La Gourgandine ( 18)
18-----Deux semaines passent, la routine, je vais au boulot, rend visite de temps en temps à ma copine. Je lui raconte comment il ma sautée, le mal que jai eu à lui faire accepter de me lenfiler dans le sexe, il voulait menculer parce quil na pas mis de capote et ne veut pas prendre le risque de me faire un gosse, mais je suis parvenu à len dissuader.
- Tu parles, il en a une bien trop grosse, il risque de méclater le fion !
On est dans la période des fêtes, ma mère travaille tous les jours et toute la journée à la boulangerie, sauf le mercredi, jour de fermeture du café tabac et de la boulangerie. Mon père reste seul à servir au comptoir, tabac et consommations. Il est 10h du mat, je viens de me lever, descends à la cuisine préparer mon petit dèje. Je suis nue sous ma robe de chambre. Il ny a personne dans le café, le dimanche matin cest plutôt calme. Il vient dans la cuisine, laisse la porte entrouverte.
- Tiens, tes réveillée ! Tas bien dormi ?
- Oui, mais cette nuit
..
Je nai pas le temps de terminer ma phrase, il est derrière moi, je me retrouve pliée en deux, coudes sur la table, il relève ma robe de chambre, me met le cul à lair.
- Non pas ici !
- Jveux ton cul !
.Je sais que je vais y avoir droit, je suis un peu en manque, ça tombe bien. Il ouvre sa braguette, libère sa queue, me glisse un doigt dans le vagin. Il prend son mandrin, le bloque à larrière de ma fente, le contact du gland sur lentrée du vagin me fait mouiller, il pousse, je lui dis :
- Rentre la doucement, force pas !
- Je fais de mon mieux
- Aïeyaïeee ! Jsuis pas prête !
- Jai pas trop de temps !
- Tes trop gros, tu mfais mal !
- Jveux quça rentre, faut faire vite !
Je remue le cul pour laider à me pénétrer, il appuie un peu plus sur mon orifice. Le trou sélargit, le gland passe, il rentre à peine la moitié de la tige, est au fond de moi.
- Et merde, ne bouge pas, jreviens !
Il sort de moi, range sa queue, je me relève, rabats ma robe de chambre, lui dis :
- Jvais pas rester à tattendre !
Il sort de la cuisine, va servir le client. Pendant quil est au comptoir, je beurre mes tartines, verse mon café dans un bol, minstalle à table, commence à manger. Il reste au comptoir, discute avec le client, celui ci fume sa cigarette, sirote son café, senvoie un petit calva pour bien commencer la journée, sattarde. Au bout dune bonne dizaine de minutes qui mont parues une éternité, il revient :
- On peut pas être tranquille ! Reprends la position, on repart à zéro !
- Cest trop tard, jai plus envie que tu mla mettes !
Il a ressorti sa queue, elle est au repos, ses 15 cm pendent lamentablement hors de la braguette.
- Tu bandes plus !
- Attends, jvais arranger ça !
Il est à côté de moi, se branle rapide, la queue se redresse, prend du volume et de la longueur. Elle est droite, gorgée de sang, le gland devient rouge foncé, il me le colle sur la bouche.
- Bouffes moi ça, cest meilleur que ton bout de pain !
- Non, jfinis mon ptit dèje !
Il prend une chaise, la tourne vers moi, sassoie dessus, tient sa queue dressée, se branle doucement.
- Te fais pas prier, viens que jtemmanche !
- Jtai dit qujai plus envie, jfinis mes tartines.
- Tu perds du temps, on en a pas beaucoup !
- Non, on va encore être dérangés !
- Aller, pose ton cul là dessus !
- Non, jsuis plus ouverte, jmouille pas !
La vue de sa bite dressée me fascine. Il se lève, recule ma chaise, me prend sous les bras, me met debout, me retourne, relève ma robe de chambre, jai le cul à lair, lui tourne le dos.
- Laisse toi descendre ça va rentrer
- Ça va m faire mal comme tout à lheure !
- Mais non, tu peux contrôler !
Je capitule, écarte les jambes, recule sur lui, me penche en avant, prends le mandrin, le place devant mon orifice vaginal, descends doucement. Je ne suis pas ouverte, je ne mouille pas encore assez :
- Tes trop gros, ça rentre pas facile !
- Laisses toi aller !
Lentrée résiste un peu, je maîtrise lintroduction en appuyant mes mains sur ses genoux, je me laisse descendre, je mouvre, ça rentre.
- Aïeyaïe ! Oh làlà Oui !
Ça y est le gland vient de passer, jy vais doucement, la queue senfonce en moi, progresse dans ma gaine, arrive au fond. Je commence à mouiller, ça va mieux, je vais pouvoir mactiver en silence, pourvu quun autre client narrive pas ! Je monte et descends sur son pieu, il entre de plus en plus profondément en moi, les 20 cm sont dedans, je fais des mouvements davant en arrière avec mon cul quand il est ancré à fond. Il maide par des coups de rein, me tient sous les fesses. Je remonte mes pieds sur ses genoux, mincline contre lui, il me tient par les seins, je mactive sur son mandrin, jai chaud tellement je me donne. Je sens que je viens, contracte mon vagin, cest pas possible, je suis foutue, chavire, je sens lorgasme arriver. Sa queue se contracte, gonfle, plusieurs secousses, un grognement, le voilà qui décharge et au même moment je décolle, mon cur semballe, je crie ma jouissance
- Wouiiii
..
étouffé rapidement par sa main car on vient dentendre le » glinck « de la porte du café, un client vient dentrer. Ca me ramène à la réalité, je reprends conscience quon est dans la cuisine et quun client est là en train dattendre au comptoir son paquet de cigarettes. Je remets les pieds au sol, me lève, sa queue sort de moi, elle est longue, raide, dressée, luisante de cyprine, tapissée de foutre.
- On peut pas baiser tranquille !
Puis il fait du bruit en rangeant la vaisselle, remue les casseroles, crie :
- Jarrive !
ouvre la porte, sort, la referme :
- Excusez-moi !
À partir du moment où il est entré en moi, il na pas mis moins de 10 mn pour éjaculer, il est vide, je suis remplie, un foutre blanc et épais coule le long de mes cuisses. Je sorts par la porte qui donne dans le couloir, entre dans les toilettes, pisse, vide mon vagin, messuie. Je reviens dans la cuisine, réchauffe mon café, mange ma dernière tartine, men prépare une autre, jai faim, cette baise ma creusé lappétit !
Plus de client, il revient faire un tour dans la cuisine, se verse un café.
- Tas un petit copain ?
- Non, rien que du passage, des opérations dentretien.
- Tu te protège au moins ?
- Je ne baise jamais sans capote, si cest ce que tu veux savoir !
- Tas pas oublié de prendre ta pilule ?
- Mais non, tu peux être tranquille !
Jai fini, sort de la cuisine, grimpe les marches 4 à 4, entre dans la salle de bain, minstalle sur le bidet, me lave le sexe, prends ma douche, me regarde dans la glace. Jai dénormes cernes sous les yeux, les traits de quelquun qui a passé une mauvaise nuit. Je retourne dans ma chambre, mhabille, redescends. Mon père est au comptoir, sert des clients. Même avec un coup rapide comme celui là, quand il est en moi il parvient à me faire jouir. Peut être à cause de la taille de cette bite tant convoitée depuis des années, la situation, la peur de se faire surprendre, la porte de la cuisine est restée entrebâillée. Et si le client ma entendu jouir ? Ça me rappelle quun jour je me gouinais avec ma copine dans ma chambre à létage. Elle a gueulé tellement fort quand elle a joui que mes parents qui étaient en bas au comptoir avec des clients ont essuyé quelques commentaires.
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