Pagne De Cuir
Javais promis à Mish de lui trouver un gadget érotique, le temps était venu de lui montrer. Je lai fait entrer, lui ai servi un verre, attendu quelle le boive, tout en écoutant dune oreille son babillage habituel. La trentaine sportive, elle était toujours aussi mignonne, 1m60, mince, mais avec un cul bien formé, brune. Encore une fois, avec mes 50 balais bien passés, javais une sacrée chance, dont je profitais à chacun de nos rendez-vous, on ne se voyait pratiquement que pour le sexe, quelle pratiquait à me ravir
.
Verre fini, je lemmenais devant le miroir en pied : Jai un cadeau pour toi
Un dessous
Mets toi à poil, on va lessayer
. Sitôt dit, sitôt fait, vole le chemisier, le jeans et la petite culotte. Elle était magnifique, nue devant le miroir, ses petits seins en obus, tétons déjà dressés, sa motte rebondie, la toison bien fournie comme jaime et sa conque, elle aussi dissimulée dans les poils, et ses fesses nerveuses
Elle avait monté ses mains dans ses cheveux et hanches oscillantes de droite à gauche, elle entamait une danse du ventre lente et lascive ; jétais hypnotisé par le roulement de son bassin. Ses mains descendant aux seins, elle sexcitait les tétons, les roulant entre ses doigts, les allongeant pour mieux les relâcher, puis se soulever les mamelles
Aller, cétait lheure du cadeau, et je bandais déjà
. Cest une surprise, ferme les yeux, Je te dirais quand tu pourras les ouvrir
. Et ne triches pas ! ; me déshabillant à la hâte, je sortais dune boite une large ceinture de cuir, doublée de feutrine, et à la boucle de laquelle javais attaché 4 lacets de cuirs, chacun comportant une dizaine de nuds, formant autant de petite boules.
Masseyant face à sa hanche sur un tabouret, je lui passait la ceinture, les lacets pendant devant sa foufoune
Tu peux ouvrir les yeux.. Un peu étonnée, elle me fit Ah, ouais
Cest joli, mais faut mettre une jupe longue, avec ça
.
Attends, cest pas tout, mais il faut une petite préparation avant de finir de téquiper
. De la main droite, je lui caressais les fesses, et de la gauche effleurais sa touffe ; elle repris son balancement lascif, droite gauche, les lacets lui caressant les genoux. De ses fesses, ma main était descendue à ses cuisses, de sa touffe jarrivais à sa vulve, et jentrepris de fouiller tout cela de mes index curieux.
Une main lui écartant les cuisses, deux doigts pour sa chatte, jentamais un branlage savant de son con déjà suintant, elle soufflais fort et avait arrêté sa danse du ventre. Ses poings fermés, placés haut sur les hanches, presque aux côtes, elle balançait maintenant le pubis davant en arrière, renforçant la friction de mes doigts sur ses lèvres, son clito, allant chercher jusquau périnée. Je repassais ma main gauche devant les lacets, entrouvrais sa chatte à pleins doigts, saisissant lextrémité des lacets de lautre main entre ses cuisses, et remontant le tout dans sa raie culière, le nouait à larrière de la ceinture, en tirant bien pour augmenter le contact
Elle était maintenant équipée dun string, visible seulement au dessus de son con et de ses fesses, sintroduisant indiscrètement au bord de son sexe et entre ses fesses. Jespérais bien avoir réussi à enserrer son clito entre deux lanières
. Il serait toujours temps de rectifier après ! De surprise, elle avait stoppé son balancement, aussi plaçant alternativement une main devant ses cuisses et lautre au dessus de son cul, puis sur son ventre et sous fesses, je lincitais à recommencer son balancement avant arrière
. Elle avait vite compris le but du jeu
. Les boules de cuir lui caressaient le sexe, les lanières le trou du cul, passant et repassant au rythme de ses balancements.
Jempoignais la ceinture devant-derrière et levant abaissant la ceinture, jaugmentais lamplitude du frottement.
Toujours assit sur mon tabouret, je passais à létape suivante : lui enfiler un doigt dans le vagin, entre les lanières ; elle me serrais le majeur comme dans un étau, sa mouille me coulais dans la paume, ma main gauche au dessus de ses fesses, accentuait encore son balancement, forçant pour la pénétrer encore plus loin
. A ses spasmes frénétiquement rapprochés, je me rendis compte quelle avait déjà jouis plusieurs fois et que cet orgasme qui venait risquait bien dêtre le dernier
. Je navais pas vraiment envie de me branler devant une Mish, exténuée, apaisée, et aussi relâchée quune poupée gonflable ! Je voulais lui cracher tout mon foutre à fond de ventre, lui faire remonter ma bouillie jusquaux amygdales, et la sentir me serrer le nud dans son con jusquà en défaillir.
Je la poussais jusqu'au fauteuil, à cheval sur le bord de laccoudoir, lui écartais lèvres et lacets dun index presque brutal et lui fourrais le gland dans la chatte ; je retirais mon doigt et lenfilais dun trait, à fond, javais presque les couilles à sa raie, la position me gênait pour la fouiller plus loin. Je plaçais nos cuisses dessus-dessous, nos pubis au contact, mes couilles en butée, plaquant son ventre au mien, sa matrice semblait en folie, enserrant ma bitte dans un ouragan de tumultes. Je la limais maintenant à grands coups de gourdin, sortant presque mon gland pour mieux la re-défoncer, poils à poils.
Javais tellement envie de lui cracher toute ma semence que je ne pensais plus quà jouir delle, en elle et avec ou sans elle ; je sentait mon chibre grossir, sallonger
.
En partant, elle a emmené le pagne de cuir
.
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