En Pension
Mon indiscipline avait conduit mes parents à me mettre en pension. Cours, études, réfectoire, dortoir est le parcours du quotidien.
Mon voisin de bureau et de dortoir, un redoublant, plus grand que moi, m'avait à la bonne et m'invita à reconnaître tout ce qu'il avait dans le pensionnaire. Debout il me caressait les épaules, quand nous étions assis il caressait mes cuisses dénudées. Nous étions les trois-quart de l'année en short.
Un jour, à l'étude, il posa sa main sur ma cuisse et comme il m'en avait donné l'habitude, je le laissais faire, prenant son geste pour un geste d'amitié. Et comme nous étions dans le fond de la salle, personne ne pouvait voir nos gestes, il remonta sa main lentement vers mon entrejambe. Surpris, je n'osais rien dire ni protester et sa main arriva à hauteur de mon sexe, qui se redressa aussitôt. Il malaxa la bosse de mon short, puis redescendit sa main et glissa ses doigts par la jambe, passa derrière l'élastique de mon slip et atteignit mon sexe tendu. Je fixais la page du livre de leçon qui était devant moi et laissais la main de mon voisin agir à son gré.
C'était la première fois quune main étrangère touchait mon sexe et j'avoue que j'ai adoré ça. Sa main était douce et ses gestes précis. De ses doigts, il jouait avec mon prépuce jusqu'au décalottage de mon gland. Tant est si bien que j'ai lâché mes premières gouttes de sperme dans sa main. Sa main s'est arrêté de bouger, il la retira lentement et discrètement, puis se mit à lécher et avaler mon liquide visqueux.
Il se pencha ensuite vers mon oreille, et me dit : "tu as aimé ?" et je répondis honteux d'un petit "oui". Aussitôt, il me dit à voix très basse : "mets ta main".
Quand j'ai voulu plonger ma main dans son pantalon, je m'aperçus que celui-ci était ouvert et sa verge tendue et naturellement décalottée attendait ma caresse. Je pris son membre à pleine main et commença à le caresser gentiment. Il était fort et très chaud et ma caresse se traduisit par des gestes plus réguliers allant de haut en bas.
Au moment où il allait éjaculer, il retira ma main et il recouvrit son gland de son mouchoir. Je regrettais de ne pas avoir reçu son sperme dans la main. Il resta un moment, comme ça, immobile, attendant que son sexe se amollisse peu à peu et il remit son mouchoir dans sa poche et remonta sa braguette discrètement.
La nuit de ce premier jour, il attendit que tout le monde dormait dans le dortoir, puis tel un serpent, il rampa jusqu'à mon lit. Couché sur le parquet, il me demanda de me mettre sur le bord, ce qui lui permit d'attr mon sexe avec la bouche. Il me pompa à merveille. Sa bouche chaude glissait bien entre ses lèvres et je ne tardais pas à lâcher mon jus, qu'il avala à chaque jet.
Une nuit sur deux, c'était l'un ou l'autre qui suçait l'autre et ça jusqu'au bout de l'année.
Jamais personne ne s'est douté de notre complicité diurne ou nocturne.
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