Brins De Laine
Elle mavait prévenu : La prochaine fois, à toi linitiative
. Javais donc préparé quelques gadgets, dans la table de nuit, et même trouvé un objet ravissant, et sûrement très fonctionnel. A essayer. En arrivant, Mish minondait de paroles, comme dhabitude, et je lui répondais par abréviations, comme toujours
Il ne nous était jamais arrivé de discuter réellement
Nos rapports étaient strictement sexuels. Je trouvais cela très bien. Elle aussi, faut croire.
Je prenais son manteau, lui tendais son orangeade favorite, attendais quelle termine, puis la guidais, une main sur les fesses, vers la chambre quelle connaissais, bien sur, même si nos ébats habituels se tenaient partout dans la maison. Mets toi à laise
. Elle se déshabillait lentement, laissant apparaître épaule, puis seins, fesses, tournant sa touffe vers moi, main sur la tête pour remonter ses nichons en obus, propulsant sa motte en avant pour mieux exhiber son abricot renflé. Jadmirais en silence, jadorais redécouvrir son corps sensuel à chacune de nos rencontres. Elle me faisait bander
Enfin nue, je jetais ma robe de chambre dans un coin, et lui tendais une petite boite : Ouvres
. Cest quoi ?. Elle tenait quatre longs fils de laines. Jexpliques : tu te couches, sur le dos, bras et jambes écartés, je tattache pieds et poing au lit, je te fais jouir, et on baise ; si tu casses les fils, jai gagné, sinon, cest toi
. Et on gagne quoi ?. Rien, on gagne, cest tout
. Elle sétait couchée, membres en croix, et javais noués les brins de laines
Jouvrais le tiroir de la table de nuit, en tirait une plume, et commençais à lui caresser la poitrine en grands cercles autour des nichons, ses tétons commençaient à durcir, je descendais sur son ventre vers sa touffe sombre, remontait aux lolos, effleurait les pointes gonflées, redescendait sur sa motte, griffant le haut de ses lèvres, glissait jusquà sa raie. Je vrillais la plume dans son abricot, lentrouvrait, elle commençait à juter.
Posant la plume à plat sur ses lèvres, je la limais en règle, rebroussant les barbes de la plume à chaque aller, les lissant à chaque retour, son ventre sanimait, en petites ondes régulières
Je posais une main sur son nombril : Hé ! Faut pas casser, du calme ! Et tas rien vu !. Javais posé la plume, et prit un papillon vibrant dans le tiroir ; jécartais les bords de sa vulve, découvrant son clito, je posais le papillon dessus, et tout en le maintenant de lindex, je le mettais en route. Les vibrations lui agitaient les lèvres, et jappuyais juste assez pour quelles soient au maximum. Les yeux fermés, Mish ronronnait de plaisir
Sa mouille humectait le drap.
Elle restait toujours immobile, juste ce petit mouvement de bassin, haut-bas. Temps de passer à la suite.
Le papillon toujours en place sous mon doigt, je sortais cette fois un uf vibrant (lui aussi), cylindre aux bouts juste arrondis, et doté dun fil de récupération. Je commençais à lui frotter la moule, de haut en bas, vibration à fond, puis lintroduisais doucement, juste au bord, pour mieux le retirer, et le replacer ; luf était de bon diamètre, et je forçais un peu à chaque fois.
Je finissais par lui mettre entièrement, ses lèvres agitées de vibrations, refermées sur le fil. En tirant un peu, je pouvais le faire réapparaître, puis disparaître à nouveau. Après quelques minutes de ce jeu, je lâchais le papillon, et de lindex poussait luf un peu plus loin, pour le ressortir et le repousser encore. Le bassin de Mish était agité de soubresauts, et je sentais sur mon doigt létreinte de son vagin, et sur luf laspiration quelle lui faisait subir
Elle allait jouir
Avant de se relâcher complètement, vagin béant, muscles détendus.
Je la laissais jouir sur luf à son envie, et prenais un autre jouet dans le tiroir : un gode de bois, plus fin quune vraie bitte, avec un gland plus long et plus carré, avec une longue tige annelée, facile à prendre en main. Elle avait jouit, détendue, flasque
Je tirais doucement luf, le faisant sortir très lentement, pour ranimer ces lèvres inertes, titillant un téton entre mes doigts.
Les cercles devenaient plus petits, et elle ondulait à nouveau sous la caresse ; je lui essuyais le con avec une serviette, en asséchant lintérieur : je voulais admirer ! Je poussais la trique dun cran, lèvres dans le premier creux, puis dans un autre, fasciné par chatte aspirée dans le vagin, bosse après bosse ; je ne voulais pas la blesser, je lavais enfilée de 15 bon cm, je ressortais doucement lengin, creux après creux, admirant létirement de sa vulve, redevenue préhensible, elle recommençait à pomper le gode, prémices de jouissance.
Ses liens étaient toujours intacts ; je la laissais jouir encore, le manche aspiré à fond dabricot, fendu, juteux et qui déjà reprenait du service. Jôtais le gode, et je lemmanchais à fond, mon gland dans les ovaires, et restais immobile, attendant ses spasmes vigoureux, rapprochés, ma bitte dans sa pompe, mon foutre dans ses boyaux, en longs jets blancs, et son extase, corps rigide, étau serré, tétanisée.
Nous avons dormis, je crois
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