mes achats dans les sacoches de mon vélo quand Yvonne sort du magasin.
« Excusez-moi Madame, mais, sans être indiscret, jai entendu que vous aviez des problèmes de chauffage... Par ce temps, ce nest pas agréable...
- Mon problème, cest que je ne sais pas remettre ma chaudière en marche... Dhabitude cest mon chauffagiste qui le fait... Cette pluie et ce froid sont arrivés sans prévenir...
- Si vous voulez, je peux essayer de vous la mettre en route cette chaudière...
- Je suis très frileuse... Je veux bien accepter votre aide mais je ne voudrais pas vous déranger...
- Si je vous fais cette proposition, cest que jai tout mon temps...
-Alors allons-y... »
Pendant les quelques minutes du trajet, nous échangeons des banalités sur le temps pour arriver devant une maison cossue.
Nous entrons par le garage au fond duquel se trouve le local de la chaudière.
- « Il y avait une chaudière au charbon que nous avons remplacé quand le gaz de ville est arrivé. Elle est un peu vieille mais elle sert que pour le chauffage. Leau chaude est fournie par un cumulus électrique » me dit Yvonne.
Après lavoir « inspectée », ouvert le gaz et lélectricité, la chaudière se met en marche au deuxième essai.
« Avant de partir, javais mis la cafetière en marche... Vous en prendrez bien une tasse...
- Merci, ce nest pas de refus... Avec ce temps ça réchauffe... »
Je me retrouve dans la cuisine. Cest une pièce assez grande, bien équipée.
Avec Yvonne, nous conversons tout en buvant notre café. Cest ainsi que jappris quelle était âgée de près de soixante cinq ans, quelle était veuve et vivait seule depuis vingt ans, quelle avait trois s dont les obligations professionnelles tenaient éloignés..
Elle avait la joie de recevoir ses petits s une grande partie des vacances scolaires, cest pourquoi elle gardait cette grande maison avec quatre chambres pour elle toute seule. Mais plus le temps passait, plus la solitude lui pesait...
Tout en discutant, jentendais un bruit deau sécoulant dans les radiateurs...
- « Madame, vous entendez ce bruit... vos radiateurs ont besoin dêtre purgés... ce nest pas long ..., si vous avez une pince et un tournevis, je peux vous le faire...
- Appelez-moi Yvonne comme tout le monde... Je sais quà chaque mise en marche du chauffage il faut purger... mais je ne voudrais pas r de votre temps... jai des outils au garage, dans un petit placard à coté de la chaudière...
- Je connais le chemin, je vais chercher ce quil me faut et je reviens...
-Merci, vous êtes trop gentil... »
Quand je reviens, Yvonne sétait changée. Elle avait remplacée sa grosse robe par une blouse plus légère, plus courte, de couleur claire, boutonnée sur le devant. Elle avait chaussées des pantoufles. Ses cheveux bruns grisonnants, coupés courts et légèrement frisés, lui couvraient les oreilles et la nuque. Une veste en laine complétait son habillement...
Je lui demandais un récipient pour récupérer leau qui sécoulerait et une serpillière pour essuyer.
Je commence par purger les radiateurs de la cuisine.
Cest Yvonne qui se baisse pour éponger les quelques gouttes tombées au sol. Pour cela elle saccroupit en me tournant le dos, jambes écartées, le torse penché vers lavant... Une telle position me permet davoir une vue plongeante, sur sa poitrine. Par l'échancrure de sa blouse, j'aperçois deux seins qui, malgré le soutien gorge, ont lair encore bien fermes.
Une main sur le radiateur, jattends quelques minutes pour sentir si le circuit deau chaude se faisait bien...
Guidé par la maîtresse des lieux, nous passons dans lune des chambre ou se trouvent deux radiateurs (un de chaque coté de la porte-fenêtre).
Dans la deuxième chambre, ou il y a aussi deux radiateurs, Yvonne ne prend pas trop de précautions pour saccroupir en écartant les cuisses tout en me faisant face. Dévissant et revissant la purge, mon regard se tourne souvent vers cet entre jambes si bien exposé... Il me semble quYvonne prend un malin plaisir à me faire voir ses dessous. Serait-elle exhibitionniste ? Cest en purgeant
le deuxième radiateur que japerçois des traces dhumidité sur sa culotte...
Dans la troisième chambre, Yvonne va changer sa serpillière mouillée contre une plus sèche. Avant de me rejoindre, elle passe par le cabinet de toilette car jentends la chasse deau fonctionner... Je me dis que les traces dhumidité sur la culotte devaient être quelques gouttes durine échappées... La température commençant à s'éléver dans la maison, elle avait quittée sa veste...
Comme chaque fois, après avoir purgé, jattends pendant, quelques instants, larrivée de leau chaude en posant une main sur le radiateur. Cela me permet de regarder Yvonne sactiver... Toujours de la même façon : Accroupie, tête baissée, me faisant face, ses cuisses largement écartées... Quelle nest pas ma surprise de voir quelle na plus de culotte... A travers la toison brune et très fournie de sa vulve, je vois la chair rosée de ses petites lèvres. Cela me conforte dans mon impression que cette femme a des tendances exhibitionnistes.
- Je ne risque rien : cest justement la partie la plus chaude... » me dit-elle en me regardant d'un air coquin
J'ai un autre regard pour son visage, ses traits fins et doux, ses yeux qui me traversent,
sa respiration est plus rapide...
« De son vivant, cest mon mari qui faisait ce travail... Depuis que vous avez commencé, je repense à cette époque... Chaque fois nous faisions lamour dans lune de ces chambres... Cela ma excité et jai envie de jouir me dit-elle en se levant et se penchant vers moi. Je ne peux rester insensible à de tels arguments. Une tension incontrôlée gonfle lavant de mon pantalon... Dun regard,
Yvonne voit cette réaction...
Elle appuie sa poitrine sur moi et me murmure à loreille : , je sais que tu es excité..., je texcite
, et si on jouait un peu ?
Je ne dis mot mais je consens de la tête, surpris par ses paroles et en même temps heureux de les entendre.
Je déboutonne doucement sa blouse qui glisse au sol, elle se retrouve seulement vêtue dun ravissant soutien-gorge à balconnet qui met ses seins en valeur,
Mon excitation est au summum. Je sens des pulsations de désir secouer mon corps tout entier, elle continue à se pencher, frottant sa poitrine sur la mienne. Elle me touche le visage, doucement... Elle sapproche de ma bouche, je sens sa respiration se confondre avec la mienne
ses lèvres charnues se joignent aux miennes qui sentrouvrent pour accueillir sa langue désireuse.
Nous nous embrassons pendant de longues minutes, langoureusement, passionnément...
Je serre son corps contre le mien, je lattire contre moi pour sentir sa chaleur...
Je dégrafe son soutien-gorge pour voir ses merveilleux seins, encore bien fermes malgré l'âge, pointer devant moi dans toute leur splendeur
des mamelons durs et fermes qui le deviennent encore davantage lorsque je les prends entre mes lèvres et commence à les sucer.
Elle gémit, gémit de plaisir et moi je mexcite comme jamais, jai envie delle, de son corps.
Elle se détache de moi, mattire sur un lit et menlève mon pantalon et mon slip dun geste brusque et décidé.
Elle écarte ses jambes, commence à membrasser le bas du ventre, puis elle descend plus bas et de ses doigts prend ma verge pour me lécher le gland tout en me masturbant
je bande à en mourir, mon corps est secoué de la tête aux pieds, que cest bon !
Je tiens sa tête entre mes mains, je lui caresse les cheveux mabandonnant à cette passion inattendue, à cette expérience toute nouvelle. Mon plaisir est extrême, je le sens monter en moi, je cambre le dos pour faciliter la pénétration de ma queue dans sa bouche, pour aller encore plus loin
la jouissance se fait de plus en plus forte, à ny plus tenir, jusquà exploser dans de longues giclées merveilleuses.
Après quelques instants de répit, je massois sur le lit et prenant la main avec laquelle elle ma masturbé, je lui suce les doigts langoureusement, doucement...
Elle me murmure : Il y a longtemps que je nai pas si bien joui..., je suis une vieille cochonne..., jaime ça et je crois que lon va passer de bons moments tout les deux ! Ton sperme est bon, il est doux et parfumé comme jaime.
Je lui souris flattée et descendant du lit, je me mets debout à côté delle et je commence à lembrasser sur la bouche savourant le parfum quelle a encore sur ses lèvres, je la caresse. Sa peau est douce et ses cheveux ondulés souples et aux senteurs de lavande.
Je passe une main sur son dos, je la sens vibrer
je la serre contre moi...
Je saisis son petit cul ferme et musclé de mes deux mains.
Lexcitation monte à nouveau, je lui lèche la poitrine, lui suce le bout des seins, je passe ma main entre ses jambes et sens sa chatte gonflée.
Je me baisse pour lui lécher le minou, ma langue explore son intimité, je sens son odeur, jouvre ma bouche et lui mange la chatte, elle est toute mouillée de plaisir. Je bois ce jus odorant et excitant.
Elle accompagne mes coups de langue de mouvements du bassin. Je suis penché sur elle et je sens que je coule de plaisir, d'une main je commence à me masturber tout en continuant à la lécher
Elle gémit, en proie à un orgasme grandiose... Ma bouche se remplit de son liquide que je savoure avec délectation.
Elle tremble de plaisir.
Après quelques baisers et caresses tendres, je recommence à bander... Je fais asseoir Yvonne sur le bord du lit... elle a les jambes pendantes, les cuisses bien écartées. Sa Vulve ouverte, dégoulinante de mouille attends dêtre comblée... Je la pénètre dun coup... Avant de commencer les va et vient, je sens les palpitations de son vagin...
Quand jéclate en de longs spasmes, elle a un orgasme intense ..., proche de lévanouissement...
Après une bonne douche prise en commun nous nous séparons. Je lui promets de revenir, de temps en temps, contrôler si le chauffage fonctionne bien....
Petikokin
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