Béatrice 2 - Un We De Découvertes
18 BEATRICE (2) Un Week-end de découvertes
Bonjour,
Cette histoire est vraie. Seuls les noms et les lieux ont été changés ou sont purement imaginaires. Malgré tout, si certaines personnes se reconnaissent, elles peuvent me contacter...
Comme prévu, ce week-end je dois retrouver Béatrice. Il est presque dix heures, ce samedi, quand jarrive sur le lieu de rendez-vous. Elle mattend, une petite valise et un grand panier à provisions prés delle. Après les banales salutations, suivant ses indications, nous partons vers la campagne. Devant mon étonnement, elle me dit : «Mes parents sont partis pour le week-end, mes frères, à qui jai dit être invitée par une copine, ne pensent quà leur football. Nous avons deux jours pour nous. Je connais une ancienne bergerie transformée en gîte. Je sais ou est cachée la clé. Nous y allons. Cest un peu isolé et à cette saison il ny a personne dans le voisinage.
- Je ne suis pas contre le fait de passer ce week-end ensemble. Mais je nai pas prévu dêtre loin de tout. Je voudrais savoir ce que tu attends de moi ? Ce nest que notre deuxième rencontre... intime...
- Jai des provisions pour ces deux jours. Sur place, le gîte est meublé, il y a tout ce quil faut dont leau et lélectricité
Tu mas aidé à surmonter mon appréhension des garçons. Tu mas dépucelée et fait découvrir un peu de plaisir sexuel... Je suis décidée, je veux en savoir le plus possible... Je nai jamais discuté sexualité avec qui que ce soit... Je nai pas dexpérience. Je voudrais que tu maides à surmonter ce handicap... Comment faire ? Quoi dire ? Je ten prie, aide moi... Ma propre mère me traite de "nunuche" quand jévite de parler des garçons
- Merci de ta franchise...Merci de ta confiance ... Mais je ne suis ni formé ni compétant pour ce genre de choses... Je ne voudrais pas te décevoir...
- Il y quinze jours, nous nous sommes rencontrés pour la première fois. Rappelles-toi ce que nous avons fait.
Elodie et Germaine ont parlé avec tes copains... Il parait que tu as un don pour aider psychologiquement les autres... Jai beaucoup réfléchi et je me suis décidée daller le plus loin possible... Voila ce que jattends de toi...
- Cest très bien de prendre une décision... Cest très courageux de réaliser ses espoirs surtout sur un sujet aussi sensible et avec un presque inconnu... Les rapports sexuels sont des actes très naturels... Il faut un minimum de connaissance mais le mieux est de « laisser faire »... Comment ce sont passés ces quinze jours ?... Tu nas pas eu trop mal ?
- Jai eu des picotements pendant un jour ou deux... Jai passé ces deux semaines en pensant à ce week-end... Jai rêvé, jai fantasmé... Jai beaucoup mouillé... Jai eu mes règles... »
Tout en discutant, nous roulons prés dune heure, fait quelques achats, pour arriver à ce gîte. La première maison habitée est à plus dun kilomètre. Nous rentrons la voiture dans lancienne réserve à foin. Le logement, entièrement meublé et équipé, est accueillant et confortable. Il fait beau temps, nous ouvrons toutes les fenêtres, rangeons les provisions, vérifions que lélectricité et l'eau sont ouverts. Quand tout fonctionne nous allons dans une chambre préparer un lit...
Il est midi, nous improvisons un repas en tête à tête ou le sexe est notre seul sujet de conversation
Quelques baisers plus tard, nous nous retrouvons dans les bras lun de lautre... Intimidés, impressionnés, nous ne savons que faire... Je lui caresse le dos, le bas des reins... Elle commence à en faire autant... elle descend sur mes hanches... Je frotte ma poitrine contre la sienne. Je sens ses seins se raffermir à travers les tissus. Dune main je défais les boutons de son corsage.
Deux petits seins bien ronds, bien fermes apparaissent dans un soutien gorge rose à dentelle. Je ne peux me retenir de les embrasser.
Béatrice a ouvert ma chemise. Elle glisse ses mains à lintérieur, caresse ma poitrine, mon dos davant en arrière, de haut en bas.
Chacun défait la ceinture de lautre. Sa jupe glisse vers le sol. Mon pantalon suit le même chemin... Lagrafe défaite, le soutien gorge rejoint ma chemise sur une chaise. Nos pieds se livrent à quelques contorsions pour se libérer des chaussures. Nous nous retrouvons en slip...
-« Béatrice, que veux-tu que nous fassions ?
- Ce que tu veux... Je suis là pour apprendre...
- Viens, allons dans la chambre. »
Prés du lit, je la prends dans mes bras, lembrasse passionnément. Elle répond ... Ma bouche se promène dans son cou, suce un instant les lobes de ses oreilles, descend vers ses seins dont les deux tétons pointent fièrement au milieu de leurs auréoles marron. Je les prends entre mes lèvres et en titille le bout avec la langue... Par petits baisers, je descends sur son torse, son ventre. Doucement, je la fais reculer vers le lit... Lune de mes mains caresse ses fesses pendant que lautre soccupe de ses cuisses. Je la sens frémir quand je mapproche de sa chatte encore protégée par sa culotte ou je vois lhumidité qui a traversé le tissu...
Nous nous retrouvons sur le lit, lun contre lautre.
-« Laisse-toi aller... Ne te contracte pas... écoute ton corps, laisse le répondre... Si tu veux parler, parle... Si tu as envie de crier, cri...
Nai pas peur... Nai pas honte de ce que nous allons faire... Dans les ébats sexuels, il ny a rien de sale...Tu vas ressentir des choses nouvelles... Réagis naturellement...
- Oui... Je te fais confiance
- Laisse toi guider ... Mais surtout ne reste pas figée... Dis moi ce qui te fait le plus de plaisir, ce que tu aimerais essayer ou faire...
Nous sommes ensemble pour passer un agréable moment et nous donner un maximum de plaisir... »
Je reprends mes caresses buccales autour de son nombril. Dune main je malaxe en douceur ses seins. Je promène lautre à lintérieur de ses cuisses en approchant de cette intimité encore cachée. A travers le tissu, je sens ses grandes lèvres bien gonflées.
Passant deux doigts derrière lélastique, je fais descendre ce dernier vêtement... Elle soulève son bassin pour franchir lobstacle de ses fesses. Jen profite pour déposer un baiser furtif sur sa vulve velue et trempée.
Je passe mes mains sur ses cuisses, jusquen haut. Je caresse sa toison épaisse et frisée. Dune légère pression, je lui fais écarter les jambes. Mes doigts font des aller et retour sur sa chatte. Lun deux commence à écarter ses grandes lèvres et sinsinue à lintérieur à chaque passage. Ma bouche distribue des petits baisers humides sur tout son bas ventre en sapprochant de plus en plus. En lentes reptations, japproche mon bassin de sa figure. Mon sexe, encore caché par le slip, est raide comme un bâton. Dune main, je le libère sur le coté. Je sens un petit sursaut de Béatrice à la vue de mon engin... Je lui prends une main et linvite à serrer cette chair brûlante de désir. Dun coup doeil, je peux voir quelle regarde, un peu étonnée, ce sexe dont le bout nest quà quelques dizaines de centimètres de sa bouche.
-« Tu peux le caresser, lembrasser, le mettre dans ta bouche, le sucer... Il nest pas sale, il ne mort pas...
- Je sais... Mais laisse-moi le temps de mhabi, doublier de mauvais souvenirs....
- Comme tu voudras... Quand tu voudras... »
Je me consacre aux caresses de sa chatte. Elle mouille de plus en plus. Japproche ma bouche et me désaltère à cette source merveilleuse... Un doigt coquin sest introduit dans sa grotte damour. Il tourne en rond pour en explorer toutes les parois. A la pliure, il sent la petite boule dure du clitoris et la masse doucement.
Béatrice, dune main commence à me masturber. De lautre, elle caresse mes testicules. Jentends sa respiration qui saccélère.
Son coeur bat plus vite. Elle soulève son bassin à la rencontre de mes mains. Mon doigt fureteur laisse la place à ma langue assoiffée.
Cen est trop pour Béatrice que jentends râler de plus en plus fort, de plus en plus vite. Elle se trémousse des hanches. Je sens une main se poser sur ma tête et appuyer doucement. Son plaisir monte, lenvahit, éclate en un cri du fond de la gorge. Son corps se raidit pendant quelques secondes. Ma tête est emprisonnée entre deux cuisses se refermant comme un étau... Je continue à lécher, tant que jai encore un peu de souffle, pour prolonger au maximum cet orgasme qui ne semble pas finir.
Enfin, son corps se relâche. Je peux mieux respirer. Dun dernier coup de langue, je fais le plein de cyprine pour le déposer dans sa bouche en un baiser de feu. Elle répond à ma fougue et apprécie ce que je lui fais goûter.
Le calme revenu, nous nous regardons...
-«Alors Béatrice, comment ça va ?
- Très bien... Cétait sublime... Jai lu des articles sur lorgasme, jai entendu des copines en parler... Jy croyais à peine... Mais je nai jamais imaginé que cétait aussi bon, aussi beau... Je flottais, jétais dans un autre monde. Quel bonheur...
- Maintenant tu vas maider à me donner du plaisir... »
Je lui prends une main et la guide vers mon pénis qui a légèrement ramolli. Sans la lâcher, je fais aller cette main, douce et tiède, en des vas et viens le long de ma tige qui se raidit aussitôt. Une goutte de liquide séminal sort du méat. Dun doigt je la récupère et la tends vers la bouche de.Béatrice.
-« Quest ce que cest ?... Tu crois que cest bon ?...
- Cest, pour les garçons, la même chose que la mouille des filles. Ça sert à lubrifier le vagin pendant la pénétration et les vas et viens. Cest la cyprine chez les filles, le liquide séminal chez les garçons. Cest aussi bon lun que lautre... »
Elle lèche mon doigt et semble apprécier.
-« Tu peux aller directement à la source... Si tu aimes... »
Tout en continuant de me masturber, elle approche sa bouche. Sa langue vient au contact de mon gland. Elle essaye de pénétrer dans ce petit trou où sort un filet continu de gélatine. Elle nen perd pas une goutte... Doucement, elle ouvre ses lèvres, sa bouche.
Elle commence à mettre le bout au chaud... Petit à petit elle engloutit cette chair vivante jusquau fond de sa gorge. Je sens toujours sa langue faire le tour de mon gland sensible, au bord de la douleur. Elle reprend les aller et retours. Sa main et sa bouche chaude et humide, ont vite raison de ma résistance. Je sens léjaculation monter... Jatt une feuille dessuie tout sur la table de chevet.
Au dernier moment, dune main sur le front je lui fais « cracher » ma queue qui tressaute sous les spasmes de léjaculation. En longues giclées, le sperme est récupéré sur le papier absorbant. Béatrice, dont la main na pas lâché mon phallus impudique, est figée détonnement.
-« Voila ce qui se passe quand un garçon se donne du plaisir en solitaire. Voila ce qui se passe pendant laccouplement. Cest comme ça quon fait des bébés... Tiens, goutte... »
Dun coup de langue, elle ramasse la dernière larme sur mon gland et lavale. Dune mimique, elle me fait comprendre quelle napprécie pas trop...
Nous nous retrouvons dans les bras lun de lautre à nous embrasser. Jai une main qui caresse son sexe, un doigt se promène autour de son clitoris. Je la sens se tendre... Elle me murmure, au creux de loreille, des « oui ... encore ... narrête pas... ».
Je lui prends une main pour remplacer la mienne. Je guide un de ses doigt à lintérieur et lui fais faire des tours autour de son bouton et des plongées au fond des sa grotte.
-« Continue seule ... doucement... narrête pas ... va jusquau bout... tu sens ton clitoris ? ... agace-le... fais toi plaisir
»
Elle trouve seule le bon rythme,... le bon endroit. Les yeux fermés, lèvres pincées, elle râle... Son corps se tend... Son plaisir monte... Sa respiration saccélère... Soudain cest lexplosion... Un cri long... Des gestes désordonnés... La bouche ouverte... Le souffle court... Elle jouit sous ses caresses...
-« Tu as aimé te donner du plaisir seule ?
- Oh oui... je navais jamais fait ça... Je navais jamais osé... Pourtant jen avais souvent entendu parler... Jai beaucoup lu sur ce sujet...
- Maintenant que tu sais, tu pourras te caresser sans arrières pensées, sans remords, sans retenues.
- Merci pour tout ce bonheur que tu me fais découvrir, ... que tu me donnes... »
Laprès midi sest écoulée en caresses et bavardages divers sans aller jusquà lorgasme pour chacun de nous.
Après la douche, le repas du soir, nous nous retrouvons dans la chambre, allongés sur le lit, toujours nus, à nous caresser...
De petits baisers en petits baisers, de suçons en suçons, de coups de langues en coups de langues, nous nous retrouvons en position de soixante neuf. Chaque bouche soccupe du sexe qui se trouve à sa portée.
Elle commence à me masturber à la main puis elle prend mon gland entre ses lèvres. Je sens sa langue lécher le bout. Petit à petit elle introduit ma verge bandée raide au fond de sa gorge. Tant avec la bouche quavec la main, elle fait des vas et viens sur toute la longueur.
De mon coté, je plaque ma bouche sur ses grandes lèvres... Ma langue sintroduit dans sa grotte dégoulinante de foutre. Elle cherche et trouve son bouton du bonheur. Elle le titille, le sent se tendre, se gonfler... Chacun de nous sent monter lorgasme. Nous arrêtons ce soixante neuf pour prendre la position plus classique dite du missionnaire. A genou entre les cuisses écartées de
Béatrice, je frotte mon gland entre ses lèvres intimes entrouvertes. Je fais quelques tourbillons sur son clito. Doucement, je commence à descendre dans son gouffre accueillant et bien humide. Elle soulève son bassin pour venir à ma rencontre et se faire pénétrer bien à fond. Quand je commence mes aller et retours, elle avance et recule pour bien frotter son bouton contre mon pieu de chair. Elle râle de plus en plus fort, de plus en plus vite. A mesure que sa respiration saccélère. Jaugmente la cadence de mes coups de butoir. Je ne vais pas pouvoir me retenir plus longtemps. Je lui demande si elle est prête à recevoir ma semence, prête à jouir. Devant son affirmation, je me lâche en longs jets au fond de sa grotte. Elle éclate en un long cri modulé suivant les spasmes de mon éjaculation. Cabrée comme un arc tendu, elle attend que « lorage » passe.
Le calme revenu, nos bouches se soudent en un long baiser de reconnaissance. Cest ainsi que nous nous endormons, nus, dans les bras lun de lautre.
Après une longue nuit de récupération, je me réveille contre le dos de Béatrice. Elle dort encore
Doucement, je passe une main sur ses fesses, de lautre, je roule la pointe de ses seins entre les doigts. Elle sétire, frotte son derrière contre mes cuisses. Ma verge qui se raidie, trouve une place au chaud entre ses fesses. Tout en caressant lintérieur de ses cuisses, ma main sapproche de son jardin secret. Elle se tourne, me fait face, soffre à mes caresses en écartant les jambes. Deux doigts sintroduisent dans son intimité pendant que le pouce malaxe son bourgeon renaissant. La mouille coule sur ses poils. Passant mes mains sous ses hanches, je la fais mettre à « quatre pattes ». A genou, derrière elle, jai une vue imprenable sur sa rosette. Je prends mon sexe en main et le fait aller plusieurs fois entre ses lèvres gonflées. Quelques coups de gland sur le bourgeon sensible et je me présente à lentrée glissante de sa grotte. Doucement je mintroduis bien au chaud et au fond de ce puits damour grand ouvert. Je commence mes vas et viens. Je prends une de ses mains pour la poser sur son clitoris et la guide pour le titiller. Quand elle comprend mon idée, je la laisse continuer seule
Cest une élève qui comprend vite et bien
Elle commence à râler
Jaccélère la cadence
Elle aussi
Cest ensemble que nous jouissons de cette première levrette
.écroulés, cote à cote, dun long baiser, nous retrouvons notre calme.
-« Je vois que tu aimes prendre du plaisir et en donner.
Pour une fille qui avait peur de ne pas surmonter un traumatisme ou doublier un cauchemar, tu vois que ça sest bien passé
- Oui, cest à toi que je le dois
Je ne te remercierai jamais assez
Cest vrai que jai aimé tout ce que nous avons fait
Je ne men croyais pas capable
Jai appris beaucoup et jespère en apprendre encore
- En attendant, si on allait déjeuner ?... »
Douche, petit déjeuner, promenade dans la campagne, préparation du repas de midi, déjeuner, vaisselle, rangement, toutes ces occupations sont ponctuées de baisers et caresses diverses. La journée est bien avancée quand nous nous retrouvons nus sur le lit. Je suis allongé sur le dos, le sexe en demi érection
-« Béatrice, je ne bouge pas
je te laisse prendre toutes les initiatives
A toi de jouer
»
Elle sallonge, tête bêche, à coté de moi. Une main ayant pris mon sexe, elle me masturbe doucement. Elle écarte ses cuisses et se doigte sa vulve. Très vite elle commence à gémir et à mouiller. Je ne peux mempêcher à minviter à ce jeu. Japproche ma bouche, langue tendue, vers cette source divine. Elle me laisse la place libre. Jen profite pour introduire deux doigts remuants au fond de ce vagin accueillant et tiède à souhait. Dune aspiration, jatt son clitoris entre les lèvres et le retiens pour mieux lexciter avec la langue. Tout son bassin vibre sous cet assaut bienfaisant. Je sens mon pieu de chair, bien tendu et bien gonflé, avalé dans une bouche gourmande, subir les attaque dune langue nerveusement agitée. Le plaisir monte en chacun de nous. Les bouches occupées, ce sont nos gorges qui font entendre les râles de bonheur. Avant datteindre le point de non retour, jatt un préservatif et le mets dans la main de Béatrice.
-« Tu vas me mettre cette capote tout en jouant
ça aussi, ça fait partie des jeux érotiques
»
Je la guide un peu pour dérouler ce latex. Une fois en place, elle vient sempaler bien à fond sur ce piquet encapuchonné. Une « décharge électrique » semble parcourir tout son corps.
« Mon Dieu que cest bon », me souffle-t-elle à loreille.
Dun rythme de plus en plus rapide, elle atteint un orgasme puissant et épuisant qui la laissesans force.
Après quelques minutes de flottement, elle retrouve son calme et nos bouches se soudent en un très long baiser.
« Merci de ce plaisir, de ce bonheur... »
C'est à la nuit tombée que nous rentrons ... chacun chez soi...
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