La Gourgandine ( 17 )
17------Mais il ne mécoute pas et en plusieurs à-coups parvient à menfoncer ses 20 cm.
- Whoua, tu mdéfonces !
- Cnest pas cque tu veux ?
- Non, tes trop profond !
Mon fourreau sest étiré, il ne bouge plus, sest allongé sur mon dos, attend que je laccepte en moi. Je suis bien sous lui, demande :
- Vas doucement !
Il commence à me limer lentement, je couine oh ha ha oh hi, à chaque fois quil me lenfonce jusquà la garde. Je cambre les reins, laccompagne, laide à bien sencastrer. Je le sens coulisser dans mon vagin, il recule sans en sortir le gland, senfonce de nouveau, je mouille.
Il est emmanché à fond, bascule sur le côté, mentraîne avec lui, je suis en chien de fusil, cuisses serrées, il est dans mon dos, sactive, je le sens bien. Il me ramone pendant un bon moment, je laide en me cambrant et en donnant des coups de cul. Encore
¼ de tour, je me retrouve dos sur lui, cuisses écartées, sa bite est emmanchée jusquaux couilles. Je lui tourne le dos, me redresse, magenouille, monte et descend sur ce pieu de chair qui me pénètre. Je pivote sur cet axe, passe une jambe au dessus de lui, cette fois je suis de face, je maccroupis. Me voilà partie dans une chevauché fantastique, il maide par de coups de reins, butte au fond de moi, je pousse des cris de plus en plus forts, lencastre en moi jusquà ce que les balloches touchent mon cul.
Je me suis trop donnée, il faut que je souffle un peu. Il a remonté ses jambes, je me penche en arrière, madosse sur ses cuisses, je reste assise sur sa queue plantée en moi. Je garde la position, ne bouge plus, il faut que je récupère. Au bout de quelques minutes de repos, je me débranche, le fais sortir de moi, mallonge à côté de lui. Il roule sur moi, mécarte les cuisses, se met à genoux entre, relève mes jambes, mes genoux touchent ma poitrine. Il appuie les mains dans la pliure des genoux, membroche dun seul coup, menfonce la totalité de sa queue
- Wahooo, doucement !
Il me pilonne rapide, fait des han han à chaque coup quil donne dans mon vagin.
- Whahoouiiiiiiiiiiiii !
Il étouffe mon cri, lâche mes jambes, les reposes largement écartées sur le lit, mon cul reste accroché à son goupillon. Je viens davoir un orgasme qui me laisse pantelante, anéantie, yeux fermés, je récupère, cest trop fort Il est à genoux entre mes cuisses, sa queue est toujours enfoncée entièrement dans ma gaine, elle est toujours aussi raide. Il attend que je refasse surface en me caressant doucement les zones érogènes, jen frissonne de plaisir. Il sort de moi, me retourne, je me retrouve sur le ventre. Il me tire par les hanches, me met en levrette appuie sa trique sur mon orifice, pousse, ça rentre facile et dun seul coup, senfonce en moi jusquà la garde.
- Ahoaïe ah ah ah woui ! Vas-y !
Le voilà reparti dans un pilonnage intensif, entre, sort de mon vagin, menfile de nouveau, je pousse des petits cris, mouille comme pas possible. Je mécroule, jai les épaules sur lit, le cul en lair, il continue à me limer, je laccompagne, laide à me pénétrer à fond. Je ne tiens plus, fatigue, me voilà à plat ventre jambes serrées, je remonte mon cul, il y va à grand coups de piston, oh ha ha oui , je couine de plus en plus fort, jaime cette queue qui coulisse dans moi, me défonce le con.
Il sort, me retourne sur le dos, att mes jambes aux chevilles, mécartèle, les remonte haut et, tout en les tenant en lair, senfourne de nouveau dans mon sexe. Jai terriblement chaud, rien ne va plus, je perds la tête, cri de plus en plus fort, il va mavoir, ça y est, je suis partie.
- Ohlà Ouiouiouiiiiii, remplit moi !
Je viens davoir un orgasme, je ne réagis plus, me laisse faire. Lui ne me laisse pas le temps de reprendre mon souffle, augmente la cadence, me burine de plus en plus vite, je ne tiens plus, mon pouls bat trop vite, ma respiration se bloque, je chavire, je perds le contrôle, mon cur passe à 130.
- Woui non non oh ouiiiiiiiiiiiiiiii !
On vient de jouir ensemble, jai eu deux orgasmes en quelques minutes, mes jambes retombent sur le lit largement écartées, lui saffale sur moi. On reste soudés lun à lautre, mon sexe emprisonne le sien, je comprime mes muscles du vagin, je ferme les yeux, je suis aux anges, récupère, mon cur se calme doucement. Je le garde en moi, il est toujours aussi gros et long, coincé au fond, pourtant il vient déjaculer, ne sort pas, je le tiens au chaud, cest si bon de lavoir dans moi. Il me dit :
- Tas eu cque tu veux ?
- Oui, jaime !
Je suis anéantie, encore sous le choc de ces deux orgasmes successifs. Il remue sur moi, en moi, sa queue se redresse à lintérieur, se contracte, cest pas possible il recommence ses va et vient, jaime ça :
- Ten as encore ?
Il ne répond pas, navigue de tranquillement dans mon conduit, je nen peux plus et pourtant je me cambre, tente de laccompagner.
Au bout de quelques va et vient, il menvoie ses derniers jets, finit de me remplir, reste dans moi. Je suis sous lui, il mécrase, sa bite bouche mon conduit, ce que je suis bien. On reste encore accouplés pendant une dizaine de minutes, sa queue diminue doucement, il la ressort, se lève, ramasse ses habits, va dans la salle de bain, je le suis. Dès quil est entré, il pisse, va au lavabo, se lave la queue alors que je minstalle sur le bidet pour vider mon vagin et faire une toilette intime. Sa queue est retombée, je la regarde pendre sur ses couilles velues, au repos cest un sacré morceau, je lui dis :
- Quest ce que tu mas mis !
- Jsuis vidé ! Tu prends bien la pilule ?
- Bien sûr, je savais que jallais me faire sauter aujourdhui, alors tu penses bien que depuis mes règles je nai pas oublié une seule fois !
Il se rhabille, on revient dans le studio, il me demande :
- Tas pas une bière, jcrève de soif ?
Je lui en sers une, en prend une pour moi, massoie au bord du lit.
- Texposes pas comme ça, rhabille toi !
Je me lève, remets mes vêtements, massoie sur une chaise en face de lui. Tout en sirotant notre bière, on engage la conversation, il me dit :
- Jai eu tord de venir te faire lamour chez ta copine !
- Moi, je nai aucun remord, au contraire !
- Au regard de létat civil je nai pas le droit !
- Tu nes pas mon vrai père, jai 23 ans, et cest moi qui te veut !
- On vit sous le même toit, ta mère est ma femme.
- Et alors ? Quest cque ça change ?
- Jai un peu honte davoir succombé à tes avances !
- La chair est faible, je sais que tu tenvois régulièrement ma copine !
- Ca arrive, au début jme suis fait piéger !
- Il nempêche que maintenant tu tla tapes !
- Bon, faut pas que jmattarde, jai quelques courses à faire.
Il se lève, récupère sa parka, je lui ouvre la porte. Le voilà parti, je suis heureuse, jai le ventre plein de son sperme, mais je suis crevée, je manque un peu dentraînement. Je remets de lordre dans le studio, efface les traces de notre passage sur le lit, vais dans la salle de bain, me regarde dans la glace. Jai des cernes sous les yeux, la tête de quelquun qui vient de senvoyer en lair, tant pis. On a baisé pendant plus dune heure, cest normal que je porte quelques traces de fatigue. Je rentre à le maison, il est 6 h quand jarrive, ma mère me voit passer, demande :
- Tas pas rencontré Roger ? Ca fait plus de 2 h quil est parti !
- Non, il a peut être besoin de prendre lair ?
- Je lui ai donné une liste de courses.
- Alors il prend son temps !
Je monte dans ma chambre, mallonge sur mon lit, repense à la baise daujourdhui. Cest quand même un sacré bon baiseur.
Fatiguée, je mendors.
À suivre 18
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