Avec 2 Chaises Et 1 Table...

Cette fois encore, Mish venait chez moi... Il était de toutes façons rarissime que nos rencontres aient lieu chez elle. La trentaine sportive et d’une souplesse qui rendait ses postures érotiques TRES attrayantes : reins exagérément creusés, cuisses écartées en grand écart ou pubis tellement en avant que l’on ne voyait plus que son abricot renflé.
Je lui avait donc un peu préparé le matériel nécessaire à une nouvelle posture : elle semblait aimer mes surprises. Sitôt entrée, elle m’avait abreuvé de son babillage habituel, auquel je ne répondais que par onomatopées… Posté derrière elle, je lui ôtais sa veste, qui finit sur un fauteuil, je déboutonnais son chemisier, et commençais à lui tripoter les nichons, superbes obus malléables.
Son chemisier et mon tee-shirt glissèrent à terre, j’avais collé mon ventre contre ses fesses, et la poussant de la bite, la tirant (un peu) par les tétons, je l’amenais devant la glace… Son babillage devenait saccadé, d’une main je fis glisser sa jupe, me débarrassait de mon pantalon, et lui recollais ma queue dans la raie des fesses.
Les mains aux hanches, maintenant silencieuse, son cul commença à onduler, haut-bas, et je sentais le frottement de sa raie sur mon gland tandis que je continuais à lui titiller le bout des seins. Ma main gauche descendit doucement le long de son ventre, effleurant le haut de sa touffe, qu’elle avait fournie, je tournais un peu, appuyant ma caresse. Nous nous voyons mutuellement dans le miroir, elle tendait maintenant le ventre en avant, m’incitant à la caresser plus bas…
Mon index tendu cerclait maintenant sur sa motte, descendant peu à peu à chaque rond vers sa chatte qui pointait de plus en plus vers la glace. J’avais du mal à maintenir le contact entre mon zob et son cul, et je lui triquais sérieusement la raie. J’arrivais enfin au haut de ses lèvres, titillais un peu son bouton, pour faire durer, puis je lui fourrais mon index, bien profond.
Elle râla, puis se tût, bouche ouverte; elle se branlait maintenant à grands coups de bassin sur mon doigt ! La tirant par un téton, la poussant du vagin, je la tournais, de coté au miroir… “Bouges pas, la suite arrive…“ Je tirais rapidement une table vers elle, puis posais une chaise à cote de chacune de ses jambes, et repassant derrière elle : “Pose la tête sur la table ! Non… Regardes la glace !“
Elle avait maintenant le torse horizontal, nichons pendants au bord de la table, et j’admirais son petit cul rebondi : une vraie invite à l’enculade, mais qu’elle refusait ABSOLUMENT ; pas grave, j’avais d’autres projets : “Monte les pieds sur les chaises maintenant…“.

Ses fesses arrivaient à mes épaules, sa souplesse lui permettait de creuser les reins, en envoyant sa moule juteuse bien en arrière.
Je m’installais sur un tabouret haut, bouche à bonne hauteur, et je commençais un léchage en règle, tandis que je l’empoignais par les roberts… Son ventre ondulait, attentif à mes coups de langues ; je lâchais un nichon, et passant la main par-dessus ma tête inclinée, je lui agaçais le périnée, le bord de la vulve, et finis par introduire mon majeur dans son con…
Elle dût jouir deux ou trois fois sous mes caresses, et j’avais très envie de sentir ses boyaux m’aspirer la trique, que j’avais maintenant bien gonflée et luisante. Repoussant le tabouret, je me relevais : “Tu vas l’avoir, bientôt !“ J’inclinais un peu ma tige vers l’avant, et une main au creux de ses reins la faisait plier les genoux, jusqu’à avoir mon gland au bord de sa fente.
Je lâchais ma bite et posais ma main dans son entrejambe, l’empêchant ainsi de s’empaler directement ; je tenais à la caresser du bout du gland, une “chaussette“ d’enfer. Laissant ses reins, je repris ma trique en main et d’avant en arrière, lui caressait les lèvres, entrant parfois au bord, mais l’empêchant toujours de s’emmancher…
J’avais maintenant le bout du gland un peu dans son con… Je lâchais ma bite, et d’un coup, je lui ai mit à fond… Nouveau râle, puis silence ; son vagin commençait à serrer ma queue à la base, l’étreinte à remonter le long de ma tige… J’attendais qu’elle jouisse à nouveau, se relâche pour la limer à grands coups, l’exciter encore, et recommencer, recommencer, jusqu’à provoquer des orgasmes tellement proches qu’ils se confondent en un seul, si long, si bon et gicler en longs jets dans sa jouissance extrême. En me quittant, elle me fit : “C’était pas mal… A plus“.

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