Vers Le Sud Avec Un Gars Du Nord
Cétait un beau mois de juin, étant seul cet été, je décidais de partir en vacances en stop afin de faire des rencontres, direction
Barcelone. Partit de Grenoble en fin de matinée, jétais déjà arrivé dans le sud de la France dans laprès midi, ayant profité de vacanciers relativement sympathiques. Cela faisait maintenant une demi-heure que jattendais au bord de la route, quand un camion arriva et sarrêta. Afin de ne pas le retarder, je me dépêchais de me rendre à sa portière, le chauffeur me demanda si jétais pressé car il ne pourrait pas conduire toute la nuit et devrait sarrêter pour dormir dans un petit hôtel, et il me proposa de partager sa chambre car en général il y a deux lits pour une personne, et ça ne lui coûtera pas plus cher. Il était sympathique apparemment, de bonne corpulence, les cheveux courts et blonds, les biceps bien gonflés mis en relief par un tee-shirt blanc assez serré. Il portait de même un jean clair qui mettait ses cuisses épaisses bien en valeur. Il sentait le mâle doux sensuel et viril à la fois. Après avoir échangé sur nos vies respectives, lambiance était détendue et je me sentais bien auprès de lui, ça avait lair réciproque car il souriait facilement. Il sappelait Lucas. Après deux heures de route, le soleil sétait couché et nous arrivâmes près de lhôtel. Nous prîmes nos sacs et il demanda une chambre à deux lits. La patronne de lhôtel lui dit que malheureusement, il ny avait plus quune chambre avec un grand lit, et Lucas me demanda mon accord car ça ne le gênait pas de partager sa couche étant donné que nous allions dormir à poings fermés après cette fatigante journée. Avec un peu dexcitation et de crainte, jacceptais, mais en fait je navais pas trop le choix, à moins de dormir dehors. Nous montâmes à la chambre. Il se comportait naturellement et décida de prendre une douche pour se détendre, je la prendrai après. Il enleva son jean, il portait un boxer blanc en Lycra. Ses cuisses étaient magnifiques, recouvertes de poils blonds qui semblaient très doux.
Je commençais à chauffer intérieurement. Il prit sa douche et ressortit juste vêtu de son boxer, sa poitrine était quasiment imberbe et puissante, il sallongeât sur le lit et javais du mal à détacher mon regard de son corps dathlète. En fait de grand lit, on peut dire quil y avait un lit un peu large pour une personne, mais avec un gaillard pareil, nous allions être très proches pour dormir. Je pris ma douche à mon tour et profitais de lodeur quil avait laissée, ce qui commençait à mexciter gravement, je traînais un peu afin de faire retomber mon excitation et être présentable à la sortie de ma douche. Je portais un boxer bleu marine assez moulant et qui mettais en relief mes fesses de cycliste. Il fut admiratif de mes pectoraux recouverts de poils noirs et il me dit que je devais attirer les minettes, il était un peu jaloux, il aurait préféré être plus poilu sur le torse. Nous allâmes dîner, une nourriture simple arrosée de vin rouge qui nous chauffait un peu les joues. Après un petit digestif nous montâmes à la chambre, il faisait bon, la fenêtre ouverte laissait entrer les odeurs deucalyptus et le son des grillons. Nous nous déshabillâmes en silence tout en nous regardant de temps en temps comme si nous nous évaluions, nous avons gardé nos boxers. Nous nous sommes couchés, je sentais la chaleur de son corps et la douceur de son biceps contre mon bras. Ses doux poils de ses jambes me caressaient la cuisse. Il commença à me parler de sexe et finit par me demander si je me branlais souvent, car lui le faisait tous les jours lors de ses trajets, je lui dis que moi aussi jaimais beaucoup me branler. Il approcha sa cuisse contre la mienne, Je sentais ma queue tendue à lextrême et la liqueur coulait sans cesse de mon gland, si bien quen bougeant à peine, lexcitation montait de plus en plus, mon gland lubrifié glissant contre le tissu tendu. Vu létroitesse du lit et afin quon soit plus à laise Lucas mit son bras sur ma poitrine et se tourna pour glisser sa jambe droite entre les miennes.
Jallais exploser tellement mon cur battait fort, il commençait à mes caresser le téton gauche et je bougeais les jambes pour lui enlacer la cuisse. De sa main gauche il effleura mon boxer et sentit mon dard brûlant, il me dit moi aussi je bande à mort, il prit ma main et la posa sur son boxer ou instantanément je sentis sa queue brûlante vibrer. Il sapprocha et membrassa goulûment. Sa salive était abondante et douce et avait un petit goût de pomme suite au Calvados que nous avions bu. Nous décidâmes ensemble daller plus loin pour atteindre lextase et pouvoir dormir par la suite. Il me malaxait maintenant les fesses tout en me félicitant de ses rondeurs fermes. Jembrassais sa poitrine chaude et musclée léchant ses tétons de ma langue dure.
Puis je sentis une sensation agréable sur mon anus, je mouillais déjà du cul et il caressait mon trou humide, je sentis encore plus que des caresses, il navait plus de difficulté à me rentrer les doigts dans le cul et à les tourner étant donné ma lubrification naturelle. Nous étions pleins de liquides chauds. Je descendis son boxer et il sallongea sur moi, jétais aux anges, en sécurité, il sentait bon, était brûlant et doux nous frottions nos sexes lun sur lautre, ses couilles étaient parfaites comme des balles de ping-pong mais pas encore entièrement dures elles roulaient dans leur sac contre le miennes, il mécarta un peu les jambes avec sa cuisse et réussi à plaquer son gland contre mon illet humide. Jécartais un peu plus les cuisses et il commença à me pénétrer doucement en glissant en moi. Quand je sentis ses poils pubiens entre mes fesses et ses boules au bord de mon anus nous ne faisions plus quun. Le plaisir était si immense que je grondais doucement avec ma gorge, il commença les va et vient et je sentais couler un peu de mes humeurs chaudes lorsquil ressortait sa bite brûlante de mon cul. Il accéléra, je nétais quun trou ouvert et humide pour accueillir sa queue détrempée de liqueur. Il membrassait et tournait sa langue dans ma bouche tout en senfonçant le plus profondément en moi.
Je remontais le cul pour laccueillir, lui maintenant les fesses solidement. Jétais cramponné à son désir. Javais les entrailles toutes chaudes et quand je le sentis se raidir en moi tout en plaquant ses couilles toutes dures au bord de mon anus, je me mis à jouir longuement en lançant de grands jets de sperme entre nos ventres, je sentais en même temps sa queue gonfler au rythme de ses éjaculations et un nouveau liquide chaud et gluant me tapisser les parois du cul. Nous geignions, et il reprit mon limage facilité par son sperme abondant répandu dans mon trou béant. Il sortit sa queue qui commençait à débander et la glissa entre nos ventres humides, nous étions effondrés et calmés par notre jouissance absolue. Je sentais son sperme chaud sortir de mon anus et le mettais sur mes doigts pour récupérer le goût suave dans ma bouche. Nous nous endormîmes enlacés et gluants.
admin
Jan. 31, 2023
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