Une Cochonne Québécoise À Paris

Je m'appelle Julie et j'habite Montréal, au Québec. Je suis une brunette de 25 ans aux yeux verts de taille moyenne. J'ai de gros seins fermes (bonnet D) une taille fine et un cul bombé qui fait bander les hommes, sans parler d'une petite bouche rose pulpeuse en forme de coeur. Chaque année, je me rends dans une destination différente pour découvrir les nouvelles cultures, mais aussi pour assouvir mes fantasmes avec des inconnus.
Ma première destination fut Paris. Après quelques jours de tourisme, je remarquais que les parisiens n'étaient pas insensibles à mes charmes et que plusieurs me jetaient des regards très explicites. Il ne m'en fallait pas moins pour passer à l'attaque et comme j'avais l'embarras du choix, quoi de plus facile! Attablée dans un restaurant, j'ai remarqué deux beaux mâles à quelques tables qui me fixaient et avaient l'air de discuter. Le premier était un beau black bien musclé et le second un pur parisien que je devinais avoir un corps d’Apollon. Sans plus attendre, je leur fis un petit signe de la main pour les inviter à ma table et ils s'empressèrent de venir me rejoindre. Après une longue conversation, mon string étaient trempée tellement je nous imaginais baisant toute la nuit et je leur demandai : «Mon hôtel est à quelques rues, on y va ?». Ils me suivirent et on entra dans ma chambre.
Après quelques verres j’en avais marre de discuter. Je voulais voir leurs bites, mais avant je décidai d’une mise en scène. Je m’excusai pour prendre une douche et je revins près d’eux en peignoir de satin sur un déshabillé rouge transparent avec petit string assorti.
Je me place contre le mur, j’enlève mon peignoir et j’ondule les hanches en les regardant. Le black, mal à l’aise, me dit qu’il est marié. Je lui réponds qu’il fallait y penser avant de venir. Je me retourne et je bouge mon cul en lui demandant si sa femme a un aussi beau cul. À voir son air subjugué et la bosse dans son pantalon, j’en déduis que non.

Je lui dis alors que ce sera notre petit secret et que je ferai tout ce que sa femme refuse de faire. Le blanc, qui s’appelle Cédric semble particulièrement disposé à mon égard, puisqu’il commence déjà à se déshabiller.
-T’es une petite salope alors ?
-Oui, je fais tout ce que tu demandes.
-Viens et pompe-moi comme une pute.
Gourmande, je m’approche de lui et je lui enlève son pantalon et son caleçon. Il a une queue épaisse et un beau gland appétissant. Je commence par lécher sa queue de haut en bas, elle a bon goût. Je fais des succions sur son gland en donnant des petits goûts de langue. Il m’agrippe par les cheveux et m’enfonce sa queue jusque dans la gorge. Hum! Je le suce à un rythme d’enfer, lui malaxant les couilles d’une mais et jouant avec l’entrée de son anus de l’autre main. Il ne lui en faut pas plus à ce rythme pour m’exploser dans la gorge. Déçue, je décide qu’il m’en faut plus, ma petite chatte est brûlante et mon beau black,
Patrice, semble complètement tétanisé sur place. Il me regarde comme hypnotisé et il fixe mon cul. Je me redresse et je m’approche de lui. Je pose ma main sur son entrejambe et il gémit un peu. Je ne peux pas voir une aussi belle érection sans songer à m’en occuper. Je tire sur sa fermeture éclair, baisse son pantalon et je sors cette queue magnifiquement grosse et longue. Je me mets à la caresser, mais Patrice est tout crispé tandis que Cédric semble hébété suite à son orgasme. Je me dis que s’ils ne sont pas disposé à me baiser je vais me satisfaire toute seule. Je vais chercher un gode que je viens d’acheter et je m’étends sur le tapis moelleux, devant eux. J’écarte les cuisses et je commencer à jouer avec mon gode. Ma petite chatte dégouline et mon clito est gonflé à l’extrême. Je les regarde pendant que je me donne du plaisir et je constate que Cédric a de nouveau la queue dure. Je sens que je vais jouir et je me penche par derrière, mes seins pointant vers le ciel en pleine extase.
Quand j’ai senti une main prendre mon gode, j’ai ouvert les yeux et Patrice me regardait. À ce moment-là, j’ai perdu le contrôle de mon petit jeu. Je me suis retrouvée brutalement soulevée et jetée à quatre pattes.
-Tu vas avoir ce que tu veux ma petite salope. Je vais défoncer ta petite chatte.
Patrice m’agrippe les cheveux et me rentre son énorme bite d’un seul coup au plus profond de ma petite chatte dégoulinante. J’ai crié de joie et Cédric en a profité pour venir me mettre sa queue dans la bouche. Je me faisais pistonner à grands coups de queue et je suçais en même temps. Je jubilais et il ne m’en fallait pas plus pour avoir un premier orgasme quand la queue de Patrice me fouillait la chatte dans tous les sens. J’étais déconnectée de la réalité et mes amants en profitaient. Je me suis retrouvée couchée sur Patrice, sa queue toujours dans ma chatte et je sentis Cédric lubrifier mon anus.
-Non pas là.
-Tais-toi ma petite salope. Tu vas la prendre et tu vas aimer ça.
Il force l’entrée un peu et me pénètre l’anus d’un coup sec. Avec la bite de Patrice au fond de ma chatte, sa belle bouche qui me suce les mamelons et Cédric qui m’explose le cul, mon cerveau s’est déconnecté et je suis devenue une vraie chienne en chaleur.
Ils poussaient chacun de grands coups de queue très profondément et je pouvais frotter mon clito contre le pubis de Patrice. Je le regardais dans les yeux pendant qu’il me pistonnait et que je me frottais contre lui. Des deux c’était lui qui m’excitait le plus et je lui ai fait sentir. Je me relevai et vint m’installer sur Patrice, de dos. Je me suis enfourchée sur sa belle queue dure comme la pierre qui me donnait tant de plaisir. Cédric vint mettre sa queue entre mes seins. Patrice les tenait et les serrait dessus. Je donnais des coups de langues. Il m’envoya son sperme sur la poitrine, dans le cou et dans le visage. Pendant ce temps, Patrice avait joui partout dans ma chatte. Sa bite était pleine de mon jus et de sperme, je la lui léchai amoureusement.
Mes deux amants prirent congé, mais je voulais revoir Patrice seule à seul. Je lui demandai de revenir le lendemain…
À suivre