Leslie Transexuelle Chapitre 66

CHAPITRE 66 – Myriam, une petite femme à lunettes.

Une fin d’après-midi.
Chris à été retrouver son copain à Paris pour le week-end et Jacques est en congés en Grèce, je suis seule en ce moment à la maison et profitant des derniers beaux jours je me suis rendue en ville pour faire quelques achats, en ce samedi il y a beaucoup de monde dans les rues et ne trouvant rien d’intéressant à acheter je décide de me poser un moment à la terrasse d’un café et profiter de la douce chaleur de la fin d’après-midi.
Je me suis rendue à mon café favori où confortablement installée dans les fauteuils en osier devant un thé glacé, je me suis mise
à feuilleter distraitement une revue en regardant les passants.
En cette fin d’après-midi il y a beaucoup de monde et je regarde les silhouette des passants oubliant ma revue qui en fait ne m’intéresse pas tant que cela, c’est comme cela que j’ai remarquée au loin une agréable silhouette marchant tranquillement, à cet instant mon cœur s’est mis à battre plus fort et mon regard n’a pas quitté le petit brin de femme qui se dirige vers le café où je suis installée.

Myriam, la rencontre.
Toute jeune, 19 ans tout au plus, menue aux formes harmonieuses, mince sans être squelettique, petite elle doit faire à peine
1m60, elle a de longs cheveux noirs de jais et elle marche nonchalamment perchée sur de hauts talons qui agrandissent sa silhouette. Elle est habillée sexy d’une mini jupe noire à mi-cuisses, qui sont habillées de bas couleur rose pâle et d’un petit boléro transparent, assortit aux bas, laissant apparaître sa petite poitrine aux seins ronds et pleins, elle porte des petites lunettes d’écaille qui lui donne un air de midinette et ses yeux verts en amande sont ravissants, nos regards se croisent pendant un instant et elle abhorre un sourire au coin de ses lèvres fines maquillée d’un léger rouge à lèvres carmin.
Elle est tout à fait ravissante, son apparence juvénile mais déterminée et la façon de s’habiller lui donne un physique qui accroche les regards et d’ailleurs je n’arrive pas à la quitter des yeux pour retourner lire ma revue, je suis subjuguée et fascinée, si seulement……
Prenant tout son temps la jeune femme parcoure des yeux la terrasse du café, comme si elle cherche une silhouette connue ou un quelconque rendez-vous, puis s’avance vers une table libre non loin de la mienne et s’installe en me faisant face, elle est vraiment ravissante et mes sens s’affolent, la tête me tourne et mon cœur se serre.



Après avoir pris la commande, le serveur est revenu avec un thé au lait, je continue de regarder ce joli brin de femme qui installée dans son fauteuil en osier croise et décroise ses jambes gainées, la petite jupe remontant sur ses cuisses laisse apparaître le haut de ses bas et les jarretelles rose saumon qui les tiennent, vision fantastique qui accroche mon regard à chaque mouvement des jambes.
Cette petite est une sacrée coquine, car à un moment elle s’aperçoit que je l’observe et que je ne peux quitter mon regard d’elle, alors elle m’adresse un large sourire te décroise ses jambes, puis lentement elle entrouvre ses cuisses pour me dévoiler son pubis, elle ne porte pas de culotte et mes yeux découvre une belle toison noire et abondante, alors que discrètement elle passe sa langue sur ses lèvres maquillées.
Refermant et entrouvrant ses jambes encore plus à mon regard elle fait naitre en moi des désirs, et je me demande à présent comment pouvoir l’aborder sans trop l’effarouchée.

Je suis plongée dans mes pensées tandis qu’elle continue son petit manège, et à un moment elle se lève et viens vers moi avec sa tasse de thé et s’installant à ma table, elle me dit :
- J’espère que je ne te dérange pas et qu’après m’avoir observée tu as appréciée le spectacle et que tu ne vois pas d’inconvénient à ce que m’installe à ta table.
- Euhh, non, oui, je bafouille troublée par l’audace de cette jeune fille.
- Bon, réplique t’elle, non je te dérange pas et oui tu as appréciée, alors je m’installe.
- Oui, ohhh oui, dis-je quelque peu fébrile.
- Myriam, me dit-elle, et toi.
- Leslie.
- J’aime bien ce prénom, tu es seule ou tu attends quelqu’un, me demande t’elle.
- Je suis seule.
- Super, moi aussi et apparemment je ne te laisse pas indifférente.
- Ohhh que non, je te trouve bien mignonne.
- Alors c’est super, car moi aussi je te trouve fort belle, me dit-elle.
Et nous entamons une conversation comme deux amies qui ne se sont pas vues depuis très longtemps, Myriam est encore plus mignonne de près et elle prend plaisir dans notre conversation, s’intéressant à tout et ayant des avis sur chaque sujet abordé.

Cela fait maintenant une heure que nous sommes ensemble et prenant ma main par-dessus la table et me plantant ses yeux dans les miens, Myriam me dit :
- Tu sais Leslie, tu me plais terriblement, je n’ai jamais ressentie cela aussi soudainement avec d’autres filles et bien que je sois bisexuelle et que tu possède un charme fou, je n’arrive pas à savoir pourquoi je suis si attirée par toi comme cela.
- Par contre, moi, lui dis-je, je sais ce qui m’attire en toi, c’est ton aspect juvénile et tes lunettes qui te donnent un air coquin et ce côté impudique que tu m’as laissée entrevoir.
Loin de rougir de mes propos Myriam rigole et rajoute :
- J’adore allumée les hommes ou les femmes, faire naître des désirs en eux avant de finir au lit ensemble.
- Alors tu me suis si je t’emmène chez moi ?
- Bien sur que je te suis, me répond Myriam, et même tout de suite sans plus attendre.
Passant son corps par-dessus la table elle vient déposer ses lèvres sur les miennes et dans un souffle elle rajoute :
- On y va ma chérie !

J’emmène Myriam à la maison.
Sans perdre de temps, je règle l’addition et nous voilà partie pour la maison.
Une fois arrivée, Myriam découvre la piscine et émet le désir de se baigner, je lui propose de lui prêter un maillot de bain, mais elle me dit :
- Tu sais cela ne me pose pas de problème de me baigner nue, et puis ainsi nous découvrirons nos corps et ce n’est que devancer l’instant de nous retrouver nue dans ton lit.
Elle ne manque pas d’aplomb en plus, Myriam est vraiment très libre et sans tabou, seulement je me sens un peu gênée car elle va découvrir que je suis une transsexuelle et cela risque de lui déplaire ou de la fâchée de lui avoir cachée mon état et de la faire fuir, mais Myriam installée dans le salon commence déjà à se mettre nue.
Après avoir enlevée son petit boléro et dévoiler sa poitrine aux larges auréoles brunes, elle enlève sa mini-jupe pour se retrouver en bas et porte jarretelles, elle est ravissante.

Myriam possède une belle cambrure de reins et sans ses chaussures elle est vraiment petite, son pubis est orné d’une toison brune très fournie savamment entretenue et taillée, mais Myriam est épilée sur tout le reste de son corps, elle enlève le porte-jarretelles et les bas et se retrouve nue devant moi alors que je viens seulement d’enlever mon tee-shirt.
Myriam s’exclame :
- Quelle mignonne petite poitrine !
Heureuse du compliment, j’ouvre mon pantalon et le fait descendre le long de mes cuisses libérant mon sexe que Myriam découvre en s’exclamant à nouveau :
- Leslie, ma chérie, mais tu es une transsexuelle !
- Et oui, cela te déplait-il, que je lui demande.
- Non pas le moins du monde, tu vas être ma première trans et j’adore les nouveautés.

Sans plus tarder nous allons main dans la main nous baigner, nous faisons quelques longueurs et Myriam alors que je suis dans l’eau au bord de la piscine se rapproche de moi et viens m’embrasser, elle en profite pour coller son corps au mien. Son corps contre le mien me met aussitôt en érection, et mon sexe se colle contre son ventre, ce qui n’a pas l’aire de déplaire à Myriam qui prend mon sexe en main en me disant :
- Belle pièce, je me sens toute excitée, allons vite dans ta chambre ma chérie.
Nous sortons de la piscine, et prenant à peine le temps de nous sécher nous allons directement dans ma chambre.

A peine entrées dans la chambre, Myriam se colle à moi et m’embrasse à pleine bouche en prenant mon sexe en érection dans sa main et me dit :
- Je vais te sucer, j’en ai trop envie.
Elle s’accroupie en écartant les jambes de façon à avoir la tête au niveau de mon bas-ventre, dans cette position elle entrouvre les lèvres et prend mon sexe en bouche et me suce avec passion faisant tourner sa langue autour du gland. Myriam suce délicieusement avec une grande douceur et application, essayant de me donner un maximum de plaisir. Je gémis doucement sous la caresse.

Après quelques instants, Myriam se relève et va s’allonger sur le lit les jambes grandes ouvertes, dévoilant sans pudeur son sexe entrouvert dont l’intérieur rose tranche avec le brun de sa toison. Me regardant dans les yeux elle se caresse, entrouvrant des ses mains son sexe, et me dit :
- Viens Leslie je suis à toi et je te désire, fais moi l’amour.
Je monte sur le lit le sexe dressé et me positionne entre ses jambes, en même temps que je pose mes lèvres sur les siennes, je
la pénètre de mon sexe en lui tirant un gémissement de sa gorge, Myriam est mouillée et mon sexe n’a aucun mal à rentré en elle, la chaleur et la douceur de son intérieur me fait frémir de plaisir, Myriam me chuchote doucement :
- Oh oui, mon amour, c’est bon.
Doucement je démarre un lent va et vient, la pénétrant au plus profond et en ressortant au maximum, a chaque poussée, Myriam soupire, puis j’accélère doucement la cadence, la tête de Myriam ballotte de gauche à droite au rythme de mes pénétrations, son souffle s’accélère au fur et à mesure que mes mouvements se font plus profonds et plus forts, et soudainement Myriam crie sa jouissance, son orgasme l’emporte, je dépose un baiser sur ses lèvres qui s’entrouvrent, Myriam m’offre sa langue qui se mêle à la mienne me faisant découvrir la fraîcheur de sa bouche.
Je continue à rentrer et sortir en elle, Myriam continue de surfer sur la vague de sa jouissance et se laisse emporter par un deuxième orgasme, elle crie de bonheur tandis que ses yeux se remplissent de larmes, dans un gémissement Myriam me dit :
- Arrêtes Leslie, je n’en peux plus, c’est trop puissant.
Mais doucement je continue de l’emmener au bout d’elle-même, elle se fait emporter par le plaisir et la jouissance et dans un dernier cri elle se raidit et perd connaissance.
Lorsqu’elle revient à elle, à peine trois secondes après, elle me dit avec le souffle court :
- C’est trop puissant Leslie, je n’en peux plus.
Je suis au fond d’elle, profondément ancré au fond de son sexe qui se serre autour du mien par de petites convulsions, je reste ainsi sans bouger car au moindre mouvement son corps frissonne et la sensation est à la limite du supportable.
Doucement je me retire d’elle et la prend dans mes bras, elle se love contre moi comme une petite fille recherchant la protection, et nous restons ainsi laissant nos corps se calmer.

Les envies de Myriam.
Je pense que je me suis assoupie et c’est la bouche de Myriam autour de mon sexe qui me sort de la torpeur, Myriam me suce avec délicatesse et application, doucement sortant mon sexe d’entre ses lèvres pour le reprendre le plus profondément possible.
Je suis vite en érection et dans yeux de Myriam je sens un immense contentement de me mettre dans tous mes états. Dégageant sa bouche de mon membre, elle me dit :
- J’ai encore envie, prend moi maintenant.
Elle se positionne en levrette sur le lit, cambrée au maximum dans l’attente de la pénétration et rajoute :
- Viens je t’attends.
Je me relève et me place derrière Myriam entre ses jambes, je positionne mon gland à l’entrée de sa vulve et la pénètre doucement, elle est trempée et mon sexe glisse doucement dans son fourreau intime, elle feule de bonheur. La prenant par les hanches je l’attire vers moi pour l’empaler au plus profond, elle hurle de bonheur, et c’est pendant de longues minutes que je possède ainsi Myriam qui jouit plusieurs fois de suite, son corps est couvert de petites perles de sueur et Myriam ballottant la tête de gauche à droite ne peut s’empêcher de dire :
- Que c’est bon, mon dieu que c’est bon !
Cambrée dans sa jouissance, Myriam s’offre sans pudeur à mon regard et je contemple son petit œillet tout lisse et plissé qui ne cesse de se contracter, s’ouvrant et se fermant à chacune de mes pénétrations.
L’impudeur de la scène me fait bander au maximum et plaçant un pouce sur le petit trou de Myriam, je commence à lui masser la rondelle, elle feule de plus belle en tressaillant à la première caresse sur son petit trou intime, et lorsque celui-ci s’ouvre à nouveau j’en profite pour introduire mon pouce, Myriam sursaute et dit :
- Non, non pas par là, je t’en prie pas par là.
Mais Myriam ne fait rien pour échapper à cette introduction et bien au contraire je sens son anneau se détendre et accepter mon pouce plus profondément, Myriam trop occupée à vivre son plaisir se laisse aller sous la caresse et accepte mon pouce sans difficulté.
Lorsque je sens Myriam prête à aller plus loin, je sort mon sexe de sa vulve et place mon gland sur sa rondelle frémissante, prête à la sodomiser je marque un instant sans bouger attendant sa réaction.
- Non, dit Myriam, il est trop gros, tu vas me déchirer.
Mais Myriam ne bouge plus, comme si elle attend l’introduction de mon sexe en elle, alors je commence à pousser pour forcer l’étroit passage, Myriam à le souffle coupée et halète sous la poussée de mon sexe, et bientôt je suis fermement ancrée au fons de son conduit anal, laissant Myriam s’habi je ne bouge plus.
- Oh comme c’est gros, me dit Myriam dans un souffle, je suis offerte et prise par la plus intime de mon corps et je crois que j’aime ça.
Je commence alors une chevauchée infernale en pilonnant le cul de ma belle amante qui ne cesse de crier et de gémir, sous mes assauts je sens son anus s’ouvrir et accepter de mieux en mieux mon sexe en elle, je suis serrée dans cet étroit conduit qui n’a pas du être visité souvent.
Myriam râle la tête sur les draps offerte à mes assauts, elle se met à jouir et contracte son anneau sur mon sexe me faisant jouir au fond d’elle au plus profond de ses entrailles.
Plus tard, Myriam m’avouera avoir aimée sentir se faire remplir de ma jouissance et, que cette sensation inconnue avant pour elle, devra être renouvelée.

Nous avons passées la nuit ensemble et deux fois encore Myriam m’a demandée de la sodomiser, et c’est l’anus grand ouvert qu’au petit matin j’ai quittée Myriam, heureuse et comblée.
Nous nous sommes plusieurs fois revues et il n’est pas impossible que je vous raconte une autre aventure avec cette petite femme à lunette qui ne déroge pas du fameux dicton.

A suivre……

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